Commentaire de texte sur la première partie de l'anthropologie au point de vue pragmatique

1218 mots 5 pages
Contrairement à toutes les autres créatures vivants sur la Terre, les Hommes sont dotés d’une unité de conscience, et d’une dignité. Ceci qui permet de les élever à un rang supérieur. C’est ce qui est en partie développé dans la première partie de l’Anthropologie au point de vue pragmatique, un texte d’Emmanuel Kant, un philosophe allemand du XVIIIème siècle. On peut se poser comme question : Quand, pourquoi et comment la notion du « Je » s’impose-t-elle chez l’Homme. On peut émettre comme thèse que les hommes sont supérieurs face à toutes les autres créatures grâce à leur dignité et leur conscience. Cependant, Même s’ils acquièrent la notion du « Je » dès la naissance, ils n’en prennent conscience que plus tard dans leur vie. On peut observer dans ce texte de Kant trois paragraphes qui forment chacun une partie. Le premier montre que l’homme est une créature supérieure et consciente d’elle-même, le second détaille un sens inné du « Je », et le dernier présente un sens inné, qui devient avec l’âge une conscience du « Je ». Un certain nombre d’enjeux sont visibles dans cet extrait, on peut se demander en quoi l’Homme se différencie-t-il des autres choses ? La notion du « Je » est-elle innée chez l’Homme ? Qu’implique la prise de conscience du « Je » chez le jeune enfant ?

On peut traiter en première partie l’Homme, une créature supérieure et consciente d’elle-même. On peut tout d’abord montrer que l’homme est une créature supérieure. Selon l’auteur, posséder le « Je », c’est une forme de pouvoir. En effet, le « Je » dans le texte pourrait être associé à un nom propre qui désigne la conscience propre de soi-même. C’est ce même nom qui élève infiniment c’est-à-dire impensablement tous les Hommes au-dessus « d’autres créatures », un nom commun qui désigne assez péjorativement les animaux qui vivent sur Terre. Cette désignation pourrait faire penser à des bêtes dont on ne distingue pas correctement les formes, que l’on ne connaît

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