Décubitus

antibiothérapie, antifongiques, anticholinergiques, régime sans résidu, réhydratation parentérale, voir même alimentation parentérale · Ces effets peuvent être réduits par fractionnement avec utilisation d’artifices repoussant les anses grêles comme le décubitus ventral la réplétion vésicale· L’irradiation du rectum peut entrainer une rectite dont on peut diminuer l’intensité grâce à des lavements aux corticoïdesTardif· Effets peu fréquents mais préoccupants : · Fibrose antrale de l’estomac ou ulcères· Au

a)Sans pesanteur : Position de départ : Assis, avant bras posé sur la table. [pic] Position d’arrivée : Contrôle : pince acromio claviculaire et pointe inférieur de la scapula. [pic] b) Contre pesanteur : Position de départ : Décubitus ventral. Bras en ABD 90°. Coude fléchi à 90 °. Contrôle : Pince acromio claviculaire et partie inférieure de la diaphyse humérale. [pic] Position d’arrivée : Même position avec en plus une rotation latérale de l’humérus. [pic] 2) Le

| | | |Risque de respiration inefficace : |La position en décubitus est anti-physiologique, ne |Position demi-assise |Sat en O2 | |Toux |permettant pas une amplitude des

inférieurs ?· stade 1 : diminution du pouls périphérique, fourmillement, engourdissement des membres inférieurs· Stade 2 : claudication intermittente avec diminution du périmètre de marche / douleur à l'effort / crampe musculaire· Stade 3 : Douleur de décubitus : patient dort les jambes pendantes / insomnie / douleur de repos, douleur permanente exacerbée au repos· Stade 4 lésion de gangrène : inflammation, nécrose des tissus ischémiés, non irrigués, membres froid cyanosé douloureux ·

corporelle qui se manifeste par une inquiétude, une forme d'ennuis à devoir garder au minimum 6 mois la colostomie. La patiente est habituée à nous prévenir lorsqu’elle souhaite faire sa toilette, et change sa poche. Je l'installer confortablement en décubitus dorsal, je mets une protection sous la patiente afin de ne pas souiller le lit, j'effectue un lavage antiseptique des mains, je mets les gants non stériles et j'enlève la poche souillée : • du haut vers le bas • je quantifie les selles • je vérifie

circulation sanguine = 80% des amputations (origine vasculaire = majorité de PA (65% personnes de plus de 70 ans) 4 stades : Stade 1 pas de retentissement clinique Stade 2 = claudication intermittente Stade 3 : ischémie de décubitus (douleur permanente) Stade 4 = nécrose, gangrène. b) Traumatologie : = AVP accident voie public, attentats souvent sujets jeunes, bon état général. c) Cancérologie. = ostéosarcomes tumeur osseuse sujet jeune . Soins infirmiers

donne au mouvement involontaire athétosique une allure qualitativement anormale. Les contractions athétosiques sont bien mises en évidence lorsqu’on étudie l’état basal : un athétosique ne parvient pas à rester immobile même s’il est décontracté en décubitus dorsal et dans une pièce calme. D’autres types de contractions involontaires peuvent perturber l’état basal. Ainsi lorsque les contractions des muscles agonistes et antagonistes s’équilibrent, il n’ya pas de mouvement mais une posture

d’appoint post opératoire : par exemple après réduction d’une fracture au bloc opératoire, pour une consolidation dans le bon axe. Traction-suspension en trans-osseux. SURVEILLANCE SPÉCIFIQUE & COMPLICATIONS SURVEILLANCE COMPLICATIONS Décubitus Dépression (découragement), constipation, encombrement pulmonaire, mauvaise circulation sanguine, problème urinaire Escarre Infection, nécrose Phlébite Thromboembolique (caillot qui peut monter au poumon) Musculaire Atrophie

UE 4.1 Les escarres : facteurs de risque, soins préventifs et évaluation. 24/10/2013 250 00 personnes ont des escarres. 9% des personnes hospitalisés. UNE escarre, ou ulcère de décubitus ou plaie de pression. Lésion cutanée d’origine ischémique liée à une compression des tissus mous entre un plan dur et les saillies osseuses. Localisation : - 40% au sacrum - 40% au talon - 20% aux ischions, trochanter, occiput - Plus rarement : méat urinaire, oreille, nez, coudes. C’est une plaie consécutive

glycémique, hydro-électrolytique et nutritionnel  Normoglycémie : insuline si hyperglycémie  Normonatrémie : adaptation de l’hydratationMesures générales en USINV (2)  Contrôle de la fièvre  Traitement antipyrétique  Prévention des complications de décubitus  Traitement préventif par HBPM  Traitement antibiotique si infections bactériennes surajoutéesEssentiels à retenir  AVC = pathologie GRAVE  Survenue BRUTALE  Urgence médicale  Thrombolyse intraveineuse et thrombectomie mécanique si délais