Demande Effective

pas d’aboutir à de véritables conclusions. De plus, Boyer formule le fait que pour Keynes, les entrepreneurs font des anticipations approximatives de la demande afin de régler leur production. La demande effective permet aux entreprises d’employer un certain nombre de travailleurs. S’il subsiste du chômage, on voit qu’un accroissement de la demande globale permet un niveau de l’emploi supérieur au nombre de travailleurs et donc une résorption du chômage. Classiques et keynésiens émettent des hypothèses

Keynes raisonnait sur le court terme et au niveau macro-économique. Ainsi il inventera la notion de circuit économique (devenant alors lui-même un courant à la fin des années 70) puis celle de demande effective (celle-ci devant être alors soutenue par l'intervention de l'Etat), mettant ainsi la demande au cœur de l'économie et du marché, agissant selon lui sur l'investissement, la production et le niveau de l'emploi (et donc facteur explicatif du chômage). A noter que ses idées affectèrent la crise

ces derniers se basent sur les mêmes hypothèses. D'autre part, il existe le modèle keynésien qui représente une véritable révolution. Ce modèle est de court terme, le niveau de l'emploi est déterminé par le niveau de l'activité c'est-à-dire la demande effective, l'ajustement se fait par les quantités... Ces deux modèles ont toujours coexisté, mais la dernière politique Keynésienne véritable date de 1981. Elle avait été entreprise par Mitterrand qui voulait relancer l'activité en augmentant les salaires

néoclassique. Avec la théorie générale kéynes a développé l’hypothèse que la demande est le principal facteur déterminant le niveau de la production et par conséquent celui de l’emploi: La demande effective La demande effective est la demande anticipée par les entrepreneurs. ceux de l'équilibre de sous-emploi où le chômage est possible pour un niveau donné de la demande effective ; l'absence d'ajustement par les prix entre les demandes et les offres d'emploi, afin de résorber le chômage. une théorie

économistes classiques, l’épargne à un effet positif sur l’économie car l’augmentation de l’offre de capital est favorable à l’investissement. Cependant pour Keynes, l’épargne peut avoir des effets néfastes sur la croissance car elle vient diminuer la demande effective qui détermine le niveau de production des entreprises. On peut alors s’interroger sur les points de divergences de ces économistes. Pourquoi certains voient l’épargne comme un effet négatif pour la croissance alors que d’autre pense complètement

néoclassiques), mais davantage, afin de compenser leur baisse de revenu horaire. Dans ces conditions, le remède au chômage qu'est la baisse des salaires entraînera un accroissement de l'offre de travail... donc du chômage. Mais c'est surtout sur la demande de travail de la part des entreprises que Keynes va concentrer sa critique, en pointant du doigt le problème du niveau global de la production (problème que les néoclassiques considèrent comme réglé par définition). La critique de Keynes part d'une

révolution keynesienne A. La remise en cause de la loi des débouchés 1, la loi des débouchés de Jean-Baptiste Say 2, la flexibilité des prix B, Une logique de la Demande contre une logique de l'Offre 1, L'équilibre classique du marché des biens et services 2, La Demande Effective et la non-réalisation du plein emploi II. Les composantes de la demande globale A. Les fonctions keynésiennes de consommation et d’épargne 1. La théorie classique de la consommation 2. La décision d'allocation du revenu chez

peut réaliser une expansion internationale rentable. Avant de s'embarquer dans une approche internationale, les sociétés de services doivent, à l'instar des fabricants, répondre affirmativement à deux questions. En premier lieu, existe-t-il une demande régulière et suffisante à l'étranger (avec un pouvoir d'achat à l'appui) pour le service que j'offre ? La cuisine française, la tauromachie espagnole et le football américain, par exemple, risquent de ne pas réussir le test. En second lieu, le service

qu'avec la valeur d'un autre ». Chez Say, la valeur correspond à la quantité d’une chose qu’on peut obtenir en l’échange de la chose qu’in veut céder. La loi des débouchés est souvent résumée à l'affirmation suivante : « l'offre créée sa propre demande ». II) Quelles conséquences Say tire-t-il de cette loi? Tout d'abord, une première conséquence pou Say est que « plus les producteurs sont variés et les productions multipliées, et plus les débouchés sont faciles, variés et vastes ». Pour

leur cmpt au W réel mais au W nominal. • Demande effective -> Niv de l’N -> Niv des W réels (ne résulte donc pas du marché du L). Si le niv de l’N est trop faible, il existe un U involontaire (lié à une demande effective insuffisante) car certains ind accepteraient de travailler pour un W égal ou + faible. Il faut alors hausser la demande effective -> Hausse du niv de l’N -> Baisse de la productivité -> Baisse des W. L’offre ne crée pas la demande contrairement à ce que disent les classiques