Delphine Seyrig

principe de l’oxymore. Et c’est bien cette double conjonction, mythique et esthétique, qui permet de rendre compte du roman et d’en comprendre, dans le même temps, les prolongements. Comme cette incroyable scène d’India Song, par exemple, où, Delphine Seyrig, incarnant une Anne-Marie Stretter plongée dans la contemplation du delta, s’immobilise sous une aveuglante lumière blanche : Voix 4. – Elle dit quelque chose sur Venise. (Effort de mémoire) Sur Venise, l’hiver, oui... c’est ça Voix 3. –

(1936 - sortie en 1946) Film français de Jean Renoir – 40’ avec Sylvia Bataille, Georges d’Arnoux, Jane Marken, André Gabriello, … PEAU D’ÂNE (1970) Film français de Jacques Demy – 100’ avec Catherine Deneuve, Jean Marais, Jacques Perrin, Delphine Seyrig… LE PÉLICAN (1973) Film français de Gérard Blain - 90’ avec Gérard Blain, Dominique Ravix, Régis Blain… LA RONDE DE L’AUBE (1957) Film américain de Douglas Sirk– 87’ avec Rock Hudson, Robert Stack et Dorothy Malone SOLO (1969) Film français

droit d’accéder librement à la contraception, ainsi que celui d’avorter en toute légalité. Parmi ces signatures figurent celles de personnalités très en vogue, telles que Simone de Beauvoir, Catherine Deneuve, Jeanne Moreau, Françoise Sagan, Delphine Seyrig… Le scandale est retentissant. La loi Veil autorisera l’avortement en 1975. 1972 : 11 octobre Le procès de Bobigny s’achève Jugée pour avortement, Marie-Claire Chevalier est relaxée, au terme de plusieurs semaines de procès ayant comme avocate

Demoiselles de Rochefort ; Les Demoiselles ont eu 25 ans / réalisé par et scénario de Demy ; réalisé par Varda ; Deneuve et Dorléac et Darrieux , acteur ; Legrand , compositeur. - Ciné-Tamaris, 1996. Résumés : Delphine et Solange sont des jumelles de 25 ans, ravissantes et spiruelles. Delphine la blonde donne des leçons de danse et Solange, la rousse des cours de solfèges. Elles rêvent de rencontrer le grand amour. Cote: DVD DEM. Le Destin / réalisé par et scénario de Chahine ; El Chérif et Eloui et

littéraires. Balzac : le roman de sa vie, par Stefan Zweig, éditions Albin Michel Le Lys dans la vallée a été adapté pour le cinéma avec un téléfilm français de Marcel Cravenne, diffusé en 1970. Distribution : Richard Leduc : Félix de Vandenesse Delphine Seyrig : Madame de Mortsauf Georges Marchal : Monsieur de Mortsauf Alexandra Stewart : Arabelle Lady Dudley André Luguet : M. de Chesse Jean Bolo : le prêtre Retour à la page d'accueil Index de littérature

manifeste 'je me suis fait avorter'“. Une initiative qui revient au journal mais qui n'aurait été possible sans l'implication d'Anne Zelenski, Christine Delphy, Anna de Baster, Mafra, Maryse, le groupe 'Avortement' qui avec Christiane Rochefort, Delphine Seyrig et Simone de Beauvoir ont été les chevilles ouvrières de l'opération. Une information reprise par tous les quotidiens (du Monde à Charlie Hebdo -'Qui a engrossé les 343 salopes?') Avortement devient alors sujet d'actualité, bien que le problème

politiquement des gauchistes tout en gardant son indépendance, sur Israël notamment. Mais lorsque La Cause du peuple, le journal du groupe maoïste la Gauche prolétarienne, est interdit et saisi, elle est avec Jean-Paul Sartre, Jean-Luc Godard, Delphine Seyrig, Marie-France Pisier, qui s’en vont le distribuer dans les rues de Paris au nez et à la barbe de la police. Poursuivant sa lutte pour la liberté de la presse, elle prend la direction d’un autre journal poursuivi par la justice, L’Idiot international

adaptation : Jean Giraudoux, avec Edwige Feuillère, France, 1942. – La Fille aux yeux d’or, réalisation : Gabriel Albicocco, avec Marie Laforêt, France, 1961. – Le Lys dans la vallée, réalisation : Marcel Cravenne, adaptation : Armand Lanoux, avec Delphine Seyrig, Georges Marchal, France (TV), 1970. – Le Père Goriot, réalisation : Guy Jarré, adaptation : Jean-Louis Bory, avec Charles Vanel, Bruno Garcin, France (TV), 1972. – Splendeurs et misères des courtisanes, réalisation : Maurice Cazeneuve, avec Bruno

le corps va jusqu’à disparaître complètement, hormis la bouche, à trois mètres du sol, à laquelle se réduit le personnage, nommé précisément Bouche. Dans ces trois pièces comme dans Fin de Partie, cet état va de pair avec la narration. Delphine Seyrig dans Comédie de Beckett. ©Chris Marker Madeleine Renaud (Winnie) dans Oh les beaux jours ! de Samuel Beckett. Mise en scène de Roger Blin. 1981, Théâtre du Rond Point. Nell (I.Sadoyan), Nagg (M.Robin) et Hamm (S.Merlin). Fin de partie,

l’on retrouve le chapeau pointu, qui évoque un passé lointain et mythique par le biais d’une coiffure empruntée au Moyen Âge, la couleur rose qui rappelle les tons pastel traditionnellement associés aux fées (par exemple, le mauve pâle porté par Delphine Seyrig, la fée du film de Jacques Demy), ou le tulle qui donne un aspect vaporeux au costume, ce que l’on voit également dans la tenue de la fée des lilas. Mais le choix d’un homme pour incarner la fée, le maquillage excessif, les chaussettes à rayures