Décharge partielle

Concernant l'éclairage public : - On ne s'intéresse ni au rendu des couleurs ni aux temps que les ampoules mettent pour s'allumer. - on n'utilise pas les même lampes que dans le domestique ou les usines. On utilise des lampes à décharge qui ont une durée de vie nettement supérieure aux ampoules à économie d'énergie ou bien des tubes fluorescent utilisés pour les habitations. Celles-ci sont remplies de différent gaz à l'intérieur. - On trouve plusieurs types de gaz pour les

------------------------------------------------- lampe fluorescente compacte lampe halogène lampe à vapeur de sodium lampe à incandescence Document 1 LAMPES | DESCRIPTION | | | DIAGRAMME DE REPARTITION EN LONGUEUR D’ONDE | | Une lampe à vapeur de mercure est une lampe à décharge d’une couleur blanc -bleutée. | | 1 | | | Dans une lampe fluorescente, des atomes de mercure sont excités par un courant électrique. L’essentiel des photons produits par désexcitation des atomes de mercure appartiennent au domaine ultraviolet

s’agit de la lumière du gaz néon, qui est utilisé pour chauffer le tube de la lampe, afin de vaporiser le sodium qu’il contient. Quand le sodium se vaporise (vers 98°C), la décharge électrique dans le tube produit alors la couleur orange typique du sodium. Spectre du gaz néon Les tubes néon sont des lampes à décharge utilisant pour gaz du néon, ce qui leur confère leur couleur rouge caractéristique. Ils sont surtout utilisés pour les enseignes lumineuses. En utilisant d'autres gaz, on

énergétique des lampes et appareillages d’alimentation exprimée en lumens par Watt ; – M le facteur de maintenance de l’installation ; – le rapport Emoyen sur Lmoyen (lux/cd.m–2). En effet, quatre critères de performance caractérisent les lampes à décharge : – l’efficacité lumineuse, – la durée de vie, – la température de couleur – l’indice de rendu des couleurs. 4. L’application de la norme dans les installations nouvelles d’éclairage public permet à la fois : – de justifier les valeurs des

Spectres lumineux I. Les spectres d'émission 1. Définition Le spectre d’une lumière est l’image que l’on obtient en décomposant cette lumière à l’aide d’un prisme (ou d’un réseau).   2. Spectres continus d'émission Définition: Un spectre continu se présente sous la forme d’une bande colorée unique contenant une infinité de radiations. Un corps chaud (le filament de la lampe par exemple) émet une lumière dont le spectre est continu. Spectre de la lumière blanche (spectre continu d’émission)  

CHAP: Les spectres d’émission et d’absorption Lorsqu’on veut analyser la lumière provenant d’une source, il faut utiliser un objet capable de décomposer cette lumière ( prisme ou réseau ). On obtient alors le spectre de la lumière étudiée. I / Spectres d’émission : A / Les spectres continus : On parle de spectre continu lorsqu’on passe progressivement d’une radiation à l’autre. 1) Spectre de la lumière émise par le Soleil Pour observer ce spectre, on va se servir d’un spectroscope constitué d’une

sudaméricaine donnant naissance a des séismes, les séismes étant de plus en plus profond au fur et a mesure que la plaque de nazca s'enfonce sous la plaque sudaméricaine. En s'efoncant, la plaque de nazca libèere de l'eau , cette eau permet la fusion partielle de péridotite du manteau litosphériques , il y'a donc une remontée de magma , magma qui s'enrichit en silice en remontant à la surface , la silice rend la lave visqueuse, ce qui est à l'origine des volcans de type explosifs de la région . Conclusion:

Seule la structure permet de différencier ces roches. Les dorsales océaniques sont le siège d’une production intense de magma (de l’ordre de 20 km3 / an). Ces magmas sont issus de la fusion partielle des péridotites du manteau induite par décompression. Ils sont de nature basaltique. La fusion partielle leur donne une composition chimique différente de celle de la roche source. Le refroidissement plus ou moins rapide des magmas conduit à des roches de textures différentes. Le phénomène de formation

subissent sous l’action d’une augmentation de pression, un métamorphisme dont certaines réactions vont libérer de l’eau. Cette eau hydrate le manteau lithosphérique de la plaque chevauchante. Les péridodites sont « humides » , entrent en fusion partielle pour une température basse (1200°C). Du magma est formé qui va remonter vers la croûte, donnant naissance à un volcanisme intense. Bilan du sujet 2b. Ouverture.

contrairement à la lithosphère océanique qui est absorbée dans son ensemble en subduction, seule une partie du domaine continental est recyclé (parties superficielles pour l’érosion et une partie seulement de la croûte est susceptible de subir une fusion partielle par anatexie). C’est pourquoi, le domaine continental peut présenter des âges beaucoup plus importants que le domaine océanique. Bilan du thème I A : Longtemps perçu comme un domaine « passif », le domaine continental est bien un système dynamique