Déduction logique

s'appuient souvent sur des exemples. Les arguments peuvent être de logique, de valeur (système de valeurs d'une société donnée), d'expérience... ‑ la déduction s'appuie sur une idée générale, grand principe, loi naturelle pour établir la validité d'un fait particulier Pour discuter un raisonnement déductif, on doit : vérifier la valeur de l'idée générale (est-ce un postulat, est-elle démontrée...) vérifier que la conséquence tirée est logique, que le fait particulier soit en rapport étroit avec le fait

guérison) expliquant l’impossibilité logique de prouver la validité d’une théorie par un résultat conforme à une prévision, plus ou moins un résultat qu’on connaissait avant de faire l’expérience. Popper dit d’ailleurs dans Le réalisme et la science que « c’est une erreur fondamentale de croire que l’interprétation freudienne, du fait qu’elle est sans cesse « vérifiée » constitue, nécessairement une science fondée sur l’expérience. » ou encore dans La logique de la découverte scientifique, il admettrait

deux personnages secondaires et associez-leur un thème. Le logicien : le logicien représente l’absurdité. Par exemple, il essaie d’enseigner la logique au Vieux monsieur, cependant, ses explications sont complètement absurdes. «Le chat à quatre pattes, Isidore et Fricot ont chacun quatre pattes donc Isidore et Fricot sont des chats» (p.44) – cette déduction est complètement absurde, car Isidore et Fricot pourraient être n’importe quel animal à 4 pattes. Botard : il représente la contradiction

et pour non 55% à 65% P= population des individus représentant une caractéristique que l’enquête est chargée d’estimer. On notera que p + q = 1 Si on a pas d’indication sur p, on estime que p = q = 0,5 Application 1 6000€ - 850€ = 5150€ (déduction de la conception) 5150 / 5 = 1030 (budget / administration + traitement) Application 2 1. 1,962 x (0,5 x 0,5) / 0,042 = 600 individus 2. 1,962 x (0,5 x 0,5) / 0,022 = 2401 individus Nous pouvons constater que plus la marge d’erreur est

Introduction à la programmation logique en PROLOG II+ Mahieddine DJOUDI Email : mahieddine.djoudi@free.fr Web : http://mahieddine.djoudi.free.fr Table des matières 1 Introduction à Prolog.......................................................................... 6 1.1 1.2 1.3 1.4 1.5 Prolog c'est quoi? .................................................................................................................6 Repères historiques .......................................................

nécessaire entre des © Hatier 2007 ts d’oral La morale La politique La raison et le réel LA VÉRITÉ • SUJET 24 causes et des effets (pour la déduction), ou inversement des effets à des causes (pour l’induction). Dans cet enchaînement, toutes les étapes du raisonnement doivent pouvoir se justifier et montrer leur cohérence logique, c’est-à-dire leur absence de contradiction. C’est un enchaînement formel, de raison à raison, qui a le mérite, contrairement à une démarche intuitive ou expérimentale

littéraires » peut évoquer pamphlet, apologie, satire, apologue, libelle, diatribe, critique, thèse, réquisitoire, défense, genre littéraire… « Formes d’argumentation » appelle controverse, raisonnement, démonstration, explication, discussions, déduction, méthode, causalité, synthèse, syllogisme, spéculation, analogie, comparaison… « Complexes » peut suggérer intellectuel, culturel, subtil, alambiqué, code, ensemble, figures de style, richesse du vocabulaire, registres, symbole… « Moyen efficace

différentes sortes d'information. 1. Les différents types d’information Les informations factuelles (fait) : vérifiable, observable ; Les informations qualifiantes : un jugement, une vision ; Les informations hypothétiques (suppositions, déductions) : contestable ; Les tableaux et les graphiques. 2. Principe et analyse de l’information Les critères à prendre en compte - qualité de l’information (fiabilités, objectivité, fraîcheur, domaine couvert) ; - pertinence (contexte

délirant, réunit le professeur et son élève, en une parodique leçon de logique. Or, la juxtaposition des deux dialogues produit un effet comique, l'absurde contaminant la gravité et surtout la rationalité simplistede Jean. Le commentaire composé pourra étudier le fonctionnement du texte pour, ensuite, analyser l'opposition entre ledoute (Bérenger) et la certitude (Jean), et, enfin, aboutir à la remise en cause d'une logique dérisoire LE FONCTIONNEMENT DU TEXTE Il repose sur la juxtaposition

abstrait et aide à la compréhension en fournissant une mise en scène de l'idée et peut avoir valeur de preuve. Ils ont pour fonction de soutenir une opinion, une vérité d'ordre intellectuel de manière concrète plus facile à saisir ; il appuie l'argument logique comme une illustration. — le récit qui concourt à l'agrément des propos en prêtant à l'argument une crédibilité supplémentaire en le montrant à l'œuvre dans une histoire vivante dotée d'un statut de réalité. • en faisant découvrir la vérité La meilleure