De l'autre côté du miroir

RÉCIT RÉALISTE Objet d’étude : le roman et la nouvelle au XIXe siècle Réalisme et naturalisme Objectif/ fil directeur : -notion de réalisme -la femme et l’évolution I Groupement de textes-Le roman, miroir réel au XIX ème siècle. -Chapeau introducteur : -réalisme (autour de 1830) : en réaction contre le courant du romantisme 1)Stendhal : le rouge et le noir-p263 L’auteur est dans un milieu social. Il a voyagé en Italie. Julien Sorrel a un tempérament

Louis Le Vau (Il a construit une partie du Château de Versailles et a dessiné les extensions du château donnant sur les jardins et donné à la cour du château plus de largeur en y ajoutant deux ailes), Jules Hardouin-Mansart ( Il a construit la façade côté parc, les ailes de retrait du nord et du midi, la Petite et la Grande Écurie, la nouvelle orangerie, Le Grand Trianon, La chapelle royale et l'église Notre-Dame de Versailles), Robert de Cotte ( il a achèvé la chapelle du château de Versailles), Jacque

est au centre de la comprehension mais la structure de la langue qui nous fait exister : le « je » qui fait l'identité particuliere d'une personne resulte d'un systeme de langage qui nous le permet et non l'inverse. L'Histoire des hommes est mise de coté partant du principe qu'elle reste inchangée ; La société impose donc à l’individu un certain environnement social et non le contraire . Dans cette veine intellectuelle , J. W . Scott prends appui sur le travail de Foucault pour qui l’individu n’a

« rêva », « s’en va », et « entraînées ». Dans le troisième quatrain, nous trouvons aux vers 9 et 10 l’utilisation de l’antithèse chère à Victor Hugo : « — Un jour, nous triomphons / Le lendemain, tout est mensonge ! » Le rythme binaire met côte à côte et oppose un moment de gloire collectif, souligné par l’utilisation de la troisième personne du pluriel « nous », et un moment de défaite où désormais « tout » est contre le poète et lui ment, référence aux retournements politiques responsables

"contemplation". Plus loin, Cornélius "revoit" puis "admire avant de finalement ôter ses lunettes. Le "terne miroir plombé" du canal est ainsi le lieu d'un passage de la vision objective à la vision subjective. Miroir aux propriétés étranges, il reflète aussi bien la mélancolique Harleem que les souvenirs de Cornélius dont la conscience fait le voyage, littéralement "de l'autre côté du miroir". Il y a des verbes qui servent a décrire le regard sur les choses et le regard sur les idées : on revoit un

symbolique de certains animaux : le corbeau et le serpent = les figures du mal, le renard et la belette = figures de la perfidie, de la ruse. Caractère absurde de la 2nde strophe = annoncé par le vers 10 : à partir de là = on passe de l’autre côté du miroir = une angoisse croissante dans les images évoquées. Ce bestiaire inquiétant semble trouver son paroxysme dans l’accouplement monstrueux de l’aspic et de l’ourse (v. outrance baroque). Tous ces animaux = des topoï de la littérature baroque

2 ». De même, dans Notre Dame des Fleurs, il y a la révélation que les soldats de plomb sont creux, ainsi qu’un buste de Marie-Antoinette, la reine déchue 3. La révélation porte aussi sur l’imposture générale du monde. Est-ce du fait d’un manque du côté de l’origine que Genet décide de n’être que ce qu’on lui reproche d’être ? Il y a là un processus de nomination, là où il y a manque initial de désignation de lui-même en tant que sujet. Certes, il porte un patronyme (en l’occurrence le nom de sa mère)

avait donné lieu au Cor enchanté de l’enfant. Les contes rassemblés par les frères Grimm représentent l’une des participations à cette germanistique romantique. Le travail de ces deux savants a été précédé à partir du XIIIe siècle par les grands « miroirs » qui rassemblaient légendes, fables, paraboles, livres populaires, contes merveilleux, et récits facétieux d’Orient et d’Occident entreprise qui a continué jusqu’à la Renaissance y compris. Les deux frères Grimm renouent avec cette tradition en procédant

Là aussi, substitution dans les personnages, avec une revisite plus prononcée. Si les attitudes restent reproduites, il y a des déplacements dans la gestuelle, le visage de la femme en arrière-plan est rendu plus visible. La règle du "l'un habillé l'autre dénudé" fait apparaître le torse du modèle féminin photographié, les fleurs se substituent aux vêtements. Le blanc prend des tons de chair (comme les fleurs d'ailleurs, comme le pantalon de l'homme allongé), la photographie se fait plus charnelle

Et jamais je ne pleure et jamais je ne ris. Les poètes, devant mes grandes attitudes, Que j'ai l'air d'emprunter aux plus fiers monuments, Consumeront leurs jours en d'austères études ; Car j'ai, pour fasciner ces dociles amants, De purs miroirs qui font toutes choses plus belles : Mes yeux, mes larges yeux aux clartés éternelles ! Description  C’est un sonnet, construit sous la forme ABBA CDDC EFF GHH (classique). Les vers sont des alexandrins et il y a des coupes à l’hémistiche dans