Decolonisation Au Maghreb Algerie

bouleverse l’équilibre mondial Une crise à la croisée des enjeux locaux et internationaux La Crise de Suez a pour particularité de contenir des enjeux inscrits à l'interférence entre trois champs de force et trois conflits enchevêtrés: la décolonisation, la guerre froide et le conflit israélo-arabe. Ainsi depuis 1882, la Grande-Bretagne a transformé l'Egypte en une semi-colonie, en occupant militairement la zone du canal qu'elle gère à son profit. Quatre ans plus tôt, le 26 juillet 1952, un groupe

générale de l’ONU en 1999. A ce titre, il est ins- crit à l’ordre du jour de la Commission des politiques spéciales et de la déco- lonisation (4e Commission). Peut-on pour autant réduire la question du Sahara occidental à un « simple » conflit de décolonisation ? Les caractéristi- ques propres au Sahara occidental ainsi que l’implication d’Etats tiers ne semblent pas plaider en ce sens, comme nous allons le voir ci-dessous. Le plan de règlement : une solution de plus en plus contestée Dès 1991, le Secrétaire

est partagé entre les puissances européennes. Continent riche en minerais donc combat entre les pays européennes. Les frontières des états ne reflètent pas la réalité des populations d’ou les conflits frontaliers. Guerres civiles causées par la décolonisation car les européens n’ont pas encadrés les populations et ont exploités les seuls. Les européens désignait une tribu qui dirigeait le pays avec les européens. Au moment de l’indépendance ces ethnies sont mal vues. L’Afrique se distinguent par des

d'une indépendance immédiate. La guerre précipite l'évolution : l'effondrement de mai 1940, l'épisode de Mers El-Kebir, la défaite de Vichy en Syrie et au Liban et son occupation par les Britanniques, l'apparition des armées américaines au Maghreb, sont, en dépit des efforts des Français libres, puis de l'armée d'Afrique, autant de témoignages cruels d'une déchéance française qui peut paraître sans remède. Si les espoirs nourris par certains nationalistes de voir balayé l'ordre colonial d'avant-guerre

partir de 1940, la France voit se généraliser les mouvements d’émancipation des peuples indigènes de ces colonies (Maghreb, Océan Indien, Madagascar, …). La France compte d’abord maintenir son empire mais fini par engager un mouvement de décolonisation en 1954 lorsque Mendès France met un terme à la guerre d’Indochine ; puis Cambodge, Vietnam, Laos. De 1956 à 1960 s’entame la décolonisation de l’Afrique Noire : c’est d’abord la loi cadre Deferre qui octroie une autonomie au territoire, le vis président

réaliser de nombreuses constructions facilitant l’ouverture sur le monde de la méditerranée comme le canal de suez qui permet le transit de plus de 350 millions de tonnes de marchandises par an. Cependant avec la seconde guerre mondiale et la décolonisation, les états du sud et de l’est de la Méditerranée ont réussi à retrouver leur souveraineté et à s’imposer dans certains domaines notamment dans la route du pétrole, même si la domination européenne est toujours présente et continue d’avoir le

continent africain par les puissances européennes aboutit à l’élaboration du système colonial. Le partage du territoire, la mise en valeur des espaces et l’imposition d’un modèle politique ont profondément marqué le continent. Par la suite, la décolonisation n’a pas été partout pacifique. Les heurts et la négligence de certaines puissances occidentales ont nourri les premiers désenchantements des Africains. 11. Le partage et la mise en valeur des territoires africains En 1884-1885

conditionnent encore aujourd’hui notre vision du continent africain. Introduction. Malgré les progrès économiques depuis les années 1960, la croissance urbaine, les réussites économiques de l’Afrique du Sud, du Nigeria ou encore des pays du Maghreb, l’image négative du continent africain persiste. Pour l’opinion commune, l’Afrique est synonyme de sous-développement, de famine, de guerre, de retard économique… Ces représentations de l’Afrique et des Africains sont héritées de l’histoire de la

d’olive… Mais ce n’est pas une bonne affaire pour autant : les capitaux investis dans les colonies après la seconde guerre correspondent à deux fois le montant des aides américaines à la France… Enorme cécité des actionnaires qui n’anticipent pas la décolonisation. A cette date de plus, la France peut acheter ailleurs à meilleur coût mais conserve la préférence coloniale. -le sentiment de supériorité qui fait croire que sa civilisation est universelle et supérieure à celle des autres (Kipling, Lyautey) :

d’immigration menées depuis plusieurs décennies, qui négligent le bien commun, feignent d’ignorer l’importance du lien national et cèdent à la démagogie. Extrait du Permanences n°392. Samedi 6 octobre 2001, Stade de France. Au début du match amical France-Algérie, la Marseillaise est sifflée par des jeunes beurs français brandissant des drapeaux algériens. Marie-Georges Buffet, ministre communiste de la jeunesse et des sports du gouvernement Jospin, s’écrie : "Ce n’est rien, ce n’est rien ! Laissez s’exprimer