Défenseur du peuple

colonisation européenne en Afrique entre 1880 et 1939 Joseph Clergue 1er es Le 18/10/10 La colonisation est un processus d'expansion démographique et de domination politique, culturelle et économique pratiquée par certains États sur d'autres États ou peuple. Celle de l’Afrique en 1880 est dominée par l’Europe qui veut dominer le monde, elle est composé de deux partie la première (1880-1914) qui est la partie de conquête et d’installation de la domination européenne et d’une seconde partie (1914-1939)

les bonnes conduites, mais aime les activités nobles (la chasse), et n’est pas un intellectuelle. -Charles Quint était un modèle pour Philippe II: suivre le modèle de son père (réunifier les territoires de l’empire hérités et conquis, être le défenseur du catholicisme). -une vie dans l’ombre de son père: Charles Quint laisse la régence en Espagne à sa mère pour tenter de conserver les autres états de l’empire qui sont instables (à cause du protestantisme..) au lieu de familiariser son fils à

sa province, notamment en tant que membre de l'Académie d'Arras, où il est élu en 1783, puis à Paris il devient député du Tiers état pour l’Artois aux États généraux de Versailles en 1789, puis à l’Assemblée constituante où il fut l’un des rares défenseurs du suffrage universel et de l'égalité des droits. Il y prononça un discours pour l’abolition de la peine de mort qui est aujourd'hui très connu. Maximilien de Robespierre fait parti du club des Jacobins, il en était le principal animateur, il était

sur le fait que l’intervention humanitaire doit exister. C’est le cas de John Rawls qui affirme selon le principe d’assistance que Les peuples ont le devoir d’assister ces peuples qui, pour des raisons diverses (catastrophes naturelles, guerres, occupations par d’autres peuples etc.), sont privés de ressources élémentaires. Un devoir d’assister les autres peuples vivant dans des conditions défavorables qui les empêchent de jouir d’un régime politique et social juste ou décent. Sandoz, lui, affirme

hasard si ses ancêtres dirigeaient déjà le pays (intervention divine). Cela justifie en contrepartie que la Monarchie offre des privilèges à l'Eglise catholique. La révolution française va changer la perspective : le souverain n'est plus le Roi mais le peuple, la nation. Cela veut dire que le pouvoir suprême appartient désormais aux citoyens et ce sont les citoyens qui vont élire des représentants et ces derniers vont faire la loi. La révolution française met donc en marche un mode de légitimité démocratique

Ce texte est extrait des Contemplations, recueil de poésie de Victor Hugo, poète, dramaturge et prosateur français, chef de file du mouvement romantique.  Ecrit en 1854, à une époque où Hugo, exilé, se tourne vers les idées républicaines, le recueil est publié en 1856. Il est composé de 158 poèmes rassemblés en six livres.  Hugo y expérimente le genre de l'autobiographie versifiée."Réponse à un acte d'accusation" se situe dans la première partie du recueil, intitulée "Autrefois (1830-1843) - Aurore"

souveraineté populaire ou celui de la souveraineté nationale. I- Les formes de souveraineté et leurs conséquences 1) La souveraineté nationale : a) Concept : Il s’agit d’un concept défendu par les révolutionnaires. L’un de ses plus grands défenseurs fut Sieyès, dans « Qu’est ce que le Tiers-Etat » (Doc.1). Dans ce texte, il définit la souveraineté nationale. Il insiste sur le fait que dès lors que la nation existe, la participation de tous les citoyens aux affaires n’est pas indispensable.

s'engouffrent partout dans l'Empire. §1 : De la civilisation germanique A) Des structures politiques embryonnaires Ces peuples germaniques sont, par essence, des nomades et ne peuvent être lié à aucun système politique : ce n'est pas un état. Les germains sont constitués de plusieurs unités distinctes avec un chef pour chacune. Au moment des invasions, les romains sont constitués de peuples divers. À leur tête, il y a le roi (plutôt un chef religieux) et celui qui a le commandement militaire : le Dux.

l’esprit, le corps et le temps. Parfois on soupçonne les ennemis de la révolution d’avoir tronqué la pensée de Karl Marx . Le grand barbu disait certainement : « La religion…du lire est l’opium du peuple » et les éditeurs malveillants ont oblitéré la phrase. Mettez des livres dans les mains du petit peuple et vous en ferez un grand fainéant ! Et l’antienne selon laquelle la lecture est la voie royale pour acquérir une vaste culture est un autre non-sens. Qu’est-ce qu’un homme cultivé si ce n’est un

réputation de Voltaire tient aussi à son style, marqué par l'élégance et la précision, et souvent au service d'une ironie mordante. Tout au long de sa vie, Voltaire fréquente les Grands et courtise les monarques, sans dissimuler son dédain pour le peuple, mais il est aussi en butte aux interventions du pouvoir qui l'embastille et le contraint à l'exil en Angleterre ou à l'écart de Paris. En 1749, après la mort d'Émilie du Châtelet avec laquelle il a entretenu une liaison houleuse de quinze ans, il