Dans Quel Mesure La Baisse Des Taux D Interet Peut Elle Favoriser L Investissement Des Entreprises

L’ECONOMIE ET DES FINANCES DIRECTION DE LA PREVISION ET DES ETUDES ECONOMIQUES Document de travail N° 13 INCIDENCE DE LA FISCALITE DES SOCIETES SUR LA DECISION D’INVESTISSEMENT DES ENTREPRISES SENEGALAISES DPEE/DEPE @ Septembre 2009 Incidence de la fiscalité des sociétés sur la décision d’investissement des entreprises sénégalaises Septembre 2009 Kalidou THIAW1 Alsim FALL RESUME : L’un des outils généralement privilégiés par les Gouvernements pour stimuler l’investissement est la politique fiscale

s’était améliorée depuis le début des années 2000 dans les trois principaux pays latino-américains : le Brésil, le Mexique, l’Argentine. Dans une certaine mesure, ces économies fonctionnent moins comme « économie casino » que pendant les années 1990, en font donc moins dépendre le bouclage de leurs comptes extérieurs par la manipulation de leurs taux d’intérêt grâce à une amélioration, parfois sensible, sauf au Mexique, de leurs positions externes. Nous le montrerons. Mais cette amélioration est de surface

française (Taux de croissance annuel moyen en %) Q1 – Faites une phrase avec 962, 1 933 et 2% entre 1975 et 2010 ………………………………………………………………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………………………………………………………………… Q2 – Quelle observation tirez-vous du graphique ? ………………………………………………………………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………………………………………………………………… 2 – Taux de croissance

 travail  disponible  pour  alimenter  la  croissance  dépend   de   la   population   active   et   de   son   taux   d’activité  :   plus   la   population   active   est   élevée,   plus   la   croissance   sera   favorisée.   Le   facteur   travail   peut   également   être   apprécié   d’un   point   de   vue   qualitatif  :   plus   la   qualification   professionnelle

pour l’aider dans la production. Les économistes appellent ce capital ressource et le (travail) W qui permettent sa mise en valeurs sont appelés : «facteurs de productions» - Les produits sont divisés en biens et service : biens : à existence propre, peut changer de propriétaire, être matériel ou immatériel. Services : quant à lui il est étroitement lié à un ensemble d’opération qui contribue motion d’opération qui vise à : - transformer un bien (ex: service de réparation) - soit le mettre à disposition

futur. L’épargne peut constituer une conso’ différée. On parle d’épargne pour les ménages, pour les entreprises et pour les administrations publiques mais on ne parle pas de consommation au sens précis du terme. Le partage du revenu pour ces agents éco’ se fera plutôt entre les dépenses courantes, l’épargne et l’I. Les dépenses de conso’ ne sont pas toujours supportées directement par les bénéficiaires ; par ex, dans tous les pays les dépenses d’éducation sont dans une large mesure prises en charge

relations existant entre les grands agrégats économiques, comme le revenu, l'investissement, la consommation, le taux de chômage, l'inflation…Mais les économistes en recourant ainsi à la modélisation, pour tenter de comprendre ces phénomènes, se donnent une représentation simplifiée de la réalité sachant que la représentation pertinente de celle-ci n’est pas une évidence car la même réalité peut être représentée de plusieurs manières selon l’objectif visé par l’étude et surtout selon les hypothèses émises

INVESTISSEMENT, ÉPARGNE ET PROFIT 1. Rôle du capital Épargne ou besoins de liquidité. Pour tous les économistes, l’épargne est considérée comme un revenu en instance d’affectation qui a pour raison d’être l’arbitrage que fait un agent économique entre la consommation et l’investissement. Si les agents économiques qui perçoivent un revenu de quelque nature que ce soit se décident spontanément à l’utiliser, l’épargne disparaîtra. Cependant, puisque les ménages n’investissent pas, tous leurs

fondements de l’économie planifiée. Cela signifie que le rôle des entreprises publiques est également réduit aujourd’hui puisqu’ils ne peuvent plus être considérés ni comme des objectifs ni comme des instruments. Elles sont soumises aux forces de marché qui ne relèvent pas de la politique économique. L’analyse se concentrera sur l’Etat et sur ses interactions avec les différents groupes d’agents économiques : les producteurs (entreprises), consommateurs (ménages), toutes les institutions financières

B-Réduction des inégalités et croissance •D’autres économistes ont montré que la réduction des inégalités peut aussi être favorable à la croissance. •En effet, des calculs effectués en comparant des entreprises françaises (aux inégalités de salaires et d’autorité marquées) et allemandes (aux inégalités moins marquées) ont montré que la réduction des différences d’autorité et de salaires peut entraîner une meilleure coopérationentre travailleurs de niveaux hiérarchiques différents et donc une hausse