Dégoût

modeste. En effet, Duane Hanson montre une femme issue d’une classe moyenne très modeste, sujet qui sera récurrent dans ses œuvres. Enfin, cette femme, en plus d’être le reflet d’une société qui suscite celui qui la regarde des sentiments proche du dégoût. Duane Hanson s'est amusé, dans cette sculpture, à associer étroitement la femme et le caddie. Par exemple, les deux débordent : la posture de la femme, ses bigoudis, sa cigarette au coin de la bouche, montre une femme disgracieuse voire vulgaire

maitriser leur poids par toute sorte de moyens : notamment en faisant des régimes pauvres en calorie, puis finalement elles réussissent à se convaincre elles-mêmes que leur manière de s’alimenter est normale et elles vont même jusqu’à considérer avec dégout ce que mangent les autres. La personne refuse de maintenir un poids santé normale et comme je l’ai mentionné précédemment, son poids peut-être 20 à 30 % inférieur à la moyenne. Mais, même lorsque que l’on distingue les os de l’anorexique, la personne

Gargantua, scène de combats Chapitres 27, 36 et 44 Ces trois chapitres mettent en avant des scènes de combat violentes qui opposent Gargantua à des brigands et le moine à l’armée de Picrochole. Les scènes de combat sont liées à un vocabulaire du corps très précis et suivies d’exagérations, d’hyperboles...qui amplifient le côté démesuré de l’œuvre. Chapitre27 :-l.12 : tumulte, armée -l.14 : lances, démolirent → Champ laxical de la guerre -l.15 : murailles, détruire -l.22-23-24 : jeune (…)

la lecture de ces deux chapitres. D’abord, comment peut-il y avoir une personne cruelle et sans pitié comme Hussein Marouk, il n’a pas un cœur. Laisser des gens comme ça au milieu de la mer, sans nourriture, sans eau, sans rien. Ce personnage me dégoute, il n’a pas de pitié ni un cœur. J’étais très triste en lisant l’histoire de cette femme qui a payée tout cet argent et a laissée sa vie pour elle et son fils. Puis, son fils est mort à cause d’Hussein Marouk et l’équipage et il était jeté dans la

auquel vient s’ajouter la mort de son père qui le pousse à trouver une issue apaisante par la religion. -Rapport à la mort très présent, plus d’emprise sur la vie. René nourrit une langueur secrète, un ennui, un dégoût envers la vie, c’est pour cela qu’il est tenté de se suicider. Avant de mettre en pratique son projet, il écrit une lettre à sa sœur, qui devine son intention et qui le rejoint pour l’en empêcher. Pour lui la vie n’a pas énormément

(qui a lui aussi existé) dont il fait une description très minutieuse à l’aide de nombreux adjectifs qualificatifs tels que «la muraille monte, noir, grossièrement crépie … » ligne 22. L’utilisation fréquente du suffixe péjoratif « -âtre » exprime le dégoût que les couleurs suscitent chez le narrateur afin de les retranscrire au lecteur ; « une clarté blanchâtre » ligne 5, « reflets verdâtres » ligne 13. Tous ces outils de description rappellent une description picturale. En effet, il n’y a aucuns verbes

«tout de même capable», «au moins»... de négatives : «ça ne devrait servir qu'à», «qui n'avait pas été», «rien ne pousse», révélant le petit et le dérisoire. La mort du cheval va les faire encore plus désespérer, ils sont dégoutés de ce monde hostile, c'est un coup final : «si dégoutés» (si=insistance), «amertume». Ils ont atteint un point de non retour. III Une fatalité tragique 1)Une issue tragique Une perspective s'ouvre avec une anticipation et des éléments modificateurs qui peuvent amener

d'être heureux, plus le bonheur dure, plus on se dit heureux. Cependant « On est quelquefois bien loin d'être heureux dans la prospérité, comme un malade dégouté ne mange rien d'un grand festin préparé pour lui. » l'auteur démontre que l'on est pas forcement heureux quand le bonheur est abondant, ainsi l'auteur en donne un exemple avec un malade dégouté qui n'est pas content du repas abondant préparé pour lui. Si l'homme est heureux lorsque ces plaisirs se répétent, peut-il être

ses collants sont filés (apparence négligée). Sur son visage, on distingue des boutons et des membres couverts de bleus (signe de maltraitances ?). Ce personnage, en plus d’être le reflet d’une société, provoque chez le spectateur un sentiment de dégoût dû à son image disgracieuse voire vulgaire. Le caddie est argenté et son contenu, constitué de consommation courante, est multicolore, il est rempli à ras-bord. Tous les produits sont conditionnés industriellement. Le caddie ne contient aucuns produits

qu'Eluard par exemple. La poésie lyrique est centrée sur l'auteur lui même qui chante son malheur ou son bonheur. Un exemple de poésie lyrique est crapaud de Tristan Corbière ou le poète exprime pleinement son malheur en amour et explique qu'il dégoute les femme par son apparence qu'il compare a celle d'un crapaud, on voit clairement dans ce poème le vocabulaire de la poésie lyrique avec "chant"; "soldat fidèle" ou encore "Rossignol" Le poète est souvent un être malheureux, mais l'amour n'est