Danse de bal

épouse sans l'aimer, mais avec le ferme dessein de lui être fidèle, un homme qu'elle estime : M. de Clèves qui, dès le premier abord, avait conçu pour elle un amour extraordinaire. Peu de temps près ce mariage de raison, elle rencontre, au cours d'un bal donné par la Reine, un jeune gentilhomme entre tous séduisant, M. de Nemours. Comment ce passage relaté par un narrateur a priori neutre, qui ne nous montre que des rapports en apparence assez lâches entre des personnages différents et qui incite

Antigone ; Eurydice, femme de Créon, le messager, le pages, les gardes Décors Rideaux, musique, mur, la ville, funérailles, bal, orchestre, petit antiquaires. Chateaux, chaise, cheval, place du village, vêtement déchiré, couronne, terre ( sol), lance, épée Les jeux de scènes Assise là-bas ; regard droit devant elle ; rideau s'est levé ; rit l'orchestre attaquait une nouvelle danse ; tricate adossé ; jouent aux cartes Créon assis sur son trône au fond de la scène ; Page de Créon attend passivement

La danse macabre  La danse macabre a été crée par d'Henri Cazalis (alias Jean Lahor)il est née à Cormeilles-en-Parisis (Val-d'Oise) le 9 mars 1840 et mort à Genève (Suisse) le 1er juillet 1909, il était médecin et poète ,la danse macabre a été  faite en 1875 et il faut dire qu’au XXe le romantisme été a la mode.  La danse macabre est une version pour orchestre d'une mélodie écrite par Camille Saint-Saëns en 1872 et publiée en 1873, dédiée à Gustave Jacquet.a première audition en 1875 surprit

personnages qui ressemblent et s'attirent (l.7) parallèlisme -> dans une perspective romanesque, les deux personnages sont voués à s'aimer. -Dans le récit, comme dans la salle de bal, ils sont isolés (l.13) « un murmure de louanges » -les deux héros sont passifs, c'est le roi qui organise la rencontre au moment de la danse -(l.6) -> « lui cria de prendre » -l.13 -> « ils les appelèrent » Comme dans tout processus de fatalité, le hasard semble absent. La princesse de Clèves cherche un cavalier.

personnages qui ressemblent et s'attirent (l.7) parallélisme -> dans une perspective romanesque, les deux personnages sont voués à s'aimer. -Dans le récit, comme dans la salle de bal, ils sont isolés (l.13) « un murmure de louanges » -les deux héros sont passifs, c'est le roi qui organise la rencontre au moment de la danse -(l.6) -> « lui cria de prendre » -l.13 -> « ils les appelèrent » Comme dans tout processus de fatalité, le hasard semble absent. La princesse de Clèves cherche un cavalier

ressemblent et s'attirent, à la ligne 7 il y a un parallélisme dans une perspective romanesque, les deux personnages sont voués à s'aimer. Dans le récit, comme dans la salle de bal, ils sont isolés, ligne 13 « un murmure de louanges » Les deux héros sont passifs, c'est le roi qui organise la rencontre au moment de la danse ligne 6 « lui cria de prendre »et ligne 13 « ils les appelèrent » Comme dans tout processus de fatalité, le hasard semble absent. La princesse de Clèves cherche un cavalier. Le

de rompre la routine quotidienne: elle est invitée à un bal au ministère. Ce bal, dont elle a tant révé est un passage cruicial dans cette nouvelle, plus qu'il représente à la fois un moment d'intense bonheur pour Madame Loisel, mais aussi le début et la cause d'une longue vie de misère. Il s'agira alors d'étudier comment Maupassant, en jouant sur la structure et le temps verbal de ses phrases parvient à exprimer l'importance qu'à le bal aux yeux de madame Loisel. Deux mouvements peuvent donc

psychologiques de la littérature française. Dans l’extrait étudié, Melle de Chartres, le personnage principal de l’histoire, vient de se marier avec le prince de Clèves pour lequel elle n’éprouvait pas beaucoup de sentiments. Ici, elle participe à un bal à la cour d’Henry II et rencontre pour la pre-mière fois le duc de Nemours jusqu’alors occupé à arranger une affaire matrimo-niale. On assiste alors à une scène de première rencontre et au coup de foudre entre les deux personnages acteurs de la scène

mariage. De plus, sa belle-mère ne l'apprécie pas. Fin septembre, invités au bal de Vaubyessard, chez Marquis d'Andervilliers. Arrivés chez marquis, dînent avec nombreux invités. Emma délaisse Charles pdt soirée car se sent dans son élèment et est émerveillé par le luxe du bal. Boit du champagne, danse avec un Vicomte, elle vit ses rêves pendant qqs heures. Lendemain, couple retourne à Tostes. Emma ressent mélancolie. Bal alimente l’imagination d’Emma. Elle rêve de Paris. Mais ennui continu et Emma

nous aborderons les caractéristiques de cet événement mondain, puis nous nous attarderons sur la figure que représente la princesse Vanina pour enfin terminer sur les différents désirs cachés et vains des personnages. Tout d'abord, le réalisme du bal, est, grâce à diverses informations, assez saisissant. En effet, plusieurs indications temporelles sont éparpillées dans l'extrait, et font directement leur apparition dans la première phrase: « C'était un soir du printemps de 182* » qui pose ainsi