D'elles

L'entraide, la rigolade, c'était finit, bel et bien finit. Les SMS, disparu. Les seuls qu'elle m'ait envoyé étaient pour me demander si je pourrai, le lendemain, me mettre à côté d'elle pour qu'elle triche. Du statut d'ami, j'étais devenu le bouche-trou... Il ne reste maintenant plus qu'une semaine à profiter d'elle, je ne la reverrai ensuite plus jamais. Finalement, tout était presque redevenu comme avant... J'étais heureux, je voulais profiter... J'ai l'impression qu'elle me provoque..

peur facilement rigoler sans penser qu’eux-mêmes vieilliront. Et, pour les adultes, leurs parents sont des personnes âgées et ils ne les comprennent pas forcément et pour un grand nombre ne veulent pas se donner la peine de s’occuper d’elles, de prendre soins d’elles et donc les placent en structure adaptées. Selon les points de vue, les personnes âgées se sentent inutiles et pour une grande partie d’entre-elles s’isolent en restant seules à leur domicile. Beaucoup de personnes âgées ne veulent

Phèdre, ayant perdu tout espoir, vivait ses dernières heures. Sans obstacles, elle avoue à Hippolyte son amour, en présence de sa confidente, Oenone. Au cours de cet aveu, un trouble de personnalité s'empare d'elle et elle se présente tour à tour comme victime de sa passion et comme bourreau d'elle-même. En effet, Phèdre n'est pas responsable de la passion douloureuse qui la ronge : sa mère Pasiphaé ayant donné naissance au Minotaure par son union à un taureau, Vénus veut se venger, et " utilise "

avoué, peu de temps avant Voilà (il soulève les clefs) Celles ci, je lui ai arrachées!   Marietta (furibonde) Bien, maintenant que tu le sais Qu'est ce qui te donne un droit sur moi? Je fais ce qu'il me plaît.   Paul (tourne en rond autour d'elle d'un air menaçant) Garde tes réflexions!   Marietta (haussant les épaules en ricanant) Tu es grotesque   Paul(éperdu) Avec ta médiocrité tu m'a avhili Duppé-trahi mon rêve   Marietta (sèche) Alors va, je ne te retiens pas.   Paul (ne

s’occupe de la narration durant tout le récit. * Le narrateur est-il absent de l’histoire racontée (hétérodiégétique), ou présent comme personnage (homodiégétique)? Le narrateur est en même temps le principal personnage de l’histoire, c’est autour d’elle que toute l’histoire va tourner. Le narrateur est donc homodiégétique. * A quelle personne grammaticale le récit est-il écrit? Le récit est écrit à la première personne du singulier. * Le récit est-il de type autobiographique? Il n’est pas

victimes. Ici elle piège Valmont qui aimerait retrouver la relation qu‘il avait avec elle et la condition à cela est séduire la jeune Cécile de Volange afin d‘assouvir ça vengeance. Et elle séduit aussi Danceny, qui est amoureux de Cécile pour l‘éloigner d‘elle afin que Valmont puisse exaucer le vœux de vengeance de la Marquise. Anna, elle, dans le liseur de Bernhard Schlink publié en 1995 séduit Michael Berg avec l’expérience du à son âges et son coté mystérieux. Malgré leur amour, Anna va tous de même

une relation extraconjugale qui prit fin alors que son amant a voulait un enfant d’elle. Elle explique donc sa présence dans la chambre par la tristesse de devoir passer sa jeunesse avec une personne qu'elle n'aimait pas. Mais la véritable histoire d'Estelle n'a rien à voir avec celle qu'elle a pu raconter, elle a tué son bébé sous les yeux du père qui, lui, était son amant. Lui même s'est suicidé à cause d'elle et de son comportement. Mais Estelle ne voulait pas que l'on sache la véritable histoire

m’avait laissé le soin de tout ce qui exigeait écrire et lire, et pourquoi elle avait été hors d’elle, le matin à l’hôtel, lorsque, trouvant mon mot, elle avait soupçonné que je m’attendrais à ce qu’elle en connaisse la teneur et avait redouté la honte d’être démasquée. » Ce passage nous montre que Michaël ne connaissait pas Hanna aussi bien qu’il le pensait. Il se sent trahis par elle, il est dégouté d’elle mais en même temps, elle le trouble, p. 179 « Aller voir Hanna, je n’en trouvai pas la force

La substitution est claire lorsqu’au vers 640, la reine parle directement de l’image d’H : « tel que je vous vois ». Il y a dans le vers suivant une accumulation de trois possessifs qui marque la fascination de Phèdre pour celui qu’elle a en face d’elle. Le pronom démonstratif « cette » dans la phrase « cette noble pudeur » est également l’équivalent de la 2e personne. Enfin, on remarque que l’aveu se fait en 2 temps : l’amour est évoqué sans complément (« j’aime », comme dans un cri arraché) puis

pour faire un aparté, et dirait à voix haute ce qu’il dit dans sa tête ; ce qu’il pense. Puis reviendrait en arrière, se serrer contre Louise, étant donné que le sentier est étroit. Pause. Quatrième partie : Lui l’a regarderait, car il a envie d’elle, mais pour le moment il ne peut que marcher à ses côtés. Tout serrés l’un contre l’autre, elle ne dirait rien ni le regarderait. Son regard serait attiré par la nature. Pause. Cinquième partie : Les éclairages de la scène se feraient plus sombres