Décorum

employée renforce la connotation mystique, présente dans tout ce sonnet. b) Dans le deuxième quatrain, le lexique religieux est aussi utilisé par le mot « péché » mis en valeur par sa place à la rime et l’expression « vivant flambeau » qui renvoie au décorum des cérémonies religieuses, le flambeau symbolisant la présence divine. En outre, dans les tercets, les allusions au caractère divin du regard sont contenues dans les mots « cierges », objets communs des cérémonies religieuses et par la majuscule

se comporter relèvent d’une sorte de renversement, perçu comme tout à fait insolite. Féminité de la garde royale et « grandes officières ». Caractère grandiose de la réception réservée aux voyageurs : changement de vêtements/ insistance sur le décorum lors de l’arrivée au palais). Familiarité avec le roi (« d’embrasser le roi et de le baiser des deux côtés »). Absence d’appareil répressif (pas de cour de justice ni de prison). B) Un monde d’abondance Matériaux exceptionnels pour la construction

croire à Argan qu’on l’intronise médecin. Dans une comédie- ballet précédente, Le Bourgeois Gentilhomme , la fin était aussi une cérémonie grandiose qui avait enthousiasmé le public. Ces intermèdes font également partie d’un décorum de cour qui montre la puissance du règne de Louis XIV. Les décors et les costumes sont impressionnants et fastueux et les artistes sont nombreux. Ils contribuent pleinement à faire du Malade imaginaire un spectacle théâtral

tailleur passant pour la tenue des femmes « déclassées », lesbiennes, artistes, actrices. C’est une Belle Epoque pour transgresser les règles. Il faut étonner de la façon la plus outrancière. C’est l’époque ou Oscar Wilde fait voler en éclats le décorum du mariage et ouvre la voix à Gide et Proust. A cette époque Colette rencontre Jean Lorrain, grand journaliste, homosexuel, célèbre dans tous les lieux louches, ravagé par la syphilis. Il s’entoure d’un petit groupe qu’il appelle La Petite Classe

des tours de discours où la pensée exprimée diffère de sa représentation usuelle (ex. : la litote, l' hyperbole, etc.). La distinction entre les tropes et les figures n' pas toujours nette, me^me chez les auteurs est classiques. (iv)la convenance (decorum) consiste à approprier le style à son objet. Pour ce faire, il faut tenir compte : (a) du sujet (procès d' homme public, affaire privée, simple arbitrage, etc.) ; un (b) de l' auditoire (le sénat, le peuple, des juges, une petite assemblée, une foule

modèle et qu’il va en un certain sens provoquer sa perte ! En effet, Vermeer sollicite au fur et à mesure la jeune fille pour qu’elle l’aide à peindre : si le travail de la servante consiste d’abord dans l’art de nettoyer les objets inscrits dans le décorum de chaque tableau sans les bouger d’un iota, il s’agit ensuite d’aider Vermeer à broyer puis mêler ses pigments en cachette. De prendre part, grâce à « la chambre noire » de son ami Leeuwenhoeuk, à la disposition de chaque toile dans ses moindres

ordinairement | | |chargée d’en faire le constat. | |Décorum |Se définit comme l’ensemble des bienséances, des convenances en usage dans une bonne société. Le | | |mot décorum est synonyme de protocole. | II- VERIFIER LA DISPONIBILITES DES RESSOURCES Le choix

Maurice Richard, avec son regard perforant, fonçant vers le but adverse. Cependant, il ne faudrait pas non plus oublier Le signe (Les reliques) Je me souviens encore, j’avais 10 ans peut-être, du moment où le père d’un de mes amis nous montra avec décorum un véritable chandail du Canadien ayant appartenu à Mario Tremblay, avec de larges taches de sang séché au collet. L’émotion ressentie devant cette véritable relique avait certainement, pour moi et mes amis, quelque chose de religieux. Mais tout dogme

fait mention de nudité comme dans le texte de Chrétien (« nu a nu » au vers 6433). Autre différence notable dans la réaction des amants surpris : cri et panique de Fénice d’un côté, honte et maîtrise de ses émotions de l’autre côté. En effet, le décorum aristocratique et la courtoisie exige qu’on reste maître de soi, sans se laisser submerger par ses sentiments intérieurs. C’est à ce moment du récit qu’intervient l’élément crucial qui, chez Chrétien de Troyes, fait basculer le récit dans le registre

l’intériorité des personnages A. La représentation de la sagesse et de la puissance du Roi Salomon dans le jugement - position surélevée du Roi - Sceptre, trône, couronne = indices de sa fonction - Vêtements luxueux, coussin sous ses pieds, décorum évoqué par la draperie derrière le trône disent la puissance et le faste - Geste ferme, regard déterminée et expression impassible disent l’autorité - Arrière plan à gauche du Roi : il y a un garde symbole de sa force - À droite : deux vieillard