Daimyō

pour leur esthéticité. Mais elle est également lié à la prépondérence des arbres sur l'ile. L'usage du bois s'accrut donc afin de sastisfaire les besoins de la population rurale et urbaine. A partir de 1570, Hideyoshi, le shogun Ieyasu et d'autres daimyos furent construire d'impossants chateaux et temple dans le but de montrer leur puissance par rapport les uns aux autres. Ainsi pour fabriquer les trois plus grand chateaux de Ieyasu, il fallut abattre vingt-cinque kilomètre carrés de foret. Après

issus de ces deux provinces voisines situées à côté de Kyōto. Ces provinces étant indépendantes, ils n'étaient redevables d'aucune taxe et jouissaient d'une liberté de mouvement que n'avaient pas les bushi (ou samouraïs), qui étaient eux inféodés aux daimyō (seigneurs féodaux) ; ils n'étaient pas non plus soumis au bushidō (武士道, bushidō? code de l'honneur du bushi), et pouvaient donc pratiquer des techniques de guerre non-orthodoxe (espionnage, guérilla, embuscades, assassinats). N'étant pas subordonnés

d’eau dont il a fait une série de tableau intitulé « Le Bassin aux nymphéas ».1. Une découverte du Japon1868 ouverture des frontières du japon au monde extérieure. Le japon était fermé au monde depuis le début du 17ème siècle. Le shogun réuni les daimyo. L’empereur veut moderniser le japon que ce soit sur le plan économique avec la capitalisme, sur le plan politique et même juridique on va s’inspirer les lois européennes, sur le plan militaire on va vouloir mettre en place une armée moderne et pour

Geisha, sifnifiant "gei" art et "sha" personne pratiquant, donc littéralement une "personne qui pratique les arts", se pratiquant principalement au Japon. A l'origine les geishas étaient des hommes en charge de servir les seigneurs appelés les "Daimyoo" avant d'évoluer vers le badinage et la distraction public, mais à partir de 1800, toutes les geishas étaient des femmes. Leur origine remonte aux XVII siècle mais il est possible de trouver des traces de Geisha des le XV siècle. L'ouverture des maisons

prénom de Tsunetomo en Jôchô) après la mort de son suzerain, le seppuku étant alors proscrit. Les deux premiers volumes rassemblent les préceptes du samouraï. Les trois volumes suivants sont dédiés à la gloire des fondateurs du clan Nabeshima et des daimyos du fief de Saga. Les six volumes restants traitent de l'histoire de la province de Saga, des hauts faits de ses vassaux ou encore de ceux de samouraïs étrangers, et enfin d'histoires additionnelles. Histoire moderne[modifier] Pendant près de 150

Tokyo. Le shogun, chef militaire dirigeant le Japon, isola le pays du monde extérieur en interdisant tout commerce et tout échange avec les étrangers. Une idéologie basée sur une hiérarchie de la société divisée en classes fut imposée aux sujets. Les daimyô, grands feudataires, vivaient luxueusement avec leur suite et leur domesticité ; les guerriers (samouraïs), d’origine noble ou paysanne, avaient le privilège de porter le sabre et constituaient l’armée privée du seigneur, leur code moral était basé

premiers samouraïs. L’apparition des samouraïs (bushi) est définitivement implantée lorsque la cour impériale délègue la surveillance et la défense de ses possessions éloignées à des connétables et à des fermiers-combattants locaux. Affiliés aux daimyo (seigneurs d'ascendance noble), les samouraïs constituèrent leurs propres clans héréditaires qui devinrent plus puissants que l'empereur lui-même. De leurs rangs émergèrent les shogunats (dictatures militaires).Les différents groupes s'entre-détruisent

humain qu'il accueille au paradis de l'Ouest. La Cour : sorte de gouvernement, proche de l’empereur. La métallurgie : science des métaux. Tödai-ji : L’un des temples les plus importants de la période de Nara (bouddhique) La structure sociale : daimyo : titre de noblesse guerrier/samouraï Une pyramide sociale à quatre étages : Au sommet, viennent les guerriers- administrateurs (s’occupe de l’organisation militaire)suivis par les paysans/artisans et enfin les marchands. Ronin : samouraï sans maître

n’en continuèrent pas moins, de manière plus discrète. Sur ce point les divertissements de la cour guerrière rejoignent ceux de l’aristocratie impériale, car les combats de chien sont très prisés chez les guerriers depuis l’époque médiévale où les daimyo des Provinces en guerre élevaient des chiens pour ces combats (Hojô Takatoki qui en devint fanatique, organisait des rencontres 12 fois pr mois). De même en ce qui concerne la chasse aristocratique, les shôguns de kamakura et Muromachi s’approprièrent

fameux escrimeur de l'histoire du pays. Takamori Saigô (西郷 隆盛) Né en 1827 et mort en 1877, ce samouraï faisait partie du fief de Satsuma. Issu d'une modeste famille de samouraïs, il obtient une place importante auprès de Shimazu Nariakira, « daimyō » (seigneur féodal) de Satsuma. Son opposition au shogunat, son obstination et sa position pro-occidentale lui vaut d'être exilé en 1859. Mais il est rappelé en 1864 pour entraîner des armées. II. Valeurs et coutumes 1) Leur vie Vie publique