Dégoût

l’homme égocentrique et insensible ? Suggestion d’annonce de plan : Dans cet extrait des Caractères, La Bruyère dresse le portrait de Gnathon, un personnage égocentrique qui ne supporte pas les hommes, un asocial, un misanthrope, qui suscite le dégoût. Son portrait caricatural et satirique suscite le rire mais conduit surtout le lecteur à réfléchir. Suggestion d’analyse du texte I. Gnathon, un portrait caricatural a. Gnathon, un personnage égocentrique, égoïste, individualiste, un misanthrope

Dans cet extrait intitulé « De L’Homme », il dépeint le portrait de Gnathon, un personnage égocentrique qui ne supporte pas les autres, qui provoque le dégout. La Bruyère propose une véritable caricature qui suscite le rire mais doit également mener à une réflexion morale chez le lecteur sur son attitude quotidienne. En quoi ce texte est un portrait satirique de l’individualisme de l’homme insensible,

l`amour. [...] T’aime pas ca le sexe, David, ca te dégoûte. (p.89-90) Dans cet extrait, nous pouvons constater que ça va extrêmement mal, surtout avec le rejet total de Catherine face à cette expérience. Elle éprouve énormément de dégoût à l`idée de faire l`amour avec lui. L`atmosphère indiquant clairement une dispute, donne l`impression qu`elle ne veut plus rien savoir de son mari. De plus, elle nous démontre que David éprouve lui aussi le dégoût. Toutefois, il a beaucoup de difficulté à accepter

malaise de l'individu qui ne parvient pas à vivre dans la société. La sensibilité romantique se révolte contre un système politique qui anéantit l'artiste en se consacrant à la gloire de la nation. C'est la révolte par dégoût, dégoût de l'avidité bourgeoise, de la société moderne, dégoût pour un présent qui n'a plus de passé ni encore d'avenir L'infini  :La contemplation de la nature prend dans l'âme romantique une dimension métaphysique qui la confronte à l'infini. Mais c'est aussi une vision intérieure

malaise de l'individu qui ne parvient pas à vivre dans la société. La sensibi-lité romantique se révolte contre un système politique qui anéantit l'artiste en se consacrant à la gloire de la na-tion. C'est la révolte par dégoût, dégoût de l'avidité bourgeoise, de la société moderne, dégoût pour un présent qui n'a plus de passé ni encore d'avenir, à la fois plein de semblants de ruines et d'espoirs incertains : « on ne sait, à chaque pas que l'on fait, si l'on marche sur une semence ou sur un débris. »

morales. Détresse : angoisse causée par le danger imminent ou par le besoin, la souffrance. Consternation : stupeur causée par un évènement pénible, stupeur, accablement, surprise douloureuse. Dépression : inhibition psychomotrice, accompagné de dégout de la vie, de tristesse, de sentiment de culpabilité, d’idées de suicide. Désarroi : trouble confus de l’esprit. Ennuis : vif chagrin, grande tristesse. Lassitude morale, absence d’intérêt pour toute chose. Découragement : abattement, perte de

récurrents2. Le spleen3. L’image de la femme4. L’écriture poétique5. Typiquement baudelairien6. La structure de l’œuvre 1. Des thèmes récurrents · Le spleen · les sources de dégoût et la tristesse · Le vin · La fuite dans l’ivresse · La fuite du temps · Les saisons · Le printemps ( Le Goût du Néant

siècles. Elle possède une multitude de noms. Mais qu'on l'appelle étron, caca, purée, boudin, courante, mélange, bréneux, foirade, cigare, pêche, épreinte ou rondin, elle reste aujourd'hui un véritable tabou, un interdit social qui provoque le dégoût. Elle pue et est conspuée en retour. Pourtant, c'est un sujet de préoccupation quotidien et universel. «Les rois, les philosophes fientent, et les dames aussi», disait Montaigne. «Partout où ça sent la merde, ça sent l'être», ajoutait Antonin Artaud

gestuelle pathétique : « se pressant contre le miroir », « tendant les mains vers le miroir », « s’agenouillant devant le miroir » - et son émotion par la répétition des larmes : « (en) pleurant » x2 +finalement « criant ». Ainsi est mis en valeur son dégoût de lui-même qu’il ne supporte plus. -> gradation de l’intensité de l’émotion jusqu’au bris du miroir : « dans la glace lance son siège à toute volée en hurlant » B ) Reflet dans le miroir : Symbolique du miroir, Caligula fait un bilan de sa

vierge de faire de son fils un prêtre. Rudolf a une mère et deux sœurs. À l'école, après avoir repoussé un de ses camarades (Werner), ce dernier s'est cassé la jambe. Rudolf se confie au prêtre de l'école. Celui-ci le balance à son père. Rudolf est dégouté de la religion et ne veut plus faire prêtre. En 1914, le père de Rudolf meurt. Rudolf veut s'engager à l'armée. Il n'y parvient pas car trop jeune et travaillera dans un hôpital. 1916 Là, il rencontrera le capitaine Gunther. Il écrira des