De Georges De Scudéry Sur Un Songe

(theatre, poetry, fiction) and themes such as the status of authors or the development of French as a literary language. But at all times, the verdicts pronounced are partial and provisional. I have come to appreciate the truth of the observation made by George Saintsbury in the preface to his Short History of French Literature (1882): ‘Some familiarity with the subject has convinced me that nowhere are opinions of doubtful accuracy more frequently adopted and handed on without enquiry than in the history

Chagrin d'autrui ne touche qu'à demi. Chacun décharge son péché, et charge celui d'autrui. Jamais par le bras d'autrui, Grands État n'ont été conquis. Qui s'attend à l'écuelle d'autrui, Risque de rester sur son appétit. Le mal d'autrui n'est que songe. Il faut se prêter à autrui, Et ne se donner qu'à soi. L'avare crierait famine sur un tas de blé. L'avare pour vouloir dépenser peu, Dépense le double. Avare pour le son, prodigue pour la farine. Quand tous les péchés sont vieux, Avarice est encore

cette fin des mœurs de Mme de Merteuil, comme un enfant de neuf ou dix ans dévoré par un tempérament de feu peut voir ces choses dont tout le monde évite de lui dire le fin mot. » Citons enfin l’extrait d’une étude biographique très récente, celle de Georges Poisson qui confirme la source grenobloise du roman et avance des arguments importants expliquant les motivations de l’auteur : « Les Liaisons dangereuses, à notre avis, s’expliquent par là que c’était sans doute la première fois que Laclos pénétrait

comme l'un des rideaux de cette scène. Le monde est un théâtre : cette proposition en appelle inévitablement une autre, qui la transpose sur une autre frontière de l'existence, et dont Calderon fait le titre d'une de ses « comédies » : la vie est un songe. Une dialectique perplexe de la veille et du rêve, du réel et de l'imaginaire, de la sagesse et de la folie, traverse toute la pensée baroque. Au vertige cosmologique provoqué par la découverte du Nouveau Monde (<< Notre monde, dit Montaigne, vient

préparée par le premier tercet qui liait « l’herbe… mise en cendre » à la fin de l’espoir. Analyse 4. Dans les deux poèmes, le poète prend la position du spectateur qui le mène de la contemplation à la méditation. Le poète se réjouit, s’étonne, ou songe. Les deux images qu’il donne sont très différentes. Dans « La solitude », il s’émerveille, dans « Le fumeur », il se désole. De même que le fumeur passe du désespoir à l’espoir pour retomber dans le désespoir, le rapprochement des deux poèmes nous

demande comment adapter l'explication de textes à notre discipline, quand il s'égare jusqu'à suggérer aux candidats d'expliquer simultanément trois textes rédigés en trois langues, mais dont chacun décrit la forêt, ou le désert, ou la mer, que ne songe-t-il que mieux vaudrait s'appliquer aux diverses traductions d'une même œuvre? Tel serait à mon sens le modèle achevé de l'explication comparée.3 1- Anne-Rachel HEMETET, « Les Désarrois du lecteur d'œuvres traduites ». In La traduction littéraire

Selbstmord; der besorgte Ehemann verläßt das Haus, die Frau schlüpft durch die offene Tür, verschließt sie ihrerseits und gibt den draußen jammernden Ehemann dem Gespött ihrer Verwandtschaft preis. Molière hat die gleiche Situation im 3. Akt seines Georges Dandin wiederverwendet. Man darf bezweifeln, ob der vorliegende Text dieser beiden Einakter wirklich von Molière selbst und nicht vielmehr von einem Unbekannten stammt, der nur ein von Molière entworfenes Szenario ausgefüllt hat. Es steht außer Frage

souvent oublié par les metteurs en scène récents) la précision de la didascalie précédant le vers 190 : « debout sur une chaise ». 5. Les collègues intéressés par la question du théâtre dans le théâtre feront leur profit de la réédition de la thèse de George (sic) Forestier, Le Théâtre dans le théâtre sur la scène française du XVIIe siècle, coll. « Titre courant », Droz, 1996. Cyrano de Bergerac – 13 son compte bien des répliques rebelles ou désabusées de celui de Beaumarchais : « Parce que vous

verres sur la table ne contribuait pas peu à entretenir la terreur qu'inspirait cet aspect de Croque-mitaine rehaussé par un pourpoint de velours noir d'une mode surannée ; aussi obtenait-il un succès d'épouvante en hurlant les vers de Garnier et de Scudéry. Il était, du reste, entripaillé comme il faut, et capable de bien remplir un trône. Le Tranche montagne, lui, était maigre, hâve, noir et sec comme un pendu d'été. Sa peau semblait un parchemin collé sur des os ; un grand nez recourbé en bec d'oiseau

verres sur la table ne contribuait pas peu à entretenir la terreur qu'inspirait cet aspect de Croque-mitaine rehaussé par un pourpoint de velours noir d'une mode surannée ; aussi obtenait-il un succès d'épouvante en hurlant les vers de Garnier et de Scudéry. Il était, du reste, entripaillé comme il faut, et capable de bien remplir un trône. Le Tranche montagne, lui, était maigre, hâve, noir et sec comme un pendu d'été. Sa peau semblait un parchemin collé sur des os ; un grand nez recourbé en bec d'oiseau