Déesse

pots, géraniums rares, rosiers nains, reines-des-prés aux panaches de brume blanche et rose ».C’est donc elle qui initie Colette au jardinage et aux mystères de la nature. Aux yeux de Colette, Sido a des pouvoirs surnaturels, ce qui fait d’elle une déesse souveraine. Grâce à ses pouvoirs, elle est capable d’offrir à Colette les choses qu’on ne peut que voir, des choses qui ne se passent pas de main à main telles que l’aube que Colette chérit :« j’aimais tant l’aube… ma mère me l’accordait en récompense

Hippolyte, né de son union précédente avec la reine des Amazones Hippolyté. L’AMOUR POUR HIPPOLYTE Hippolyte devenu adulte, Phèdre devient l’instrument d’une vengeance d’Aphrodite, la déesse de l’Amour, tournée contre le jeune homme. En effet, pour punir celui-ci d’être entièrement dévoué au culte d’Artémis, déesse de la Chasse, Aphrodite fait naître chez Phèdre une folle passion pour son beau-fils. Phèdre, qui ne peut lutter contre l’amour qui la consume, profite d’une absence de Thésée, parti consulter

glisse et tout s'émousse au granit de sa peau.Elle rit à la mort et nargue la Débauche,Ces monstres dont la main, qui toujours gratte et fauche,Dans ses jeux destructeurs a pourtant respectéDe ce corps ferme et droit la rude majesté.Elle marche en déesse et repose en sultane ;Elle a dans le plaisir la foi mahométane,Et dans ses bras ouverts, que remplissent ses seins,Elle appelle des yeux la race des humains.Elle croit, elle sait, cette vierge infécondeEt pourtant nécessaire à la marche du monde,Que

points communs puis nous observerons les différences. On retrouve dans l’Odyssée, deux figures importantes lors du voyage d’Ulysse pour son retour à Ithaque. Calypso et Nausicaa ont un point commun qui est la beauté. Calypso, de par sa nature de déesse, nymphe, possède une qualité de fraîcheur, de beauté. Elle est jeune, belle, douce et surtout immortelle. On retrouve plusieurs description de Calypso dans le chant V comme : « la nymphe aux belles boucles », « la merveilleuse Calypso » qui est répété

JUNON Bonjour, aujourd’hui, nous allons vous parler de Junon, vous raconter son histoire. Mythologie Dans la mythologie romaine, les dieux et les déesses étaient souvent violents et incestueux (mariage dans la famille) mais aussi des divinités multiples. Junon n'échappe pas à cette règle. En latin Juno, et en grec Héra, est la reine des dieux et la reine du ciel. Le quatrième mois du calendrier romain est nommé juin en son honneur par les Romains . Elle a comme surnom : Lucetia, Lucina pour

de lui donner les privilèges qu'elle choisirait parmi ceux des Immortels. Il voulut bien que, du cycle de l'année, la fille passât le tiers dans l'obscurité brumeuse, et les deux autres auprès de sa mère et des Immortels. Il parlait ainsi, et la Déesse se garda bien de désobéir au message de Zeus. D'un bond elle s'élança des cimes de l'Olympe et arriva dans la plaine Rharienne, naguère terre au sein fécond, mais qui n'étant plus féconde lors, restait inactive et toute dépourvue de végétation : car

castrer Ouranos. Ce geste criminel éloigne à jamais le Ciel de la Terre et libère les enfants. Cronos jette les testicules de son père dans la mer ; de ces restes, sans union, la Terre fait naître d’autres puissances. Du sang naissent les Érinyes, ( déesse infernales / persécutrices ) les Géants et certaines nymphes. Une écume (aphros , en grec) se forme autour des organes paternels et de cette écume surgit Aphrodite (Vénus, en latin), selon les mythes. Description du tableau : Cette œuvre est

plainte « O déplorable race ». A ce titre, elle invoque « Vénus », déesse qu’elle nomme de façon explicite comme responsable : « je reconnus Vénus ». Il s’agit pour le plus grand malheur de Phèdre d’une déesse inflexible, qui ne transige pas. En effet, Vénus est la déesse de l’amour, capable d’insuffler la passion dans le cœur des humains ; il s’agit alors d’une passion dévastatrice : « ses feux redoutables ». De même, Vénus est une déesse tenace, pugnace ; elle épargne peu les humains qu’elle a choisis

ayant mangé les boeufs de Hèlios Hypérionade. Et ce dernier leur ravit l'heure du retour. Dis-moi une partie de ces choses, Déesse, fille de Zeus. Tous ceux qui avaient évité la noire mort, échappés de la guerre et de la mer, étaient rentrés dans leurs demeures ; mais Odysseus restait seul, loin de son pays et de sa femme, et la vénérable Nymphe Kalypsô, la très-noble déesse, le retenait dans ses grottes creuses, le désirant pour mari. Et quand le temps vint, après le déroulement des années, où les

celle-ci même qui s’oppose à la beauté d’un couple magnifié. I. La Nature : déesse froide, menaçante et despotique. C’est extrait se compose de trois strophes de sept vers chacune que l’on peut définir en deux parties. Dans la première, de Vigny accuse la Nature d’être froide et menaçante, l’auteur utilise alors la seconde personne du pluriel « vous », montrant un certain respect voir une servitude face à cette « déesse » (3). La seconde à pour destinataire une femme. La personne a changé, il s’agit