Déesse hindoue

le droit n’est pas objectivement une réalité indiscutable mais il y a plusieurs façon de l’appréhender. Permet d’approcher la notion de droit ! 3) Étymologie de ce mot : Permet d’appréhender l’origine d’un mot ! Etymologie du moi «Droit » Hindous : Darma, Dahmma. Ce terme vient de la religion indienne, et selon contexte il pouvait avoir plusieurs significations, quelque chose de ferme d’établis, idée de loi naturelle ou juridique, de coutumes, de devoirs, de Droit et de justice, notion de

effacée, celle par nation la remplace, agissant avec une énergie presque semblable, et telle que la communauté de religion ne suffit pas à la paralyser. Elle existe entre les Arabes et les Turks comme entre les Persans et les Juifs, les Parsis et les Hindous, les Nestoriens Syriens et les Kurdes ; on la retrouve également dans la Turquie d'Europe ; on suit sa trace en Hongrie, entre les Madjars, les Saxons, les Valaques, les Croates, et je puis affirmer, pour l'avoir vu, que dans certaines parties de

soigner le sang et pour promouvoir le calme et la paix.   Aigue-marine  Énergie : Réceptive Planète : Lune Élément : Eau Déité : Déesses de la mer   x Histoire et légendes : L'Aigue-marine est un Béryl ( un silicate de Béryllium ) semi-précieux de couleur bleu-vert clair très transparent, dont le nom signifie "eau de mer". C'était la pierre des Déesses de la mer des temps passés, et on en a retrouvé dans des sarcophages contenant des momies de l'Ancienne Égypte.   x   Interprétation

enthousiasme et ma joie d’être acceptée au sein de cet établissement d’accueil de l’Enfance. Ce qui me pousse à effectuer une recherche à propos de « Kalima ». ‘Kali’, en hindou, se réfère à la déesse du temps qui s’écoule, le temps qui pénètre tout et qui change tout, qui dévore tout à la fin. C’est la mort personnifiée. Dans la mythologie hindoue, ‘Kali’ est une figure féminine qui a quatre bras, le teint noirâtre, elle apparaît liée aux récits de guerre et de cadavres. Si dans la chaîne signifiante ‘Kali’

lieu où il passe est connu : c’est l’omphalos de Delphes, le nombril du monde.Le symbole de l’arbre mérite qu’on s’y attarde. Chez les Germano-Scandinaves, c’est le frêne Yggdrasil dont les racines sont en terre et le faîte dans le ciel. Chez les Hindous, par contre, un autre arbre sacré du nom d’Ashwatta, montre que l’ordre céleste est la source nourricière en plongeant ses racines dans le ciel. Dans la Kabbale, il est question d’un grand arbre de vie ». Le Moyen-Age voyait dans le Christ « un arbre

dogon (voir Dogons), égyptienne, kabyle, malgache (voir Madagascar), touareg (voir Touaregs) ; * mythologies d’Amérique : abénaquise, aztèque, chilote, guarani, inuit, précolombienne ; * mythologies d’Asie : chinoise, coréenne, japonaise, hindoue, māori, nauruane ; * mythologie d’Australie : mythologie aborigène ; * mythologies d’Europe de l’Est : arménienne (voir Paganisme arménien), estonienne, hongroise, lettonne, ossète, slave * mythologies d’Europe du Nord : finlandaise, laponne

Eka, l'« Un » ou Naïka, le « Multiple » : Dieu chez les hindous étant Absolu)256, et beaucoup d'autres, comme un saint homme. La notion d'incarnation de Dieu, puisque Jésus s'affichait comme tel, condamné par les Pharisiens comme un blasphème intolérable et qui menèrent Jésus à être crucifié (mourant comme un païen, la lapidation étant la mort des Juifs), se traduit exactement par le terme d'« avatar » en sanskrit, de « descente ». Les Hindous considèrent que les Chrétiens comprennent Jésus avec le

Devenu homme, Narcisse fut désiré par un grand nombre de femmes ainsi que d’hommes. Mais Narcisse, dans son orgueil et mépris, les repoussa tous. Il repoussa même les avances de la nymphe Echo. Un jour, un de ses prétendants méprisés implora la déesse Némésis, déesse de la vengeance, de la sorte : « Puisse-t-il aimer, lui aussi, et ne jamais posséder l’objet de son amour ! ». Cette prière fut exhaussée, lorsqu’un jour, Narcisse était parti chasser. Arrivé à une jolie source aux eaux brillantes, le jeune

berbère, dogon (voir Dogons), égyptienne, kabyle, malgache (voir Madagascar), touareg (voir Touaregs) ; mythologies d’Amérique : abénaquise, aztèque, chilote, guarani, inuit, précolombienne ; mythologies d’Asie : chinoise, coréenne, japonaise, hindoue, māori, nauruane ; mythologie d’Australie : mythologie aborigène ; mythologies d’Europe de l’Est : arménienne (voir Paganisme arménien), estonienne, hongroise, lettonne, ossète, slave mythologies d’Europe du Nord : finlandaise, laponne (voir Religion

l’antiquité Depuis la nuit des temps l’espace fascine l’homme, évidemment il est difficile de ne pas remarquer les milliers de points brillants que sont les étoiles ou la lune. Il a toujours associé des divinités à la lune, Chandra dans les mythes hindous et en Egypte Thot symbolise la lune de part ces connaissances sur les chiffres et il divise les mois et les jours, car au-delà du seul aspect divin la lune a toujours servi à l’homme, lui permit de se situer, savoir quand partir chasser ou d’établir