Daniel Gaxie Sondages

qu’on n’est pas complètement juste… Trois méthodes possibles : statistiques, sondages d’opinion, enquête de terrain : - Statistiques permettent d’enregistrer des régularités de comportements. Permettent de comparer deux objets. Transparentes. Problème : dans certains domaines, on croule sous les statistiques et dans d’autres on n’en a que très peu. Permettent de savoir qui a fait quoi mais pas pourquoi. - Sondages d’opinion : outil d’analyse de sociologue et outil de la compétition politique

ressources, du capital, pour mobiliser des ressources qui permettent à l’entrepreneur d’être élu. Ces 2 dimensions fondent l’approche définie par Pierre BOURDIEU et Daniel GAXIE. Ils ont utilisés tous les deux la métaphore du marché mais dans une vision diamétralement opposé à celle de DOWNS. Les individus sont dominés pour Bourdieu et Gaxie. Pour eux, le marché politique est un lieu abstrait où des agents en concurrence pour le courtage politique tentent d’échanger des biens politiques contre des soutiens

nécessite la maitrise d’outils particuliers. La plupart des autres disciplines du point de vue des méthodes sont hybrides. Par exemple la méthode peut avoir recours à la quête des archives, l’analyse statistique, l’étude de textes, la technique des sondages… L’intérêt de cette discipline de la science politique c’est une matière assez vaste notamment par ses outils. Il n’y a pas de méthodes propres à la science politique. Les sciences politiques utilisent le langage courant comme instrument.  Les

 : plus on s’élève dans la hiérarchie sociale, plus les individus disposent des ressources nécessaires (connaissances, vocabulaire, expression, idéologies…) pour participer à la politique, et possèdent un « sentiment de compétence » (Daniel Gaxie cité par Lefebvre : 4 p.261 ) et de légitimité à participer ; inversement les membres de catégories défavorisées, à faibles ressources et/ou légitimité (les non diplômés jeunes, immigrés), ont tendance à se disqualifier

du militantisme partisan. C'est ce qu'à fait Daniel Gaxie, dans un article fréquemment cité paru en 1977 dans la revue française de science politique et intitulé économie des partie et rétribution du militantisme. Il part donc de la question posé par Olson du paradoxe de l'action collective et essaye de voir comment les partis politique français en pratique vont essayer de résoudre cette question en essayent d'avoir le plus en plus de militant. Gaxie montre que les partis politiques vont se placer

Les institutions sont davantage le produit des luttes que des politiques institutionnelles. Ce n’est que dans la mesure où ces politiques s’appuient sur la logique des luttes qu’elles peuvent trouver une efficacité proprement institutionnelle » Daniel Gaxie, in Luttes d’institutions. Enjeux et contradictions de l’administration territoriale, l’Harmattan, coll. logiques juridiques, 1997, p. 21. 3 INTRODUCTION...................................................................................

plus remarquable à des anciens Hommes politiques. Une bonne partie de ces critiques sont ambivalentes dans le sens où elles vont de pair avec une croyance politique (« du temps de... c'était mieux »). Ces visions contrastées sont gommées par les sondages puisque l'on oblige à trancher. Ces critiques font apparaître 2 rapports distincts : une indifférence : faible attention à des enquêtés et qui vont avouer une sorte d'incompétence qui dissuade de répondre aux enquêteurs. C'est une indignation morale

dans tous les sondages réalisés depuis 1945 Schnapper et al. 1986) montre il agit bien une reconnaissance envers uvre de solidarité et de protection accomplie par ce système Ainsi instauration de la sécurité sociale apparaît comme ce qui le plus changé la vie des Fran ais depuis deux siècles selon une enquête effectuée pour Expansion en juillet 19822 Ce système qui doit imposer et garantir tous un niveau de protection et de cotisation équivalent semble le plus préférable selon un sondage Louis Harris

(locaux tout particulièrement, mais la quasi-totalité des élus sont de fait « locaux ») mettent en avant leur proximité avec les citoyens. Mais cette « proximité », devenue rhétorique obligée, relève dans une large mesure de la mythologie politique. Un sondage IFOP révélait quelques jours avant les élections législatives de 2007 que 55% des français ne connaissent pas le nom de leur député[6]. Pourquoi les élus sont-ils aussi attachés à leurs mandats ? Lorsqu’on donne tout à la politique, on en attend

/ émancipation des femmes et protection de l’environnement longtemps ignorés. Champ politique évolue au gré des circonstances. Science politique ~sociologie politique (un des aspects de la science). Toute approche : collecter des données, faire sondages, observer pratiques avec volonté de systématiser le recueil de ces données. Science étudie les faits et les comportements considérés comme politique à un moment donné par une communauté d’individu déterminé. Déterminer des lois pour comprendre pourquoi