Déisme

Voltaire voudrait que les hommes aboutissent à : " la paix " Ligne 23, " ne nous haïssons pas, ne nous déchirons pas " Ligne 22, " que nous nous aidions mutuellement " Ligne 6, " qu’ils ne détestent pas " Ligne 13, " qu’ils supportent " Ligne 12 Le déisme de Voltaire c’est : la reconnaissance d’une divinité, le fait qu’il faut dépasser des pratiques rituels, le rejet de toutes les formes de violence aussi bien sur le plan religieux que social.

sévit au XVI ème siècle, car la plupart des nobles s’adonnent à ces pratiques. Quelqu’un de libertin est défini comme (Manon) : recherche du bonheuyr individuel, rejet de la Religion, sa propre façon de définir le bien et le mal => péché originel (deïsme), le refut des classes sociales qui conditionnent la vie. Ce siècle est un renouveau social qui offre de nombreuses libertés à la Noblesse et à la bourgeoisie. Cependant elles puisent dans les richesses du royaume, l’endette, ce qui aura pour cause

d'assassinat, avant l'attentat de Ravaillac , rue de la Ferronnerie). Conclusion • Voltaire prône une religio duplex, une religion double : la foi, qui doit demeurer personnelle, individuelle, intime, doit se doter de la capacité de se relativiser (le déisme de Voltaire consiste en une croyance dans l'Etre Suprême, le Grand Horloger Universel, éloignée des huées fanatiques et de toute forme d'infaillibilité) • Cet apologue lance, implicitement, un appel à la tolérance confessionnelle ou civile, et revendique

l'idée de tolérance. Il y a aussi la reflexion politique; la désacralisation de la monarchie,  du droit divin: On remet en cause l'origine divine de la  puissance du roi, ce qui était inconcevable avant le 18° siècle. On peut aussi y retrouver le Déisme*. Ces critiques de l'ordre social et de la hiérarchie religieuse  sont à l'origine de la Révolution  française. Les partisans des lumières, c'est à dire les philosophes, sont les acteurs de nombreux combats, de grandes causes. Ils ne se contentent

Cette figure de style était très utilisée dans la poésie du Moyen Age. césure : coupe principale de l'alexandrin connivence : complicité par complaisance ou tolérance, accord tacite conte : récit d’aventures imaginaires, histoire peu vraisemblable déisme : opinion, croyance de ceux qui admettent l’existence d’un être suprême mais qui refusent de lui appliquer toute détermination précise et rejettent la révélation, les dogmes et les pratiques religieuses démiurge : quelqu’un qui se prend pour Dieu

propre destin. La critique porte sur la structure de la société, non sur la foi. 4. Les hommes des Lumières observent et décrivent toutes les croyances. 5. Le grand courant des Lumières se réclame, non de l’athéisme, mais de la religion naturelle, du déisme, ou d’une de leurs nombreuses variantes. 6. Non seulement les peuples ne prient pas les mêmes dieux, mais certains vivent libres et heureux sans lois ni Église : seule une morale naturelle organise leurs sociétés. 7. Bougainville est un explorateur

en1745 paraît sa traduction, largement augmentée de ses réflexions personnelles, de An inquiry concerning virtue or merit de Shaftesbury, sous le titre Essai sur le mérite et la vertu15, premier manifeste du glissement de Diderot de la foi chrétienne vers le déisme. En 1746, le couple se trouve rue Traversière puis, en avril, rue Mouffetard, (avril 1746)16 C'est l'époque de la publication de sa première œuvre originale, les Pensées en 1746. De 1746 à 1748, il collabore avec Marc-Antoine Eidous et François-Vincent

besoin de la hiérarchie ecclésiastique pour s’avancer vers lui. Ainsi l’apologétique chrétienne cherchera-t-elle durant ces siècles à rattacher déisme et athéisme. Comme l’écrit Albert Antoine en 1927, " constatant l’esprit de l’Angleterre à cette époque, la franc-maçonnerie arrivait à son heure. Comprend-on qu’elle constitua une sorte de cellule vivante du déisme philosophique ? Comprend-on pourquoi dès sa résurrection à Londres, en 1717, elle fut véritablement d’avant garde en exigeant de ses fidèles

janséniste et jésuite dominant la pensée religieuse du XVIIème siècle et l‘EDIT DE LA FONTAINBLEAU en 1685 réveillèrent de nouveau les hostilités. C’est pourquoi pour éviter ces conflits inter-religieux les philosophes des lumières proposeront le déisme et le pluralisme des opinions au détriment de la chrétieneté. 

moins maître de son esprit qu’il l’est lui-même de celui des autres " Lignes 31 et 32. C’est le pouvoir de la religion sur les esprits à cette époque qui est critiqué.Les rites religieux sont visés. C’est pour Montesquieu l’occasion de manifester son déisme. Conclusion : Cette lettre 24 est representative des lettres persanes car on y retrouve les 3 elements de la demarche de montesquie a savoir l'etonnement qui fait percevoir les choses autrement et le regard naif du destinateur qui autorise la critique