Dans La Maison Natale

Analyse sur les pages 17 à 19 du poème intitulé Cahier d’un retour au pays natal Aimé Césaire, l’auteur antillais d’un long poème de 58 pages publié au début de la Deuxième Guerre mondiale. Le poème en question est intitulé Cahier d’un retour au pays natal. Ce poème est une critique de son pays d’origine, les Antilles. Il a écrit ce poème lors de son retour de voyage en France. Césaire fait principalement la description de l’état misérable dans lequel son pays est.

poète découvre alors la ville mythique de l'Antiquité, qui n'est plus que ruines, faste et débauche. Et c’est pour lui l’occasion d’écrire un recueil de poème qui regroupe des sonnets ( 191 sonnets) ou il fait la satire de Rome et l’éloge de son pays natal. C’est dans le sonnet 31 que Du Bellay évoque avec nostalgie le lieu de sa naissance. Commentaire : Le thème du voyage liés à la vie de Du Bellay, il va mettre en référence son voyage avec des héros grecque de l’antiquité Ulysse et Jason qui pour

village, sa maison. Il se questionne (« Reverrai-je…? » ; « Quand reverrai-je…? ») 3. Il est attaché à ses origines. Il a plus envi de les retrouver que de continuer son voyage. 4. Il compare des endroits luxueux au lieu d’où il vient. Cela montre qu’il est attaché à ses origines. 3) A) Le poète se compare à Ulysse et Jason car eux aussi sont partis en voyage. Ils sont également revenus de ce voyage. B) Il leur envie le fait qu’ils ont retrouvés leur confort de leur ville natale. Il aimerait

après une longue absence. La nostalgie du poète se conjugue avec l’importance de la maison à ses yeux ; l’image de la clôture «  reverrai-je le clos » et l’allusion à la « cheminée » renforcent le caractère intime de l’évocation de son chez lui. Du Bellay oppose successivement sa terre natale à l’Italie. Il préfère à la grandeur de Rome dont témoigne l’Histoire antique (« les palais », « le Mont Palatin ») sa région natale qui lui manque et qu’il regrette. Dans le sonnet « Je me ferai savant en la philosophie »

production de soja et l’arrivées des colons. On voit aussi que l’exploitation et les éleveurs ont  débuté a dépasser les limites de terres Indigènes.  Un autre impact que la société «moderne» a sur les Kayapo est qu’elle les force parfois à  se déplacer de leur terre natale. En 2011, le président brézilien , Dilma Vana Rousseff, authorise  la construction d’un barrage hydroéléctrique, «The Belo Monte dam». Ce barrage serait le  troisième plus gros barrage hydroélectrique du monde. Les impact sur la biodiversité de  l’Amazonie seraient énormes

Victor Hugo, Léopold Sédar Senghor et Joachim Du Bellay ont tout les trois abordés un sujet commun dans leurs poèmes : La nostalgie du pays natal. Ce corpus de texte se compose de deux poèmes en vers : « Heureux qui comme Ulysse » tiré du recueil Les Regrets écrit en 1558 par Joachim Du Bellay et « Les Quatre vents de l’esprit » tiré du recueil Le Livre Lyrique écrit par Victor Hugo en 1881 le troisième poème « New York » est en vers libre, il a été tiré du livre Les Ethiopiques écrit

nostalgie. Nous verrons donc comment le sonnet oppose deux lieux Rome et Liré ; puis comment le poète célèbre paradoxalement la grandeur romaine pour exprimer surtout la nostalgie du pays natal. Nous avons donc annoncé le plan :I.Un sonnet bâti sur une oppositionII.Humanisme et grandeur romaineIII.Nostalgie du pays natal Un sonnet bâti sur une opposition Rome / Liré 1.Oppositions lexicales (vocabulaire) ROME / LIRE Palais Romains

comme cestuy-là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, Que des palais Romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit

cestuy-là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d’usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m’est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu’ont bâti mes aïeux, Que des palais Romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l’ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon

cestuy-là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d’usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m’est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu’ont bâti mes aïeux, Que des palais Romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l’ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit