Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1793

Girodet. BIOGRAPHIE DE ROBESPIERRE Elu à la Commune de Paris après le 10 août, Robespierre deviendra le chef incontesté de la Montagne au sein de la Convention et s'opposera aux Girondins. Membre du Comité de Salut Public à la fin de juillet 1793 et entouré de Saint-Just et de Couthon, Robespierre éliminera les opposants montagnards, partisans d'une révolution radicale autour d'Hébert, et Indulgents partisans du "modérantisme" autour de Danton. Il sera l'un des rares députés de la Constituante

 Les droits de l'homme[1] sont un concept selon lequel tout être humain possède des droits universels, inaliénables, quel que soit le droit positif en vigueur ou les autres facteurs locaux tels que l'ethnie, la nationalité, l'orientation sexuelle ou la religion. Selon cette philosophie — combattue ou éclipsée aux XIXe siècle, XXe siècle et XXIe siècle par d'autres doctrines —, l'homme, en tant que tel, et indépendamment de sa condition sociale, a des droits « inhérents à sa personne, inaliénables

régime (la période précédente) dans le domaine politique, mais aussi économique, social et culturel. La France se modernise et change de visage. Un nouvel univers politique et social émerge : les Français n'étaient que des sujets, ils deviennent des citoyens impliqués dans la vie politique d'une nation souveraine unifiée. Mais la Révolution crée aussi des divisions durables dans la société française, entre les plus progressistes et les plus conservateurs. Problématique : qu’est ce qui a déclenché

Commentaire de la DDHC de 1789 : « Pour qu’une Constitution soit bonne, il faut qu’elle soit fondée sur les droits de l’homme et qu’elle les protège ; il faut connaître les droits que la justice naturelle accorde à tous les individus, il faut rappeler tous les principes qui doivent former la base de toute espèce de société, et que chaque article de la Constitution puisse être la conséquence d’un principe ». En 1789, durant la Révolution française, Jean Joseph Mounier, député du Dauphiné, obtient

1789 > Serment du Jeu de Paume et création de l’Assemblée nationale Constituante 14 juillet 1789 > Prise de la Bastille > Grande Peur (Eté 1789) 4 et 26 août 1789 > Abolition des privilèges et Déclaration des droits de l’homme et du citoyen 5-6 octobre 1789 > Journées d’octobre (La famille royale est ramenée de Versailles à Paris) 14 juillet 1790 > Fête de la Fédération Novembre 1790 > Constitution civile du Clergé et confiscation

La révolution de Genève et le problème des droits politiques [pic] 1 Source: http://icp.ge.ch/po/de-saussure/presentation/horace-benedict-de-saussure/gif/Comite.gif (consulté le 25 avril 2009) Problématique L’histoire de Genève est particulière, Cité-Etat qui défende son statut indépendant et sa souveraineté[1] grâce à un équilibre précaire entre des grandes puissances : France, Savoie et les deux grandes Cantons de la Confédération suisse, Berne et Zurich[2]. En outre, sa position stratégique

Serment du Jeu de Paume contribuent-elles à remettre en cause la “ féodalité d’Ancien Régime ” (Albert Soboul) et la société d’ordres sur lesquelles règne la monarchie absolue de droit divin ? INTRODUCTION : Dans l’Homme révolté écrit en 1951, Albert Camus se penche sur la question de la différence entre révolte et révolution. Pour l’écrivain, la révolution vise à « transformer le monde », tandis que la révolte vise

monarchie symbolisée par l’exécution de Louis XVI en 1793, un système provisoire se met en place. Le 26 août 1789, l’Assemblée Nationale, constituée de membres du tiers-état, du clergé et de la noblesse vote la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen. Elle définit les droits et les devoirs des citoyens Français selon les principes de Liberté et d’Egalité comme le montre l’article premier : « Les Hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits : les distinctions sociales ne peuvent être fondées

3 On ne peut pas arrêter un homme si celui-ci n’a pas enfreint la loi (article 7). Ce passage de la Déclaration prône le droit à la sûreté personnelle, déjà consacrée à l’article 2. L’article 7 concerne la légalité des accusations, qui découle de la défense des libertés de l’article 4 ; l’article 8 érige la certitude fondamentale de la légalité des peines. On établit des peines nécessaires mais en aucun cas abusives (article 8). Enfin l’article 9 fonde la présomption d’innocence «Tout homme est

Au Bagne d’Albert Londres : a permis la fermeture des bagnes → Déclaration des droits de la Femme et de le Citoyenne d’Olympe de Gouges (Postambule et contrat social) : les lois changées en 1792 et 1793 (cité Le Traité de le tolérance de Voltaire) b)Qui défend