Dans Quels Chants Ulysse Fait Il Le Récit De Ses Aventures

[pic] Conte, légende, mythe, épopée, fable… Dans ce document, nous essayons de distinguer différentes formes de récits proches du conte merveilleux. Cette distinction, dans les faits, n’est pas toujours facile à établir, certains textes se situant à la limite, dans leur contenu ou dans leur forme 1. Le mythe a. Qu’est-ce qu’un mythe ? Le mythe est un récit, issu de la tradition orale, propre aux civilisations anciennes ou peu en contact avec la société moderne. Les mythes expliquent

parmi elles, uniquement celles qui représentent des actions humaines ou des êtres humains. Ce qui nous place assez loin des formes narratives modernes mais nous permet néanmoins de dégager quelques premiers principes directeurs concernant le genre du récit. Celui-ci se reconnaît à : * Une représentation décalée, médiatisée – et non directe comme au théâtre (la parole est rapportée) ; * La présence implicite d’une voix, celle du narrateur ; * Une énonciation variable suivant que le poète parle

aux enfersChant VI = 3 itinéraires : - le genre littéraire de l’épopée antique : le merveilleux y tient une grande part. Depuis Homère ( dans le chant XI de l’Odyssée Ulysse consulte les âmes des morts), l’évocation de l’au delà par le biais du sacrifice ( nekuia en grec) est un élément caractéristique du récit épique - le reflet d’une expérience initiatique : le héros de Virgile, en faisant halte dans l’antre de la Sibylle et en visitant sur ses pas les

Gémeaux 9. Bœufs du Soleil Sagittaire 4. Eole Cancer 10. Calypso. Capricorne 5.Lestrygons Lion 11. Retour calme Verseau 6. Circé Vierge 12. Naufrage Poissons 1. Nous constatons immédiatement, si nous suivons l'ordre reconstitué d'après le récit d'Ulysse, la présence de quatre triplicités : Les trois signes de Feu correspondent à des épisodes de violences guerrières et de massacres dont les résultats observent un ordre croissant : Peu de pertes dans l'engagement avec les Kikones La perte

IEUNE), se consacrera à la littérature pour mener son grand combat contre tous les fanatismes. Poète, dramaturge, auteur des Lettres Philosophiques, qui apparaissent comme une véritable annonce du programme des Lumières, il participe à la grande aventure de L’Encyclopédie, rédige le Traité sur la tolérance et le Dictionnaire philosophique. En 1759, il publie un de ses contes philosophiques le plus célèbre : Candide ou l’Optimisme pour répondre à ses interrogations sur l’optimisme et la présence du

pourtant bien éloigné de la pensée magique qui a présidé à la naissance des mythes. Tout au plus les convoque-t-il encore pour illustrer les mécanismes à l’œuvre dans un psychisme malade. Cet homme moderne oublieux de ses racines, Roland de Réneville s’en fait le porte-parole quand il déclare, en 1950 : « Saint-John Perse réinfuse à nos mythes, enfouis mais toujours présents dans nos profondeurs, un sang neuf en les situant dans un courant de pensée identique à celui qui les fit naître, et qui apparaît encore

intégrante de leurs œuvres. Rappelons tout simplement Phèdre de Racine. Quelle belle figure mythique inspirée d’Œdipe Roi! Le complexe de la mère aimant son beau-fils nous rappelle sans aucun doute le drame que ressent Œdipe en apprenant qu’il a épousé en fait sa mère et a tué son père. Plus récemment, avec le cinéma qui prend de plus en plus d’ampleur dans notre monde, les mythes se sont vus être transposés en images; non plus en mots. Très souvent nous voyons des figures telles que Conan le barbare; cet

avaient été jouées en 1647 et en 1675, ils avaient fait l'un et l'autre de Phèdre la fiancée de Thésée, non plus son épouse, dénaturant ainsi l'essentiel du drame. Pradon, sans doute par souci des bienséances, les imita sur ce point. Que Racine ait donné pour titre à son œuvre “Phèdre et Hippolyte” d'abord, puis tout simplement “Phèdre” suffirait à montrer que sa manière de traiter le sujet antique était fort éloignée de celle de ses prédécesseurs. En fait, sa tragédie est d'une originalité évidente par

héros naît en même temps que naît la littérature: il est au centre de récits mythologiques à valeur symbolique censés fournir une explication du monde. Cet être hors du commun, parfois homme, parfois dieu ou encore hybride, a travaillé à rendre le monde des temps lointains habitable et celui d’aujourd’hui meilleur, faisant preuve de forces morales et/ou de forces physiques qui se sont perpétuées au fil du temps. Ses exploits chantés par la chanson de geste, gravés dans la pierre, peints sur les toiles

pour s’en servir dans la communication et dans l’analyse des textes. ACTIVITES ORALES - Communiquer oralement à partir d’une œuvre littéraire dans le cadre de débats, d’exposés, de dossiers documentaires, etc. PRODUCTION ECRITE - Elaborer des récits de vie. - Elaborer des fiches de lecture. - Analyser une image. 5 VIE ET ŒUVRE DE L’AUTEUR Ahmed Sefrioui est né à Fès en 1915, dans une famille berbère arabisée. Il fréquenta l’école coranique, puis entra au collège Moulay-Driss, toujours