D'elles

n’en a jamais rien su. Hélas ! j’aurai passé près d’elle inaperçu,
 Toujours à ses côtés, et pourtant solitaire,
Et j’aurai jusqu’au bout fait mon temps sur la terre, 
N’osant rien demander et n’ayant rien reçu. Pour elle, quoique Dieu l’ait faite douce et tendre,
 Elle ira son chemin, distraite, et sans entendre
 Ce murmure d’amour élevé sur ses pas; A l’austère devoir, pieusement fidèle,
 Elle dira, lisant ces vers tout remplis d’elle :
" Quelle est donc cette femme ?" et ne comprendra

voudrasNous dormirons ensemble Ballade en rêve-VerlaineJ'ai rêvé d'elle, et nous nous pardonnions Non pas nos torts, il n'en est en amour, Mais l'absolu de nos opinions Et que la vie ait pour nous pris ce tour. Simple elle était comme au temps de ma cour, En robe grise et verte et voilà tout, (J'aimai toujours les femmes dans ce goût), Et son langage était sincère et coi. Mais quel émoi de me dire au débout :J'ai rêvé d'elle et pas elle de moi.Elle ni moi nous ne nous résignions À plus souffrir

apparition. Elle était assise au milieu du banc, seule, perdue dans ses pensées. Elle aimait s’assoir à cet endroit, elle le trouvait reposant, avec ce bruit continu de l’eau. Ou du moins, Frédéric ne distingua personne, se persuadant ainsi à se rapprocher d’elle. Au moment où il passait devant elle, intriguée par l’ombre que projetait celui-ci sur sa broderie, elle leva la tête, ce qui provoqua chez Frédéric une gène si soudaine qu’il en fléchit involontairement les épaules, ce qu’il se reprocha intérieurement

rayon des confections. Ce n’était pas comme elle se l’était imaginé, les autres vendeuses se moquent d’elle, mais Denise tient le coup et fait semblant de ne pas entendre ces méchancetés. Elle pense également être amoureuse d’Hutin qui ne manque pas à se moquer d’elle aussi. Après plusieurs mois au Bonheur des Dames, Denise est renvoyée par Bourdoncle. Mouret qui commençait à se rapprocher d’elle, n’était pas au courant et était furieux de la décision de Bourdoncle, son coéquipier. Ça fait 1 an maintenant

consciente d’elle-même, le second détaille un sens inné du « Je », et le dernier présente un sens inné, qui devient avec l’âge une conscience du « Je ». Un certain nombre d’enjeux sont visibles dans cet extrait, on peut se demander en quoi l’Homme se différencie-t-il des autres choses ? La notion du « Je » est-elle innée chez l’Homme ? Qu’implique la prise de conscience du « Je » chez le jeune enfant ? On peut traiter en première partie l’Homme, une créature supérieure et consciente d’elle-même.

qu’elle ne souhaitait pas avoir trop de  médicaments à prendre. Mme C m’a dit explicitement qu’elle avait besoin de se confier et d’être entouré pour calmer ses angoisses. Sur ce fait je décide de rester auprès d’elle lors de mon temps libre. J’adopte une attitude empathique vis-à-vis d’elle. Je lui pose alors des questions ouvertes afin qu’elle puisse verbaliser toutes ses émotions ainsi que ses ressentis. Je lui explique l’évolution de post-opératoire, lui donne tous les conseils nécessaires à sa

chaise, les jambes croisées avec sa boîte à chaussure sur les genoux, dans une pièce éclairée par une unique lumière vacillante et sans fenêtre. Elle regarde autour d’elle. La pièce est encombrée par des outils de médecins en tout genre sur des petits meubles et des étagères. On entend les pulsations provenant de la boîte. En face d’elle, on peut voir une chaise vide et un escabeau. Le docteur Nash entre dans la pièce, il porte une blouse blanche et avance avec une canne et un bandage entourant son

Il finit par se lasser d’elle car son amour exige beaucoup trop de sacrifices pour un jeune homme tel que lui. Promis à une brillante carrière, il ne peut supporter de devoir se couper de la France et de sa famille, de ses amis et d’être contraint à l’inaction dans un coin

? Dit cet animal plein de rage : Tu seras châtié de ta témérité. – Sire, répond l’Agneau, que votre Majesté Ne se mette pas en colère ; Mais plutôt qu’elle considère Que je me vas2 désaltérant Dans le courant, Plus de vingt pas au-dessous d’Elle, Et que par conséquent, en aucune façon, Je ne puis troubler sa boisson. – Tu la troubles, reprit cette bête cruelle, Et je sais que de moi tu médis l’an passé. – Comment l’aurais-je fait si je n’étais pas né ? Reprit l’Agneau, je tette encor

36-37-38 « C'est la nuit suivante que je tombai amoureux d'elle. Je ne dormis pas profondément. J'avais d'être près d'elle, je rêvais d'elle, je croyais la sentir contre moi, puis je m'apercevais que je tenais l'oreiller ou la couette. Nos baisers m'avaient laissé la bouche endolorie. J'avais sans cesse des érections, mais je ne voulais pas me masturber. Je ne me masturberais plus jamais. Je voulais être avec elle. Suis-je tomber amoureux d'elle pour la payer d'avoir couché avec moi ? Aujourd'hui encore