De l'autre côté du miroir

étage d’une grande maison aristocratique du début du siècle, dans les faubourgs chic de Knowxville, Tennessee. Avec un grand lit en cuivre, deux penderies, une coiffeuse avec miroir, une chaîne stéréo sur une étagère, un appareil de gymnastique d’appartement. Deu x portes : une donne sur la salle de bains, l’autre sur le palier. Une grande fenêtre avec un siège intégré est suggérée à l’avant-scène. La chambre a été décorée par la mère de Margaret dans un luxueux mélange des styles

cliniques sur les parents des adolescents délinquants ..............60 CHAPITRE 3 : LE STADE DU MIROIR ET SON APRÈS-COUP : EST-CE QUE JE PEUX ME COMPTER COMME « UN ÊTRE EN PLUS » ? ............................................64 3.1 Le premier moment du stade du miroir .....................................................................64 3.2 L’adolescent délinquant et l’après-coup du stade du miroir......................................73 CHAPITRE 4 : LE PROCESSUS DE CASTRATION COMME CONSTRUCTEUR

répondrez à la question suivante (4 points) :      En quoi ce texte est-il un apologue ? Il -  Vous traiterez ensuite un des trois sujets suivants au choix (16 points) : ✓ Dissertation : Peut-on dire que le conte et l'apologue sont, comme le miroir du pèlerin dans le texte de J. Cazotte, des « invention(s) » qui permettent de voir le monde « tel qu'il est » ? Vous répondrez en vous appuyant sur le texte proposé, ceux que vous avez étudiés en classe et vos lectures personnelles. ✓ Commentaire

purement livresque risquant de scléroser les esprits. Jean Cazeneuve, Sociologie de la radio-télévision. Editions P.U.F. . Le miroir de la télévision Manipulation ou miroir ? Durant une vingtaine d'années, tous les chercheurs ont plus ou moins admis le principe de la manipulation (par la télévision) : à la source, des stratégies actives (de l'Etat ou de groupes financiers), du côté du public, la passivité des effets. En termes moins galants : le « viol des foules » ou « le bourrage des crânes ». Le spectre

pelleteuse une forme de cathédrale. En effet, les formes dessinés correspondent à cet esthétisme : rosas, arcs brisés, pinacles, gâble. Le décor gothique est ajouré à la machine. Il s'agit donc d'une émulsion : deux éléments sont superposés l'un à l'autre, deux mondes qui ne fonctionnent pas ensemble se rencontrent. De plus près, on remarque que cette maquette n'est ni peinte, ni sculpté à la pierre. Nous pouvons percevoir un maquette fait en bois, où on y a apposé le collage d'un papier glacé donnant

dans le quartier riche. Les « hautes glaces en pied » dans lesquelles se mirent Duroy à chaque étage et qui forment « une longue perceptible de galerie » agrandissent le lieu. Ce qui devrait impressionner le personnage mais au contraire dans le miroir, il prend conscience de son physique avantageux et cela le rend d'autant plus entreprenant dans sa conquête. 2. Le mouvement ascensionnel du personnage Plus Duroy gravit les marches, plus il acquière de l'assurance. Au début, son manque de confiance

extérieur. Elles ouvrent en effet sur un hors-scène, le « monde », « l’univers », même, si l’on en croit Clov qui affirme de façon hyperbolique qu’il fait « noir clair dans tout l’univers ». De ces deux fenêtres, l’une donne sur la mer (côté jardin), l’autre sur la terre (côté cour). Elles permettent donc de situer le refuge dans un entre-deux, entre terre et mer, entre deux grands éléments, l’eau et la terre. Clov est chargé, parce qu’il peut encore se déplacer et qu’il voit encore (même mal…), de rendre

près de mourir, elle avait reçu la communion. — Il ne fallait peut-être pas se désespérer, pensa-t-il. En effet, elle regarda tout autour d’elle, lentement, comme quelqu’un qui se réveille d’un songe ; puis, d’une voix distincte, elle demanda son miroir, et elle resta penchée dessus quelque temps, jusqu’au moment où de grosses larmes lui découlèrent des yeux. Alors elle se renversa la tête en poussant un soupir et retomba sur l’oreiller. Sa poitrine aussitôt se mit à haleter rapidement. La langue

à un accessoire remplissant exactement cette transformation : un miroir comme le prouvent, par exemple, plusieurs didascalies «  va vers le miroir » (ligne 1) ou encore « approche du miroir » (ligne 22). En effet, tout au long de son monologue, Caligula parle à ce miroir qui lui renvoie sa propre image, et qui matérialise ainsi sa conscience : «  Je sais pourtant, et tu le sais aussi » ; «  et c’est toi que je rencontre » ou son côté maléfique « je suis pour toi plein de haine ». De plus, de nombreuses

derrière la scène afin de projeter l’ombre des corps en mouvement. La pénombre règne dans la salle. Un fond sonore composé de morceaux d’environ 3 minutes passe en boucle. Les élèves sont répartis en deux groupes, l’un est prise en charge par le PVP, l’autre par le maître. PHASE D’EXPLORATION Objectifs visés L’objectif visé lors de cette phase d’exploration est que tous les élèves entrent dans l’activité, dans un premier temps derrière l’écran, si ils le souhaitent. L’attention s’éloigne du corps