De Soi Même Marot

sa vie, et un frère alcoolique mort à 24ans ; il épousa sa cousine âgée de 13 ans en 1835, qui décéda quelques années plus tard (1847) ; on lui attribua la réputation d’alcoolique même si ces déclarations n’ont pas été prouvées. Il mourut le 7 octobre 1849, à l’âge 40ans. Son influence fût importante en Amérique, et même en France car il fût reconnu et défendu par Mallarmé et Baudelaire (qui ce dernier a traduit plusieurs de ses livres). Celon la critique contemporaine, Edgar Poe est reconnu comme

Le blason du Beau Tétin est le point de départ de ce genre de poésie, qui devint surtout à la mode à la suite de Clément Marot. Tous les poêtes de l'époque voulurent s'essayer dans un genre que les dames accueillaient avec empressement. Préambule Ce texte reprend les thèmes du pétrarquisme en les "pervertissant " quelque peu. Dans la tradition du lyrisme amoureux, le texte magnifie la femme, idole qui réunit tous les charmes physiques et toutes les perfections morales. Les poètes y retracent

Canova (1757-1822), exposé au Musée du Louvre 1 Table des matières Préface....................................................................................................................... Page 3 De lʼamour du siècle antique, Clément Marot............................................................. Page 5 En toi je vis, où que tu sois absente, Maurice Scève................................................. Page 7 LʼAmour et la Folie, Jean De La Fontaine............................

partie de cette analyse nous parlerons d'abord des points communs entres ses textes dans la deuxième partie nous parlerons de ce qui les rends malgré ça unique. Le poème le plus ancien est celui de Pétrarque dans celui-ci comme dans les autres la même opposition est reprise «et brûle et suis de glace» de Pétrarque ; « J'ai chaud extrême en endurant froidure» (v2) de Labé, Clément Marrot lui n'a écrit son poème en utilisant que cette opposition. Cette opposition reprise par les 3 textes est celle

Jean-Baptiste séparant l'alexandrin par trois mesures ce qui suggère l'émotion; et enfin le «lys» symbole de la virginité. Le personnage est mis en scène en communion avec la nature v.6. Salomé se pose d’abord en victime et non en femme fatale. Elle reproche même à Hérode le crime commis. b) Les signes du désespoir Les images d’insouciance de la seconde strophe sont effacées par la troisième et cette rupture se manifeste par l’irruption des présents (voulez-vous, brode, refleurit...). Salomé se sent exclue

Norme objective : ce que l'on observe, usage majoritaire, varie selon les groupes sociaux. Norme subjective (= surnorrme) : Valorisation de certains usages au détriment d'autres : bon et mauvais usages, on parle aussi de sur-norme, on condamne même certains parlés. La valorisation passe par des outils, comme des grammaires ou des dictionnaires. A. Au Moyen-Age Pas d'explicitations des règles de fonctionnement; beaucoup de variations. Notion de surnorme quasi-absente. B. Au 16eme

âge a nos jours. Ils sont classés dans l’ordre chronologique pour mettre en valeur l’évolution de ce thème pendant les siècles, et sont les suivants : un poème de Guillaume de Lorris extrait de Roman de la Rose au Xllle siècle ; « De soi-même » par Clément Marot dans Epigrammes au XVIe siècle ; « je vous envoie un bouquet » de Pierre de Ronsard dans Continuation des Amours  au XVIe siècle ; « Marquise » de Pierre de Corneille dans Stance a Marquise au XVIIe siècle ; « Ce qui dure » de Sully Prudhomme

Le XVIème siècle : la renaissance et la réforme La poésie L'héritage médiéval : les réthoriqueurs, Marot La poésie lyonnaise : Scève, Louise Labé Les poètes de le Pléiade : Du Bellay, Ronsard La poésie épique : d'Aubigné Le roman et le conte Rabelais, Marguerite de Navarre Le théâtre La tragédie : Jodelle, Garnier La comédie : Jodelle La littérature d'idées Montaigne La France connaît une période de grande activité intellectuelle

de Pétrarque. Peu de temps après, en juin ou juillet 1536[], Clément Marot écrit le premier sonnet en langue française, dédié à la duchesse de Ferrare. Presque aussitôt, Marot sera imité par Mellin de Saint-Gelais et les poètes de l’École lyonnaise. Le sonnet est lié à l’humanisme car il allie musique, mathématiques, astronomie et poésie : Baudelaire lui trouve « une beauté pythagorique ». La longévité du sonnet a prouvé, même lorsque la poésie s'est séparée de la musique, que cette formule est

d’un ardent frisson (Marot) Dans la rime batelée, la fin d’un vers est unie à la fin de l’hémistiche suivant : Nymphes des bois, pour son nom sublimer Et estimer, sur la mer sont allés : Si furent lors, comme on doit présumer, Sans écumer les vagues ravalées (Marot) La rime équivoquée fait de la rime un calembour 2 Bref c’est pitié entre nous rimailleurs Car vous trouvez assez de rimes ailleurs (Marot) La rime couronnée répète deux fois, la rime empérière trois fois le même son à la fin d’un vers :