Defaisance

est le pays le plus riche et dont la démocratie est la plus solide qui va engager une restructuration de son système bancaire : elle ferme 35 banques ,les actifs sains sont repris par d’autres et les actifs douteux transférés à une structure de défaisance . On assiste à une véritable nationalisation temporaire du système bancaire qui permet la reprise du crédit en 1999 et qui ainsi favorise les opérations d’exportations. Chez Les Tigres, les réformes se font attendre, même si la Thailande, point

Credits default swaps. Pour enrayer la crise systémique, les États-Unis ont lancé le plan Paulson. Le secrétaire au Trésor des États-Unis Henry Paulson a annoncé le 18 septembre 2008 que l'État américain allait mettre en place une structure de défaisance qui achètera aux institutions financières et gérera des actifs toxiques (notamment les dérivés de crédits subprime) qu'elles ont en portefeuille, annonçant un montant global d'environ 700 milliards de dollars américains. La dette nette des États-Unis

créances d'une entreprise dans le cadre d'un contrat en supportant, de manière optionnelle, les pertes éventuelles sur les débiteurs insolvables. ❖ La défaisance (en anglais defeasance) : est une opération financière consistant à céder simultanément des actifs financiers et des dettes à une société tierce, souvent une structure de défaisance. Cette cession est irrévocable. Cette opération permet de nettoyer le haut du bilan en diminuant le montant des emplois et des ressources stables. Économiquement

contrepartie de rembourser le crédit) et le risque de recouvrement (incertitude quant à la date et au montant du recouvrement de la créance). Pour anticiper ce risque, les banques utilisent : • • • les dérivés de crédit la titrisation la défaisance Copyright : Le BOURSIER - 76 - RISQUE DE CONCENTRATION Le risque de concentration est le risque en rapport avec une concentration importante des investissements dans certaines catégories d'actifs ou sur certains marchés, il survient

pas centralisés dans une structure de défaisance unique, ni transférés au bilan du secteur public, mais chaque banque a la possibilité de créer une structure de défaisance individuelle où elle pourra transférer les actifs concernés ; – l’État intervient uniquement comme garant. Il permet d’éviter toute dépense immédiate de la part du gouvernement et de minimiser la socialisation des pertes. L’État garantit les obligations émises par les structures de défaisance en échange des actifs douteux, mais les

Poor’s)………. .27 Figure 1 : Les objectifs de BALE II……………………………………………………... 12 Figure 2 : Evaluation et couverture du risque de contrepartie………………………….... 25 Figure 3  : La titrisation des créances bancaires…………………………………………. .34 Figure 4 : La défaisance de créances bancaires…………………………………………. .35 Figure 5 : Organigramme de la DCEI………………………………………………….... 49 Figure 6 : Circuit d’octroi de crédit aux entreprises à la BICICI…………………………60 INTRODUCTION Les économies

et les créances Section 1 – La titrisation 1. Les éléments de définition 2. Les avantages de la titrisation 3. Le cas des titrisations synthétiques 4. Le traitement comptable et l’impact financier de la titrisation Section 2 – La defaisance (désendettement de fait ou in substance defeasance) 1. Les éléments de définition 2. Les avantages de l’opération 3. La comptabilisation de l’opération 4. L’impact sur l’analyse financière Chapitre 21 – Ethique et gouvernement d’entreprise

des mesures pour assainir le système bancaire, avec la fermeture des entités financières insolvables, une recapitalisation des banques d’Etat. Une partie des créances douteuses a été transférée vers des organismes spécialisés : les organismes de défaisance (Asset Management Companies ou AMCs). En 1999, quatre AMC ont été créées pour traiter les créances douteuses provenant des quatre banques commerciales d’Etat pour un montant total de RMB 1400 milliards (équivalent à 17% du PIB de 1999). Mais depuis

.......... 33 2.2.2. La prévention globale du risque de crédit .................................................. 35 2.2.2.1. Division et plafonnement du risque de crédit ...................................... 35 2.2.2.2. La titrisation et la défaisance ............................................................... 36 Chapitre 3 : La démarche méthodologique...................................................................... 38 3.1. Le modèle d’analyse.......................................

l’État dans le capital des banques et les nationalisations, certains pays ont choisi une démarche différente qui consiste à créer une ou plusieurs structures de défaisance, ou bad banks, pour externaliser ces actifs douteux des bilans des banques. Comparaison des dispositifs de défaisance (bad bank) et de garantie des actifs Structure de défaisance a) Garantie des actifs b) Objectif Limiter les pertes supportées par les banques et réduire ainsi l’incertitude qui les empêche d’allouer des crédits à