Déesse

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vrai Déesse qui est la Nature. La Nature qui reste un lieu de beauté et de sérénité malgré les combats. Rimbaud écrit : « […] dans l'été, dans l'herbe, dans ta joie ». Ce procédé est à la fois un parallélisme de construction et une accumulation qui transmet l'impression d'une nature sereine. De plus, on constate une antithèse avec le « ciel bleu » et et « les crachats rouges de la mitraille » qui démontre bien l'horreur de la guerre dans une nature tranquille. La Nature qui devient une déesse dans

début, annoncée anonymement : « une déesse rayonnante » « la déesse ». Elle envahit progressivement les visions et convictions du héros. « Toutes mes aspirations, toutes mes prières se confondaient dans ce nom magique. Je me sentais revivre en elle. » il cherche le pardon auprès du Christ, et trouve pourtant la rédemption auprès d'Isis. Aurélia se divinise à travers Isis. Dans les initiations au culte d'Isis, on dévoilait comme une révélation la statue de la déesse au néophyte à la fin de ses épreuves

du peuple des elfes noir, mais la déesse de ce peuple est la déesse araignée. Un jour, Luna se réveilla avec plus aucun de ses frère loups a ses coté, c’est alors à se moment que son aventure commenca. Luna décide donc d’aller dans l’antre de la déesse des elfes noir pour retrouver sa mère précédemment enlevé par Matrone Zesstra. Elle tente aussi de retrouver sa sœur Sylnor. Luna vivra pleins d’expériences spectaculaires et traumatisantes dans l’antre de la déesse araignée… Présentation du personnage

«Cybèle» Cybèle est l’une des plus grandes déesses du Proche-Orient pendant l’Antiquité. Déesse de la Terre, des forces de la nature et de la fécondité (d’où son pouvoir : au cœur de l’été, elle « augmente ses verdures »), elle est aussi gardienne de la connaissance. Les desservants de son culte étaient des prêtres ambulants, les Galles. Pendant leur initiation, ils s’émasculaient eux-mêmes puis couraient de ville en ville, portant l'image de la déesse, jouant des cymbales et agités d'une fureur

pomme de la discorde) sur laquelle était inscrit « pour la plus belle » à l’une de trois déesses suivantes : Héra(fille des Titans Cronos et Rhéa, est la femme et la sœur de Zeus. Elle est la protectrice de la femme et la déesse du mariage, gardienne de la fécondité du couple et des femmes en couche.), Athéna (déesse de la Guerre, de la Sagesse, des Artisans, des Artistes et des Maîtres d'école.)et Aphrodite(déesse de l’amour).En remerciement on lui proposait donc la royauté, la puissance militaire

mini-vases) vers 9000 sur le Moyen-Euphrate qui sont en argile durcie au feu. On invente la terre cuite pour façonner de petits objets ?, notamment des statuettes féminines. Attestation d'un thème très diffusé dans l'Orient méditerranéen = thème de la déesse de la fécondité. Objets en pierre polie, limitée à des objets non-utilitaires ; outillage le plus utilisé est en silex (flèche pédoncule etc). Sur le plan artistique : première figurines humaines féminines, schématiques, en pierre et en terre cuite

tombe dans son dos. Elle est la déesse le l’amour et de la beauté et sa nudité est la première chose visible sur cette toile. Elle se trouve au centre du tableau et tous les regards sont attirés vers elle. Deux anges qui jouent avec un dauphin regardent eux aussi Vénus, ils évoquent l'idée de l’innocence, et le dauphin associe Vénus à la mer. De plus, le groupe d'anges à l’arrière plan, reprenant la posture du bras droit de la déesse, associent également la déesse au ciel. Parmi eux se trouve

d’Apollon, avec lequel elle partage de nombreux traits commun comme l’arc. Déesse de la chasse et de la nature sauvage, elle vit entourée de sa troupe de nymphes et de ses chiens. Son animal favori est la biche. Elle est aussi une déesse vierge, qui châtie durement ceux qui attentent à sa pudeur. Sous le nom de Séléné, elle est également la déesse de la clarté lunaire. Athéna Léitis (ligne23-24) : Fille de Zeus et de Métis, est la déesse de la sagesse et de la guerre. Elle sortit du crâne de son père toute

peinte vers 1499 (durant la Renaissance) par Botticelli (1445-1510). C’est une peinture à l’huile sur toile ayant comme dimensions, 1,75 m x 2,78 m. Elle est exposée à la Galerie des Offices à Florence, en Italie. 1.1 description du tableau Vénus, déesse de la beauté et de la pureté se trouve au centre de l’œuvre. Elle se tient sur une conque de coquillage (une coquille Saint-Jacques), au bord de l’eau. Elle est nue et elle essaie de se cacher du regard des autres avec ses cheveux anormalement longs