Dans Ma Maison Prévert

Citations : Religion Page 3/3 "Dans l'esprit du paysan, tout l'effort de la religion consistait à desserrer les bourses, à vider les poches des hommes pour emplir le coffre du ciel. C'était une sorte d'immense maison de commerce dont les curés étaient les commis, commis sournois, rusés, dégourdis comme personne, qui faisaient les affaires du bon Dieu au détriment des campagnards. Il savait fort bien que les prêtres rendaient des services, de grands services aux plus pauvres, aux malades,

développement des soins palliatifs et des structures d'accueil pour personnes âgées dépendantes (EHPAD). Dans la littérature notamment dans la poésie, on peut voir que la vieillesse est souvent admirée et la sagesse des vieillards reconnue. Jacques Prévert (1900-1977), dans son poème « La vie n'a pas d'âge », relativise l'importance de l'âge et dissocie la vieillesse d'une période précise pour la définir comme un état d'âme. Interview exclusif : Yves CLERCQ, psychologue spécialisé P our l'édition

fixer tes désirs. Ainsi que ses chagrins l’hymen a ses plaisirs. Quelle joie en effet, quelle douceur extrême ! De se voir caressé d’une épouse qu’on aime : De s’entendre appeller petit cœur, ou mon bon ; De voir autour de soi croître dans sa maison, Sous les paisibles lois d’une agréable mère, De petits citoyens dont on croit être père ! Quel charme ! Au moindre mal qui nous vient menacer, De la voir aussitôt accourir, s’empresser, S’effrayer d’un péril qui n’a point d’apparence, Et souvent

tremblantes mères Croulent à l'estomac leurs poupons éperdus Quand les grondants tambours sont battants entendus. 15Les places de repos sont places étrangères, Les villes du milieu sont villes frontières; Le village se garde, et nos propres maisons Nous sont le plus souvent garnisons et prisons. L'honorable bourgeois, l'exemple de sa ville, 20Souffre devant ses yeux, violer femme et fille Et tomber sans merci dans l'insolente main Qui s'entendait naguère à mendier du pain. Le sage justicier

discours rapporté : le discours direct. - Récits d’enfance et d’adolescence : -les propositions subordonnées circonstancielles de temps L’élève étudie par exemple l’une des œuvres suivantes : Colette, (antériorité, simultanéité, postériorité) ; Sido, La Maison de Claudine, Albert Cohen, Le Livre de ma mère, - les propositions subordonnées circonstancielles de cause, de Nathalie Sarraute, Enfance, Fred Uhlman, L’Ami retrouvé, Hervé conséquence, de but ; Bazin, Vipère au poing, Alain-Fournier, Le Grand Meaulnes

son regard sur les passants qui souvent, a Paris, recueillent ainsi d’agréables sourires adressés a de beaux yeux absents. Le milord arrêta dans la partie de la rue comprise entre la rue de Bellechasse et la rue de Bourgogne, a la porte d’une grande maison nouvellement bâtie sur une portion de la cour d’un vieil hôtel a jardin.[…] Apres avoir sonné, le capitaine bourgeois fi t de grands efforts pour remettre en place son habit, qui s’était autant retroussé par derrière que par devant, poussé par l’action

pays''[3] La maison Frank Une des plus importantes maisons du français en Lituanie est celle qui maintenant abrite le Centre culturel français. „La maison Frank, Franko namas pour les Lituaniens, parfois aussi appelée maison Stendhal par les Français, est située à Vilnius à l’angle des rues Švarco et Didžioji, à la lisière nord-est de l’ancien quartier juif et au sud de celui de l’université. la famille Frank qui séjourna dans cette maison il y a 200 ans”[4]

Pernelle reproche à sa bru (Elmire) et à ses petits enfants (Mariane et Damis) de mener une vie dissolue. Elle prend la défense de Tartuffe, dévot personnage qu'Orgon a recueilli chez lui et que les autres membres de la famille accusent d'exercer dans la maison un pouvoir “tyrannique”, sous des dehors hypocrites. Scène 2 : Dorine (la nourrice) expose à Cléante (beau-frère d’Orgon) l'aveuglement d'Orgon à l'égard de Tartuffe, dont elle dénonce l'hypocrisie. Scène 3 : Est évoqué le mariage de Mariane, fille

Toui:ef te. dix tV fa.l.ué.u. Chanson ancienne 90 • Page quatre-vingt-dIx Page quatre-vlngt-onze • 91 "~""""~~~B3 ______ /ai -lAI lAI- laI Les voyelles l'JI-IAI = masculin ou féminin ~W~ ~ EXERCICES Le jardin et la maison sont beaux. (La tension: les voyelles l'JI -IN = masculin ou féminin) . . Répétez. 1. 2. laI L~ s~cret. lAI Li! si!lIe. 3. 4. Repasse! Passe-le! . . Regardez les corrigés des exercices 1 et 2, puis répétez-les. U Observez'les-

bretonne. Je crois l'entendre encor, quand, sa main, sur mon bras, Autour des verts remparts nous allions pas à pas : " Oui, quand tu pars, mon fils, oui, c'est un vide immense, Un morne et froid désert, où la nuit recommence ; Ma fidèle maison, le jardin, mes amours, Tout cela n'est plus rien ; et j'en ai pour huit jours, J'en ai pour tous ces mois d'octobre et de novembre, Mon fils, à te chercher partout de chambre en chambre : Songe à mes longs ennuis ! et, lasse enfin d'errer,