Decrire Un Lieu Triste

l’immense projet littéraire que constitue La Comédie Humaine, Balzac vise à travers ses romans à décrire la société de son époque, les classes et individus qui la composent et les mentalités qui s’y développent.  C’est dans cette perspective qu’il nous faut aborder Le Père Goriot, qui paraît en 1835. L’extrait étudié ici relate l’enterrement du Père Goriot, qui vient clôturer le roman. Or, s’il marque bien la triste cérémonie marquant la fin de l’existence du personnage principal, il est aussi une ouverture

Comparer la France à des pays fortement touché par la pauvreté que tout le monde connaît comme l’inde, le brésil et l’Afrique du sud est une image à la symbolique puissante qui nous ramène immédiatement à la triste réalité de la vie. Pour le regard de la France métropolitaine Mayotte est un paradis. Par exemple à la pages 117 ou Stéphane raconte comment est-ce qu’il est arrivé sur l’ile, il est écrit « …les autres voulaient de la vrais misère… » ce qui montre

Lecture linéaire n°11 « Harmonie du soir », Spleen et Idéal, n°43, Les Fleurs du Mal , Baudelaire (1857) Baudelaire : entre romantisme et symbolisme ; on peut dire « post-romantique ».« Harmonie du soir » : 48e poème des FDM, dans « spleen et idéal »Entre « aube spirituelle » et « le flacon » : un passage du recueil où Baudelaire explore les moments qui font émerger un souvenir, une émotion (aube, crépuscule). Il s’intéresse à ce « glissement

les contrôler. Nous avons une distinction entre l’homme et l’animal. L’émotion serait la part animal de l’homme qui resurgirait. I. L’ÉMOTION FAIT-ELLE DE NOUS DES BÊTES ? Non pas au point de vue de l’adaptation selon DARWIN. Il va décrire les émotions et il va s’appuyer sur la théorie de l’évolution : Plus les animaux sont évolués, plus ils ressentent des émotions, le summum de l’évolution est l’homme L’émotion peut permettre l’adaptation de l’homme. L’émotion permet de faire

pièce ; ou a travaillé aux docks puis à la Librairie Hachette (1860-1865). - souhaite décrire les choses telles qu’elles sont : affirme que « Ce serait faire preuve de courage que de dire la vérité et de réclamer, par l’exposition franche des faits, de l’air, de la lumière et de l’instruction pour les basses classes ».

questionner sur la nature humaine. En effet pour décrire ce sur quoi repose les inégalités, il faut déjà décrire le caractère naturelle de chaque homme. Selon Hobbes, cet état de nature est un état de guerre, ou la violence est présente naturellement en nous. Rousseau va tenter d’expliquer le naturel de l’homme d’une manière presque anthropologique, plus que scientifique. Il va à travers ce texte s’interroger sur la différence entre l’Homme et l’animal pour décrire les caractères propres à l’espèce humaine

était évanouie, mais vivante ! *Comment changer le point de vue d’un texte descriptif ? Changer le point de vue d’une description, c’est décrire le même lieu, le même personnage, le même objet, mais d’un autre angle de vue (placé différemment), parfois en exprimant d’autres émotions, d’autres sentiments. Vous devez : respecter les éléments ou composantes du lieu, de la personne, de l’objet ; apporter des modifications sur l’angle de vue, sur les émotions et les sentiments provoqués (ou les supprimer

féminines et masculines (cf. fiche sur rime et harmonie). Première étape (huitain) : vie et mort de la rose Comparaisons qui font appel à l’expérience de chaque lecteur : présence de « on » (vers 1), présent général « voit ». Scène évoquée : Lieu = nature … « branche » jardin Temps = Mai = Printemps = Marie = renouveau Le personnage : « la rose » -> Place à la rime « le bout de la branche Personnification de la rose : « belle

Romantique. En effet, la rêverie, est au centre de l'imagination romantique. C’est une source de création. La rêverie excite l'imagination à recréer le monde ; c'est souvent une rêverie mélancolique et triste. Elle porte l'homme à la méditation. Elle le met devant les mystères de l'existence. La rêverie est aussi un refuge contre la réalité .Elle est donc un état privilégié douloureux et inspirateur, comme le rêve, tantôt doux et enchanteur, tantôt glaçant

impressionnante ville. Chacun était unique, et de cette variété naissait une certaine harmonie. Je n’avais passé que quelques instants à m’émerveiller devant ce paysage enchantant, quand un homme se présenta devant moi, un homme que l’on ne saurait décrire avec précision, mais qui semblait plein de sagesse. On me dit que c’était le souverain de ce pays, pourtant il me serra la main, me sourit, et enfin m’accueillit chaleureusement dans son royaume. Remarquant mon étonnement, il me dit «Voyiez-vous