Décorum

scène. Les éléments scéniques (accessoires, costumes, décors) sont des composants relatifs à la scène avec quoi s'appuient les acteurs afin de jouer leur personnage. Reposée sur un texte lu, joué, récité ou déclamé, sur une scène accompagnée d'un décorum, nous pouvons donc nous demander dans quelles mesures la présentation de la scène joue-t-il un rôle important dans la représentation de la pièce et contribue-t-il à l'élaboration de son sens pour le spectateur? Pour répondre à cette problématique

filles », il existe aussi des « grandes officières ». - Nécessité d’être présentable pour être présenter au roi : passage obligatoire aux « bains » et changement de vêtements. - Caractère grandiose de la réception réservée à 2 simples voyageurs : décorum dans le récit de l’arrivée au palais + usage de l’hyperbole : « deux files chacune de mille musiciens » - Familiarité dans la manière d’aborder et de saluer le roi : « embrasser le roi et de le baiser des deux côtés » : contact physique privilégié

et fanatiques : Voltaire n'attaque pas les doctrines religieuses, mais raille les pratiques extérieures des "_ceux qui_", cherche à discréditer les différences absurdes dans les rites. Dans l'ordre il envisage le décorum, le vêtement, le langage, les hommes d'Eglise le décorum : absurdité d'_allumer des cierges en plein midi_ absurdité d'être intolérant envers ceux qui se contentent du soleil divin le soleil est bien plus éclairant que le cierge, rapproche plus de dieu l'ironie

comme toutes les autres choses est fondée sur la sagesse. Comme dans la vie, ainsi dans le discours, rien n'est plus difficile que de voir ce qui sied (quid deceat). Les Grecs appellent cela le prépon, nous pouvons très bien de notre côté dire le decorum. 71. Or l'orateur doit voir ce qui convient (quid deceat) non seulement dans les les idées, mais aussi dans les mots. XXXVII, 128: Il y a en effet deux choses qui traitées par l'orateur rendent l'éloquence admirable. L'une que les Grecs appelles

sanglant est levé D'une seconde rafale Il a fallu l'achever Une autre chanson française A ses lèvres est montée Finissant la Marseillaise Pour toute l'humanité S’engager pendant la première guerre mondiale Wilfred Owen : Dulce et decorum Est Dulce Et Decorum Est est un poème écrit par le poète de guerre anglais Wilfred Owen en 1917, pendant la Première Guerre mondiale, et publié à titre posthume en 1920. Ce poème est connu pour les images d'horreur qu'il évoque et sa condamnation de la guerre

exemple. Par la suite, il s’engage dans des reproductions 3D, de tableau «  déjeuner sur l’herbe de Manet ». Son travail et sa légitimité sont controversés dans les milieux muséaux et par les critiques d’art. Les polémiques sont diverses. Art ou décorum à la Disneyland ? Le rapport au beau ? L’intégration de l’œuvre dans le site ? La finalité de la richesse culturelle ? De plus qu’en est-il de la créativité par rapport à l’utilisation de logiciels informatiques pour modeler et fabriquer les sculptures 

D’une part, tout au long des huit premières lignes, Perec fait l’éloge de la cérémonie à W en évoquant plusieurs détails mélioratifs. L’auteur insiste sur le fait qu’il s’agit d’un évènement joyeux, festif. En effet, le lexique de la fête, du décorum et de la musique est employé : les « orphéons », qui signifie ici fanfares jouaient « L’Hymne à la joie », célèbre pièce de Beethoven. La musique est donc un élément indispensable de toute fête. Les « colombes », valeur symbolique de l’oiseau, les

grands aristocrates, puis dans les riches demeures particulières. * Festin à la Cour L'installation de la cour de France à Versailles vers la fin du XVIIe siècle jusqu'à la Révolution de 1789 voit l'apogée du « Grand service à la Française », du décorum et des « brigades » de serviteurs. Le Régent, Philippe d'Orléans, introduit la mode des « petits soupers » et promeut le Champagne. Louis XV est friand des « repas privés » où le choix des convives, la discrétion des domestiques (réduits au minimum)

Les mots, bien ou mal nés, vivaient parqués en castes; Les uns, nobles, hantant les Phèdres, les Jocastes, Les Méropes1, ayant le décorum pour loi, Et montant à Versaille2 aux carrosses du roi; Les autres, tas de gueux, drôles patibulaires3, Habitant les patois ; quelques-uns aux galères Dans l'argot ; dévoués à tous les genres bas, Déchirés en haillons dans les halles ; sans bas, Sans perruque ; créés pour la prose et la farce; Populace du style au fond de l'ombre éparse; Vilains

d'aborder un point précis, le vocabulaire. Victor Hugo déclare égaux tous les mots : "Et déclarai les mots égaux, libres, majeurs." (Vers 35). Il évoque Corneille et Racine, auteurs classique, qui considéraient qui existait des mots nobles : "ayant le décorum pour loi, Et montant à Versaille aux carrosses du roi" (vers 3 et 4) et des mots à rayer de la littérature : "Les autres, tas de gueux" (vers 5). Il revendique également le droit d'appeler les choses par leur nom : "Je nommai le cochon par son nom"