Daudet

Jean-Pierre Claris de Florian (XVIII) 2) «  Le bonheur » Albert Samain (XIX) 3) «  Enfant, pourquoi pleurer ? » Guy de Maupassant (XIX) 4) « L’enfant qui priait » Sophie d’Arbouville (XIX) 5) « Les ailes des petits enfants » Alphonse Daudet (XIX) 6) « L’enfance » Gérard de Nerval (XIX) 7) « L’enfance » Victor Hugo (XIX) 8) « L’enfance » Guillaume Apollinaire (XIX) ? 9) « L’écolière » Maurice Carême (XX) 10) « Le cancre » Jacques Prévert (XX) Préface

sentimentale (1869). Zola, les Rougon-Macquart. Histoire naturelle et sociale d'une famille sous le second empire (1871-1893), l'Assommoir (1877). Daudet (1840-1897), les Rois en exil (1879). Goncourt, les Frères Zemganno (1879). Huysmans, les Soeurs Vatard (1879), les Soirées de Médan (1880). Zola, Nana (1880). Céard, une Belle Journée (1881). Daudet, Numa Roustestan (1881). Huysmans (1848-1907), En Ménage (1881). Maupassant (1850-1893), la Maison Tellier (1881). Lemonnier, un Mâle (1881).

l'imagination des plus grands écrivains classiques et modernes, les figures surnaturelles qui hantent ces récits sont éternelles. Elles raniment, le temps d'une lecture, la magie et les terreurs de l'enfance. Théophile Gautier, Gérard de Nerval, Alphonse Daudet, George Sand, Edgar Poe, Guy de Maupassant, Howard P. Lovecraft, Jean Ray, Richard Matheson, entre autres, nous invitent à déguster ces fruits défendus du rêve, à explorer l'autre côté... à nos risques et périls ! L'occasion de découvrir les fondateurs

Second Empire avec ironie, mais ne se trouve pas à Paris pendant la Semaine sanglante. On sait toutefois que sans soutenir l'esprit de la Commune, dont il relate modérément les événements dans la presse, il ne s'est pas associé à Flaubert, Goncourt ou Daudet dans leur joie d'une violente répression24. Le 3 juin 1871 dans le Sémaphore de Marseille, Zola écrivait à propos du peuple de Paris : « Le bain de sang qu'il vient de prendre était peut-être d'une horrible nécessité pour calmer certaines de ses fièvres

l'élève qui t'a prêté dix francs... (A. Daudet, Le petit chose, p. 112) Il y a des cas où on emploie les deux éléments à la fois = offrir + (de) prêter Ex.: Le vieux Lalouette offrit de prêter un peut d'argent à Pierrotte pour qu'il peut entreprendre un commerce à son idée. (A. Daudet, Le petit chose, p. 159) Un autre sens - remettre une dette, payer pour. 4. distribuer - distribution, accorder, présenter

dormait dessus" (Alphonse Daudet). - L'imparfait marque une action passée : Avant mon accident, j'habitais à la campagne et je me rendais au travail en voiture. - L'imparfait marque un fait en train de se dérouler dans la durée (au passé), qui n'est pas achevée, donc une action imparfaite : Comme le soir tombait, l'homme arriva. - L'imparfait peut indiquer aussi la répétition, des faits habituels passés : "Le dimanche, nous allions aux moulins par bandes" (Alphonse Daudet). Elle se levait tous les

semblables, il privilégie cependant les amitiés artistiques et littéraires, et fuit les politiques. Grâce à ses travaux journalistiques, il se lie avec les frères Goncourt. Puis en 1871, il rencontre Gustave Flaubert qui l'introduit auprès d'Alphonse Daudet et Ivan Tourgueniev. Toute sa vie, Zola gardera la nostalgie de ce « petit groupe ». Zola se rapproche aussi de jeunes écrivains comme Guy de Maupassant. La puissance de travail du romancier a fini par porter ses fruits. Pendant cette période,

d'art, y compris le cinéma. - "Malgré ses airs de conte fantastique, cette légende est vraie d'un bout à l'autre..." écrit Alphonse Daudet dans La Légende de l'homme à la cervelle d'or. Vous vous demanderez pourquoi certains écrivains ont recours à la fiction pour transmettre des vérités ou des leçons. Vous répondrez en vous appuyant sur le texte d'Alphonse Daudet et sur d'autres œuvres que vous connaissez. - Dans quelle mesure la force d'une argumentation se nourrit-elle de l'expérience vécue

son époque, les Goncourt, Maupassant, Georges Sand, Daudet, Zola et Louise Colet. Il a entrepris deux relations avec cette dernière qui était une poétesse du 19eme. Ces correspondances sont très connues car elles occupaient une très grandes place dans sa vie. Gustave Flaubert meurt alors le 8Mai 1880 à Canteleau d'une hémorragie cérébrale. Il a été enterré trois jours plus tard, de nombreux écrivains important étaient présents comme Zola, Daudet, Goncourt Banville et même Maupassant. Flaubert était

confesseur, que MC est bien catholique (certes non pratiquante sous l’influence de son mari) et qu’il suffit de demander le certificat de baptême à l’archevêché de Varsovie. Les révélations de Léon Daudet : lors d’un repas chez sa cousine la comtesse Elisabeth Gerffulhe, RTM a confirmation par Léon Daudet, rédacteur de L’Action française, qu’il fait suivre MC par un détective privé afin de prouver qu’elle est une espionne et de découvrir les vraies causes de la mort de PC. Par ailleurs la police surveille