Darwin Et Descartes

il est même appelé « le Christophe Colomb de notre esprit ». Freud bouleverse l'idée classique que l'on se faisait de l'homme en tant que sujet. Dans cette conception classique, la pensée est vue comme une activité volontaire et consciente (Cf : Descartes). Et Freud offre ainsi une vrai révolution dans l'histoire de la pensée où il existerait en nous des pensées inconscientes qui nous détermineraient à notre insu. C'est une nouvelle conception de l'homme voire même une révolution ; la psychanalyse

fil du temps. Selon la théorie du créationnisme, Dieu est seul créateur de la Terre et de l’univers, de l'infiniment petit à l’infiniment grand. Grâce aux progrès scientifiques on a vu peu à peu apparaître la théorie de l’évolutionnisme surtout avec Darwin dans son œuvre « L’évolution des espèces » qui a pris l'exemple des espèces disparues qui ont pu tout de même être authentifiées par des fouilles archéologiques ce qui est totalement contradictoire avec ce que dit la religion sur le fixisme et prouve

moral, mais elle dit aussi que je suis un être pensant. B) Je suis un être pensantDans le Discours de la méthode et dans les méditations métaphysiques Descartes exprime sa déception vis-à-vis des connaissances acquises, seules les mathématiques semblent fiables, mais elles sont inutiles. Descartes se propose de reconstruire un savoir nouveau, une philosophie vraie qui serait utile et fiable. Pour cela, il faut partir d’une vérité absolument certaine. Pour la découvrir, il

vernaculaire (le florentin qui deviendra l’Italien d’aujourd’hui). C’est un communicateur hors pair. Il a été très loin dans l’expression imagée. Il a, plus tard, été très critiqué sur cet aspect et sur « son manque de rigueur » par ses successeurs (Descartes, Newton, Leibniz, etc…). On peut le considérer comme un défricheur, celui grâce à qui la science « nouvelle » a commencé à avoir droit de cité. Un de ses élèves, Torricelli (1608, 1647), à Florence en 1643, résolut le pompage de l’eau à plus de

quitte à risquer une assignation à résidence jusqu’à la fin de sa vie ; et la vérité scientifique peut provoquer un véritable traumatisme, qui peut très largement sortir des limites du débat scientifique. L’exemple du débat autour de la théorie de Darwin (dont on fête les 150 ans en 2009) l’illustre parfaitement. 2) Pascal, à travers la rédaction de ses Pensées (1670) témoigne de l’angoisse qui saisit son époque, après la révolution galiléenne : nous sommes passés d’un cosmos clos, où l’homme était

l’intelligence l’explique et lui ôte ce qu’il peut avoir de merveilleux. Cependant, on voit que les effets déprimants de l’intelligence ne se constatent pas seulement à propos du monde, mais surtout à propos de l’homme et du « moi ». En évoquant Copernic et Darwin, Freud parle de « blessures narcissiques de l’humanité ». Pascal individualise ce propos en affirmant que « penser à soi » de façon lucide revient à comprendre ou à entrevoir sa misère, sa mortalité, sa nullité dans le tout du réel et du monde. Le

dans les autres, sous l’effet de l’usage et de la désuétude, à partir de la génération spontanée du vivant qui s’applique de tout être vivant, y compris l’homme. C’est Lamarck (1744-1829) qui fait vraiment tomber l’homme de son piédestal, alors que Darwin, 50 ans plus tard, ne fera que proposer des mécanismes plus cohérents pour ce qui est de l’explication de l’évolution –en remplaçant l’usage et la désuétude par la lutte pour la vie. I° la compréhension du vivant entre finalité et mécanisme

sur les conditions nécessaires pour certifier la validité d’un jugement en fonction de l’objet étudié n’est pas sans enjeux : il nous donne quelques pistes pour établir une règle générale qui satisferait les critères de vérité de la pensée, que Descartes formalise dans ses Règles pour la direction de l’Esprit. La vérité formelle d’une affirmation repose uniquement sur la cohérence de la relation d’idées qui nous a amené à la formuler. Cette cohérence est avant tout nécessaire. En effet, le propre

La pensée comprend la conscience psychologique. Descartes rebondit sur le conscient pour définir la pensée. « Par le nom de pensée je comprends tout ce qui est tellement en nous, que nous en sommes immédiatement conscients. » Or, je suis une chose qui pense, mais nous sommes aussi autre chose ; avant d’être une chose qui pense, nous sommes des vivants. On est d’abord une vie qui pense par la suite. Alors, en quoi consiste la vie ? Comment répondre à une telle question ? Si nous écartons

Lévi-Strauss sur le même sujet et nous verrons que les idées des deux philosophes se rejoignent. L’auteur sous-entend d’emblée que l’homme est un animal « Comparé aux autres animaux ». On voit alors qu’il se place dans une vision Darwinienne en effet, Darwin nous montre dans l’origine des espèces que l’humain a un ancêtre commun avec le singe. L’homme n’est alors qu’un animal plus avancé car tout ce qu’on trouve chez l’homme est présent sous forme embryonnaire chez l’animal ; c’est le cas par exemple