D'elles

violent, sans amour, sans liberté et sans joie. La première qui se mariera avec cet homme est Mariam. Autrefois, elle vivait avec sa mère dans une kolba que son père avait construit lorsqu’il avait mise à la porte sa mère lorsqu’elle tomba enceinte d’elle. Sa mère continuait sans cesse de lui répéter que son père, qui était un homme riche et très connu, était en fait un homme cruel. Mariam ne voulant pas croire ceci, voulait à tout prix aller vivre chez son père parmi ses sœurs et ses frères. Un jour

amante commence à l’ennuyer donc Emma arrive à point nommé. Quand il rencontre Emma, Rodolphe imagine très vite une stratégie pour gagner son cœur. Il est assez rusé car lors de ses conversations avec Emma, Rodolphe modifie ses réponses en fonction d'elle. Il ne dit jamais ce qu'il pense, mais ce que Emma veut entendre. De plus, Rodolphe n'a vraiment aucuns scrupules. Par exemple, après la première rencontre avec Emma (2ème partie, chap. 7 / Rodolphe vient d'acquérir de château de la Huchette rend

filles, car leur mariage dépend d’elle. Chrysale, le père, est un brave homme, incapable d’imposer sa volonté. Clitandre fera de son mieux pour plaire bien qu’il n’aime pas les femmes qui font étalage de leur savoir; il déteste tous les pédants et surtout, ce Monsieur Trissotin que Philaminte porte aux nues. Lorsque Bélise, tante d’Henriette, arrive, Clitandre essaie de faire d’elle son alliée, mais la vieille folle, qui se prend pour un vamp, s’imagine que c’est d’elle que le jeune homme est amoureux

Choderlos de Laclos Lettre numéro 81La marquise explique a Valmont son parcours et son éducation qui font d’elle une libertinePassage autobiographique ou elle explique sa supériorité par rapport aux autres femmes + ValmontAnnonce de plan  :

pour rester fidèle à son époux : rencontre au bal du duc de Nemours, coup de foudre qu’elle ne veut pas s’avouer d’abords. Dans notre passage, le narrateur raconte un fait qui va constituer une étape décisive dans la connaissance que la Princesse a d’elle-même et du Duc : celui-ci subtilise, en présence de nombreuses personnes de la Cour, un portrait de la jeune femme. Ce geste risqué, imprudent, va leur révéler l’un à l’autre la réciprocité de leur amour et plonger la princesse dans un trouble profond

auprès de fille âgées de 15 à 21ans, j’ai vraiment recherché se dont elles avaient besoins au moment ou j’étais présente. Malgré mon appréhension d’avoir un groupe d’adolescentes, j’ai pu mettre en place un projet favorisant l’image qu’elles avaient d’elles même. Grace à de nombreux contacts, je leur ais permit de se faire sentir spéciale durant une après midi. 1. Un contexte, une structure, un public. 1.1. Présentation du contexte La Maison d’enfants à caractère sociale plus couramment appelé

correspondance. Elle joue avec les sentiments de chacun, s'amuse à déshonorer ses amants, méprise les autres femmes. Prenons l'exemple de la jeune Cécile de Volanges qui est promise au comte de Gercourt,(un ancien amant de Merteuil qui s'est détourné d'elle. ) Merteuil, met en place un stratagème pour atteindre le comte : déshonorer sa fiancée en secret, pour lui livrer une jeune femme qui n'est plus vierge.Par la marquise de Merteuil, Cécile fait la connaissance du jeune Danceny qui lui donne des

pathétique de la classe ouvrière par de nombreux procédés. Il installe d’abord un univers sordide appuyé par la personnification de la famine qui devient un personnage symbolique: «  Gervaise souffrait encore des faims qu’elle entendait râler autour d’elle » (l.1-2), « La faim ne le faisait même plus sortir » (l. 11-12). Le champ lexical de la faim est très présent dans le texte : «  faim » (l.1), « ne pas avoir du pain tout les jours » (l. 3), « odeurs de cuisine » (l.4), « ventre vide » (l.5), « mioches

que le lecteur s’identifie à Swan et partage son angoisse. Le lecteur ne sait d’elle rien de plus que Swan et n’a par conséquent qu’une vision partielle de ce personnage. D’autant plus que Swan la présente avec un regard déformant et purement subjectif, celui de l’amant transit qui nous fait parvenir des fragments de ce portrait par retouches successives, revenant ainsi régulièrement sur l’image qu’il se fait d’elle. Ainsi on ne sait jamais ce que pense Odette réellement, si ce n’est grâce

m’aider à comprendre cette situation qui me touche autant. La rencontre La première rencontre avec Estelle s’est faite peu de temps après mon arrivée au service. Catherine me propose d’apprendre à connaitre Estelle, de l’accompagner et de m’occuper d’elle à chaque rendez-vous au service. J’accepte volontiers cette proposition et pose quelques questions a propos de la maladie de la jeune fille. Catherine m’expose sa situation. Elle me décrit son handicap qui la rend complètement dépendante de l’adulte