Defaisance

et de la dissémination des risques se sont développées des techniques de gestion de bilan pour obtenir des actifs liquides et négociables et se délester de certaines dettes. La titrisation d’une part, permettant de gérer l’actif du bilan, et la défaisance d’autre part, permettant de gérer le passif du bilan. La titrisation est une innovation financière permettant de transformer des créances en titres négociables sur les marchés financiers. La titrisation est en fait la privatisation de la création

d’établissements bancaires 17 La place des banques françaises 19 II. L’évolution du secteur bancaire en Chine 20 A. Performances actuelles 20 1. Chine continentale 20 Les créances douteuses des banques chinoises et les structures de défaisance 20 2. Hong Kong 22 B. Opportunités et risques pour le futur 22 1. Chine continentale 22 OMC 2001 – 2007 : ouverture du secteur bancaire page 81 cf elodie 22 Rachat de créances aux AMC avec décote de la valeur faciale: 23

communication. * déqualification n. f. * Domaine : Économie/Marché du travail. * Définition : Le fait, pour un travailleur, de passer d'un emploi qualifié à un emploi non qualifié. * Équivalent étranger : ladder effect. * défaisance n. f. * Domaine : Finances/Banques-Marchés. * Définition : Opération ayant pour but d'améliorer le bilan d'une entreprise en se défaisant, sur une entité distincte, d'actifs considérés comme compromis en tout ou partie. *

terme de 2,7%, ce sont des taux pas vu depuis 2007. Certaines banques ont encore des actifs pourris mais non déprécibles. Rappel financement simple je fais juste un crédit. Si structuré, je monte un plan de financement avec plusieurs acteurs. Defaisance = autosuffisance = financement autoliquidatif, cela produit automatiquement des cash-flows et donc ce finance seul. Si pas de modèle financier fait à partir de business plan, pas de modélisation financement structuré. On crée artificiellement

afin de déterminer ces flux de trésorerie et de les actualiser. De plus les analystes financiers sont spécialisés dans un secteur en particulier. L’introduction en bourse Le retrait de la cote Les opérations affectant le nombre d’actions La « défaisance » Opération d’ingénierie financière qui permet à une entreprise de transférer toutes ses dettes à une structure ad hoc(une fiducie ou un trust). Simultanément elle lui transfère un portefeuille de titre sans risques (obligation d’Etat) dont la

par la faillite de plusieurs grandes banques. À cette fin, les banques centrales ont abaissé leurs taux directeurs et la Fed a élargi sa prise en pension de titres à des actifs risqués ; le gouvernement des États-Unis a repris via une structure de défaisance une partie des « actifs toxiques » détenus par les banques (première phase du Plan Paulson) ; des États ont élargi leur garantie des dépôts des particuliers et ont partiellement nationalisé des institutions bancaires en faillite ou proches de l'être

bancaires possible et dans la mesure où les bqne vont plus confiance entre elles , les bq centrales prennent les relais en mettant des liquidités La baisse des i d usa 1% et FED 3,75 % Plan de sauvetage Paulson consiste à créer une structure de defaisance qui sera une sorte de bq publique chragée de racheter les créances douteuses des bq américaines puide les conserver le temps que les marchés repartent à la hausse puis les revendre ; montant 700 milliadde$ ; en europe 1800 MILLI znFrance 345 MILLI

transférer ces actifs toxiques. Cela a était fait dans les structures dite de défaisance où la banque va transférer ces actifs toxique. Techniquement l’Etat intervient en garantissant les obligations émises par les structures de défaisance en échange des actifs à risque. Mais les pertes éventuelles sur ces actifs sont supportées au final par les actionnaires des banques. En résumé, chaque banque créé sa structure de défaisance vers laquelle elle transfère ces actifs toxiques sur la base de valeur comptable

risques, leur mesure est beaucoup plus embryonnaire. * Solutions possibles : Plusieurs solutions sont envisageables pour faire face au risque, l’entreprise peut : * céder immédiatement l’actif ou le passif porteur de risque (titrisation, défaisance, affacturage…) * décider de ne rien faire et s’auto couvrir. Ceci ne peut concerner que des petits risques ou quelques grands groupes et pour certains de leurs risques ; * fixer dès aujourd’hui le prix ou le taux d’une transaction future

centrale du GAN, à intervenir massivement pour permettre au groupe GAN-CIC de retrouver les voies de l'avenir. » Le GAN passe dans ses comptes, en 1996, environ 14 Milliards de Francs (MdF) de provisions provenant pour l'essentiel de l'UIC et de la défaisance immobilière créée en 1994. Ainsi, à la fin de l'année 1996, le GAN est virtuellement en situation nette négative On a donc une crise financière dans le GAN, due principalement à l'UIC, filiale du GAN spécialisée dans le financement du secteur