Dégoût

page associés à la plaine - par le parallélisme : « leur coin de plaine saturé de sel, jusqu’à eux trois saturés d’ennui et d’amertume » l….. - par l’association des personnages et du lieu où ils vivent dans la phrase : « Ils en furent si dégoûtés, si dégoûtés, en se retrouvant sans cheval sur leur coin de plaine, dans la solitude et la stérilité de toujours » l…… ➜ « solitude » et « stérilité » désignent tout à la fois les protagonistes et la plaine. - L’ennui s’accompagne du désir de contact avec

Laforgue, à leurs manières, suivent cette tradition. Le premier décrit dans le chapitre 9 de la première partie de Madame Bovary le monde provincial dans lequel Emma évolue. Jules Laforgue, quant à lui, présente dans sa Complainte d’un autre dimanche le dégoût de la vie à travers des allusions picturales. Dans quelle mesure peut-on comparer ces deux textes de genres différents ? La dimension descriptive de ces deux écrits sera d’abord étudiée, puis nous verrons comment ils peuvent s’inscrire dans la lignée

sortie d'un rêve. Pierre apprend que Maréchal était allé chercher le médecin, comme s'il était plus qu'un ami => doute de Pierre. Ensuite, Jean part se promener suivi peu après par Pierre qui a besoin de solitude à cause de son énervement et de son dégoût. Pierre arrive à analyser ses réactions, dédoublant ainsi sa personnalité. Il fait un lien entre son errance intérieure et extérieure. Lecture du texte Dès qu'il fut dehors, Pierre se dirigea vers la rue de Paris, la principale rue du Havre

cet extrait est-il caractéristique du mouvement naturaliste ? La pauvreté et les classes sociales basses sont présentées à travers un cadre réaliste et populaire, lors d'un bal sinistre, sous l'oeil méprisant des romanciers cherchant à inspirer le dégoût. I- Un cadre réaliste et populaire A) Un univers réaliste Un cadre réaliste : lieux réels : « l’Hôpital », « Mont-de-piété » noms de peintres connus : « Boucher », « Prud’hon » mesures réelles : “ poisson ” Un lieu marqué par de nombreux

les personnages de la comédie humaine qui ont été spoliés, écartés, victimes d’injustices. Il parle au nom de l’auteur en utilisant une figure d’insistance : l’anaphore où il répète le même verbe «  j’ai vu » au début des phrases, pour exprimer son dégoût pour cette société menée par l’argent, la sexualité et le pouvoir. « J’ai vu mourir un père dans un grenier », ("Le Père Goriot"), « j'ai vu brûler des testaments » ("Ursule Mirouët"). « J'ai vu des mères dépouillant leurs enfants » ("Gobseck"),

pouvait laisser indifférent » (l. 4), « une vitalité étonnante » (l. 11), « extraordinaire maigreur », « Etrange constatation » (l. 17) (1 pt.) Puis cette impression se change en inquiétude, en peur, en dégoût : « un frisson » (l. 20), « une terrible nausée » (l.21), « mon dégoût » (l. 21), « effrayant » (l. 22).(1 pt.) 4) Cet extrait est issu d’un récit fantastique. En effet il évoque un personnage surnaturel et effrayant (le vampire) qui provoque l’inquiétude et l’effroi du narrateur

contempler mon cœur et mon corps sans dégoût !" Cette prière de Baudelaire résume l'éthique de Don Quichotte. In JOURNAL D'UN LECTEUR, ALBERTO MANGUEL, ACTES SUD, 2004. PS: Les copies doivent être écrites sur Word et rendues le lundi 13  Commentaire Don Quichotte veut être un homme juste pour lui-même et non par obéissance à des lois humaines ou divines. "Ah ! Seigneur ! Donnez-moi la force et le courage / de contempler mon cœur et mon corps sans dégoût !" Cette prière de Baudelaire résume l'éthique

  d’une   rose   (plaisir)   comme   elle   peut   sentir   des   odeurs   désagréables   (dégoût).   La   statue   est   capable   de   faire   la   différence   entre   le   plaisir   et   le   dégoût.   Ainsi,   elle   juge   et   elle   compare.   À   partir   de   là,   le   plaisir   et   le   dégoût   vont   devenir   le   principe   directeur   qui   lui   permettra   de   juger/de   comparer

fonctionnement d’une société qui n’existent pas dans un monde de « tu-seuls »2- Quelles sont les origines du dégout de la sexualité de Marie-Lou ? (Au moins deux éléments) Quelles en sont les conséquences ? (Au moins deux éléments) Les origines du dégoût de la sexualité de Marie-Lou proviennent de la violence subissait de son père et de la scène qu’elle a vue et qui l’a traumatisé. Cela mène à un dégoût envers les hommes. Cela mène aussi à sa passion pour la religion. Être religieuse implique la chasteté

jouissance sexuelle et safrustration (manque d’orgasme). Balzac parle ainsi de la brutalité sexuelle, proche du viol, que subissent doublement (physiquement et psychologiquement) les jeunes mariées ignorantes des choses dela vie, brutalité qui les dégoûte d'autant plus des plaisirs des sens que l'homme dispose du corps de sa femme comme il l'entend et est lui-même tout à fait ignorant des besoins de sa femme. Julied'Aiglemont est ainsi soumise aux pulsions de son mari Victor d'Aiglemont décrit par