Déglutition

en arrière. Troubles de la parole Parole assourdie et marmottante. Troubles de l'esthétique Visage sans mimique. Tendance à baver. Difficultés à la toilette et à l'habillage. Hypersudation. Troubles de l'alimentation Gêne à la déglutition. Amaigrissement fréquent. Troubles du transit Constipation fréquente. Troubles de la miction Mictions impérieuses avec incontinence urinaire (marche est ralentie pour accéder aux toilettes). Douleurs Crampes. Tendinites (épaule

sumandibulaire) L'ingestion : introduction nourriture dans bouche Digestion mécanique : mastication Digestion chimique : la salive Temps pharyngien Passage du bol alimentaire dans l’œsophage Lieu de transit est le pharynx La propulsion se fait par déglutition Temps œsophagien Le péristaltisme œsophagien : mécanisme involontaire dû à des ondes de contraction Ouverture du cardia Temps gastrique Digestion mécanique : brassage, broyage du bol alimentaire Digestion chimique : une muqueuse interne qui

regarde la télévision et répond au téléphone la journée. Elle a souvent des appels de sa famille. Elle aime avoir de la visite et discuter. Elle mange en texture normale et n’a pas de régime particulier. Elle a cependant des troubles de la déglutition c’est pour cela qu’elle a besoin de surveillance lorsqu’elle mange. Elle boit de l’eau gélifiée. Elle respire correctement. Elle est continente et porte une protection jour et nuit. Elle a besoin d’une aide pour le transfert et les déplacements

pour description clinique une dégradation intellectuelle sévère, une surdité profonde, des troubles orthopédiques, des surinfections respiratoires et un gonflement de la face qui dans le cas de la patiente entraine une cécité et des problèmes de déglutition. Le traitement n’est que symptomatique. La patiente est âgée de 27 ans et a donc dépassée l’espérance de vie de la maladie qui est de 20 ans. La prise de sang avait pour but de réaliser une sérologie d’anticorps anti-hépatite B. Elle se déroula

| |Se manifeste par des troubles de la | | | |œdème, flush facial | | |déglutition, des paresthésies, des | | | |dlr abdo, | | |contractures de bras gauche

trachéotomisé car il ne tolère pas l’absence de respirateur. (Intolérance au sevrage de la ventilation assistée). Depuis sa trachéotomie, il est alimenté par voie entèrale. La veille premier essai d’alimentation parentérale qui a été un succès (bonne déglutition, pas de signe d’étouffement.) Durant la première journée où je travaille, l’homme mange quelques yaourts et des aliments en purée, tout se passe bien. Cependant, quand je surveille sa glycémie capillaire je constate qu’elle ne cesse d’augmenter

personnes ayant partagé les mêmes aliments manifestent des symptômes identiques, mais avec une sévérité variable. Ceux-ci débutent par une atteinte oculaire (défaut d’accommodation, vision floue), une sécheresse de la bouche accompagnée d’un défaut de déglutition voire d’élocution, puis par une paralysie des muscles. Dans les formes avancées, ils évoluent vers une paralysie descendante des membres et des muscles respiratoires. C’est cette insuffisance respiratoire qui entraîne le décès. Le botulisme infantile

poids -laryngectomie -thymie -aux ttt -aux diarrhées -une perte de poids -Donner les Crèmes et boissons HP -quantifier les repas du patient grâce à la fiche alimentaire Problème et Risque de douleur -à la laryngectomie (gêne à la déglutition liée au manque de salive, conséquences de l’irradiation) -aux aspirations bronchiques -soins de trachéotomie -Douleur chronique à la cuisse droite -Qu’il soit non douloureux - Evaluer la douleur tout au long de l’hospitalisation -Evaluer

: 0,3 ml en sous cutané, 1 injection par jour (héparine à bas poids moléculaire) Madame P. est consciente, elle répond aux ordres simples (ouvrir les yeux, serrer la main), elle est apyrétique. Elle présente des troubles de la déglutition et a besoin de l’aide d’une tierce personne pour les repas. En lui prodiguant des soins vous constatez que la patiente est encombrée car elle n’arrive pas à expectorer. Elle présente des rougeurs aux points d’appuis (sacrum, talons). Les pieds

soin terminé je transmets la présence des rougeurs à l'infirmière du secteur puis je le notifie dans le dossier papier du patient afin d'assurer une continuité dans les soins en lien avec la compétence 9 (2.4). Monsieur F présente des troubles de déglutition. J’ai remarqué qu’il ne fallait pas lui donner de l’eau minérale mais plutôt de l’eau gélifiée ce qui évite ce genre d’incident. Parallèlement le sujet hydratation prend une place importante dans un premier temps pour le bon fonctionnement des