Déesse hindoue

conjonction en un centre. Ainsi, on peut s’attarder à son axe vertical qui relie entre eux une hiérarchie de degrés de conscience ou d’états d’être ou à son axe horizontal qui indique l’épanouissement d’un être à un degré déterminé. Dans la Tradition hindoue, l’axe vertical figure l’activité du Ciel (Purusha) et l’axe horizontal, la surface des eaux (Prakriti) sur laquelle elle s’exerce. Pour d’autres, elle désigne les deux axes des équinoxes et des solstices ou la rencontre de ceux-ci avec l’axe des

Deucalion et Pyrrha chez les Grecs. Le déplacement du soleil dans l'espace embrasé est expliqué par le mouvement d'un char à timon d'or, à roues de feu, que conduit d'une main sûre un dieu resplendissant : c'est le mythe de Sûryâ, dans le mysticisme hindou, et de Phoibos-Apollon chez les Anciens. Tout ce qui étonne la faible pensée humaine, tout ce qu'une science éternellement, insuffisante ne peut justifier, trouve une solution, provisoire ou fictive, dans le récit du mythe. C'est le cas des phénomènes

et cette maîtrise de la nature, que l’homme va se diriger vers une conception anthropomorphique de la religion, se plaçant lui-même au centre de celle-ci : il va créer des Dieux à son image. Les anciens esprits de la nature deviennent des Dieux et Déesses de la cité. Pour répondre à ses besoins fondamentaux, il projette dans le ciel des Divinité à son image : Dieu du Feu, de la Guerre,… Pour lui apporter la protection qu’il requiert. Ces nouveaux Dieux ont pris la place des anciennes forces de la

sourates de Médine, postérieures à l'hégire, plus longues et d’orientation plus politique et juridictionnelle. Le Mahâbhârata : Le Mahābhārata (littéralement « Grande humanité » traduit en « Grande Inde ») est une épopée sanskrite de la mythologie hindoue, analogue par sa taille (plus de cent vingt mille strophes) et sa portée religieuse à la Bible. Il est souvent considéré comme le plus grand poème jamais composé. Il ne comporte pas moins de 250 000 vers — quinze fois plus que l'Iliade — généralement

entre deux mondes, est un yogi inclassable. Il est présenté par tous ses disciples comme une incarnation divine : un Avatar. En inde, certains sages particulièrement rayonnants sont considérés par leur dévots comme des incarnations de dieux ou de la déesse. Ainsi, dans l’antiquité, Rama puis Krishna sont présentés dans les textes sacrés comme des incarnations de Vishnou. De nos jours, une sainte femme comme Ammachi est vénérée comme un Avatar de la Mère Divine, tout comme l’étaient Anandamayee Ma, ou

adopté en 1971 par l’Union Romani International, qui signifie « hommes » en hindi, pour désigner des groupes d’individus qui se décrivent eux-mêmes comme Gitans ou Tsiganes. » Selon certaines hypothèses, il pourrait également faire référence au dieu hindou Râma. D’autres dénominations évoquent les gens du voyage. Durant l’époque médiévale, les gens du voyage étaient appelés les Egyptiens, en raison de l’ancienne légende selon laquelle ces dernier seraient originaire d’Egypte. Dans le roman Notre Dame

anciennes l’ont vénéré. Dans l’Egypte Pharaonique : les hiéroglyphes montrent des étoffes sacrées en vert, pourpre et bleu ; de splendides objets bleu-vert, bleu égyptien, portent bonheur dans l’au-delà et dominent l’art. La turquoise est dédiée à la déesse de la maternité Hathor, élue des dieux et protège du mauvais œil. Appelé également "anil" l’indigo a donné son nom au Nil, "le fleuve bleu" d’Egypte. Pour les Perses le monde repose sur un saphir qui donne au ciel son éclat. L’Arizona et le Nouveau

Les Sages gnostiques connaissent les systèmes de recherche de l’Orient et de l’Occident. Les Gnostiques font des recherches sur les dimensions supérieures de l'espace et aussi sur les infra dimensions, avec les systèmes et les méthodes des Yogis hindous et étudient le monde physique avec les moyens de la recherche occidentale. Les deux systèmes en se complétant et en s’harmonisant pourront nous donner une culture et une civilisation hautement mystique et formidablement technique et scientifique.

une référence à des valeurs communes, mais aussi à des croyance et des idéaux qui s’apparentent à ce qu’offrent les religions ? Pourquoi Robespierre et les révolutionnaires ont-ils éprouvé le besoin de substituer au Dieu chrétien le culte de la « Déesse Raison » ? Interrogation possible sur la présence de croyances ou d’éléments mystiques au sein même des sociétés les plus laïques. Voir la notion de « mystique républicaine » chez Péguy ou certains hommes politiques républicains d’aujourd’hui.

affiche qui provoquera le désir de pousser plus ses recherches sur la mythologie hindoue, les costumes, pour élaborer un premier spectacle The Cobras. Elle débite bientôt à New York où elle remporte un succès immédiat ce qui la pousse vers l’Europe : Londres, Paris, Berlin. 4 La plupart de ses créations ont été filmées dans les studios de Hollywood, pour la plupart, courtes compositions. Dans Rhada, figurant une déesse hindoue d’abord immobile, elle s’anime et exprime les cinq sens avec divers accessoires