Danse traditionnelle

partie : Le cirque et L’école 1. l’histoire et la culture du cirque La Chine il y a 3000 ans est le berceau de l’acrobatie et de la jonglerie, les dresseurs d’animaux et les équilibristes sont trouvés en Egypte, les parades d’animaux et la danse de corde existe en Grèce Antique, les Jeux du cirque romain pour les courses de chars et l’arène aux lions le Circus Maximus avec ses 385000 places autour d’une scène en cercle, puis avec le moyen âge et ses foires : ce sont des artistes ambulants

théâtre complet ».
(danse, musique, chant, poésie, mime) La représentation du Kathakali est complexe. Pour résumer en une phrase ce qu’est le Kathakali, on pourrait essayer de dire :
 Une musique et un chant accompagnent des acteurs qui dansent et miment des scènes narratives par des expressions corporelles et émotionnelles, dans les costumes élaborés et des visages maquillés. Le jeu des acteurs est hautement structuré et stylisé. Les sources d'inspiration traditionnelles se trouvent bien évidemment

vives un peu plus léger. Les personnages de "The Joy of Life" (1905-1906) sont dédiés à des allégories des arts (musique et danse) et les plaisirs (beauté du corps et de l'amour) la vie, qui les amènent, comme le titre l'indique, "la joie de vivre ". Nous pouvons également observer le cercle de danseurs, dans le fond, servant une étude préparatoire pour le tableau La Danse, il a réalisé en 1909 cette peinture est un hymne à la beauté du corps, de l'art et de la couleur. Dans le tableau, nous pouvons

peut le voir à travers un paysage de circonstance et une atmosphère particulière. On retrouve dans tout le poème le champ lexical de la fête  « masques et bergamasques » vers 2 « chantant » vers 5. Il y a aussi une omniprésence du champ lexical de la danse « dansant » vers 3 « bergamasques » et celui de la musique avec les termes « luth » vers 3 et « chanson » vers 8.Cette musicalité ets renforcée par la versification et la typographie du texte. De plus les assonance en /t/ imitent le tempo de la musique

cubisme, lʼhistoire de lʼécriture, la bijoux fantaisies… culture américaine… Ma culture: le « street art », les films Design graphique: le logo, la dʼaction, le manga, les super-héros, les typographie, magazine, lʼaffiche, bandemarques de sport, la danse hip hop,.... dessinée, la marque, lʼimage de synthèse, le dessin animé, la signalétique urbaine, calligraphie... Elargir sa culture artistique: repérer les différentes formes dʼexpression Arts du son: le design sonore, esthétique musicale

fait le problème du pouvoir »4. Par l’usage des mots amazighes purs, l’auteur nous incite à connaître le passé et de s’armer de connaissance historique pour sauver l’héritage socioculturel du pays. Dans le village de Bouchaib les fêtes traditionnelles ont une place de chois, par le biais de ces fêtes l’auteur nous montre une des caractéristiques du Sud. Ainsi la première action du Vieux dans le roman consiste à offrir du sacrifice à la mosquée. C’est l’occasion pour les villageois de se réunir : « Certains

flamenco, mais certaines descriptions de scènes de danse laissent penser que ces auteurs ont été spectateurs de cet art. Ces écrits, ainsi que illustrations de G. Doré (1862), puis le succès des oeuvres musicales hispanisantes de Bizet (Carmen 1873), Chabrier (España 1896), Debussy (Iberia 1905) vont contribuer à enrober l'Andalousie d'une aura pittoresque. La seconde vague est lié au passage à Paris entre 1910 et 1935 des premières compagnies de danse flamenca, dont le style chorégraphique initié par

d'arts du spectacle incluant les acrobaties, la jonglerie, la prestidigitation et la pantomime, importés de Chine. Progressivement, la pantomime comique devint l'attraction principale, entrainant le changement de nom : « sarugaku » signifie en effet « danse de singe ». A la cour, l'art privilégié était le gagaku et le bugaku. Ces arts se voulaient harmonieux, élégants, raffinés, et étaient destinés à un public principalement aristocratique. A la même époque, les traditions et rites paysans avaient donné

esthétique Auteur anonyme Brève biographie de l’auteur : auteur anonyme (pratique traditionnelle) Contexte (historique, social, artistique … : Les grands explorateurs du XVIe s. ont découvert les îles océaniennes. Peu de temps après l’arrivée des missionnaires occidentaux et chrétiens (1797), la pratique fut strictement bannie. En 1819, le tatouage, considéré comme symbole païen (en même temps que la danse !) par les missionnaires, fut interdit par le "code Pomare" et les tatoueurs étaient susceptibles

totalité ou en partie, du fait même de son potentiel subvertif. Ainsi, on peut se demander pourquoi ou du moins dans quel cadre, politique et religion, tentent de codifier des divertissements a priori anodins en les maintenant dans des cadres dits traditionnels. Et dans le même temps, nous essayerons de voir en quoi les divertissements marqueraient une identification sociale volontaire ou non. Nous verrons donc dans un premier temps, que les divertissements sont une affirmation de l'identité japonaise