Deo Auctore

splendidam urbis compositionem prospectans, ab ignoto auctore, quanquam quidam aiunt juvene, jactatus, plaga qua percussus occubuit, letifere sauciatur. Hoc exstincto bellorum ductore, obsidentium tum industria et corporis vigor exstiticti marcescunt. Ad ultimum 348 TÉMOIGNAGES DES CHRONIQUEURS strenua Puella viriles animum ac habitum, ut belli expeditio sibi divinitus commissa necessario urgebat, induta ; re militari non ab homine, cæterum a Deo imbuta, ad tuam efferatam proterviam confundendam

aliquid ad uenerationem conferet, quoniam quidem in uicino uersatur inuidia, simplicius longe posita miramur. 5 Sapientis ergo multum patet uita ; non idem illum qui ceteros terminus cludit ; solus generis humani legibus soluitur ; omnia illi saecula ut deo seruiunt. Transiit tempus aliquod ? hoc recordatione comprendit ; instat ? hoc utitur ; uenturum est ? hoc praecipit. Longam illi uitam facit omnium temporum in unum collatio. XVI. 1 Illorum breuissima ac sollicitissima aetas est qui praeteritorum

uenerationem conferet, quoniam quidem in uicino uersatur inuidia, simplicius longe posita miramur. 5 Sapientis ergo multum patet uita ; non idem illum qui ceteros terminus cludit ; solus generis humani legibus soluitur ; omnia illi saecula ut deo seruiunt. Transiit tempus aliquod ? hoc recordatione comprendit ; instat ? hoc utitur ; uenturum est ? hoc praecipit. Longam illi uitam facit omnium temporum in unum collatio. XVI. 1 Illorum breuissima ac sollicitissima aetas est qui praeteritorum

conferet, quoniam quidem in uicino uersatur inuidia, simplicius longe posita miramur. 5 Sapientis ergo multum patet uita ; non idem illum qui ceteros terminus cludit ; solus generis humani legibus soluitur ; omnia illi saecula ut deo seruiunt. Transiit tempus aliquod ? hoc recordatione comprendit ; instat ? hoc utitur ; uenturum est ? hoc praecipit. Longam illi uitam facit omnium temporum in unum collatio. XVI. 1 Illorum breuissima ac sollicitissima

l'ensemble des opinions des jurisconsultes. C'est l'objet d'un 2nd mouvement qui abouti aux Digesta ou Pandectes. Les Digesta ou Pandectes En 530, alors que le premier code vient d'être promulgué, Justinien ordonne par une 2nd C impériale « Deo auctore » de décembre 530, la codification des opinions émises par les jurisconsultes, c'est une codification de la jurisprudence romaine et c'est sans doute l'aspect le plus ambitieux de la codification par Justinien. Dans cette C, Justinien ordonne non

juristes. Le digeste est une entreprise de conservation du « ius », l'objet du digeste n'est pas la « lex », la loi, mais la « jurisprudencia » au sens de science du droit. Cette mission de conservation du « ius » est définie par la Constitution Deo Auctore (530) = « dieu étant l'auteur », qui fixe le cadre de la rédaction du digeste. Il s'agit de procéder à « la collecte du droit sur plus de 1400 ans ». Ce travail exige la constitution de plus de 2000 ouvrages avec plus de 3 millions de lignes

traite à la fois de droit public, de droit privé, de droit pénal et de droit ecclésiastique. 2. Le digeste. Il est consacré non plus aux constitutions, mais aux doctrines, à la jurisprudence. En décembre 530, Justinien dans la constitution Deo auctore, il regroupe les grands avis de la jurisprudence classique. Pendant 3 ans, une nouvelle commission de Tribonien va opérer un condensé de 150 000 lignes qui correspond aux avis des 38 plus grands jurisconsultes romains. Les fragment des œuvres retenues

divisés en titres. Le code de Justinien traite à la fois de droit public, de droit privé, de droit pénal et de droit ecclésiastique. le digeste : Consacré à l’ius, c'est à dire à la doctrine. En décembre 530, Justinien par la constitution Deo Auctore, ordonne la compilation de la jurisprudence (de l’ius). Divisé en 50 livres. Publié en 533. En 3 ans, la nouvelle commission qui est réuni par Tribonien, a retenu sur 3 millions de lignes, contenues dans près de 2000 volumes, qu’un condensé de

promulgué en 530 et 532, une série de constitutions appelées les 50 décisions, dont l’objet était de trancher les principales controverses qui opposaient les auteurs de l’époque classique. Le 15 Décembre 530, Justinien, par la constitution dite « deo auctore », charge Tribonien de présider la commission chargée de préparer le Digest, composée de professeurs de droit (Dorothée), mais aussi de hauts fonctionnaires et d’avocats. On leur demande de réunir le plus grand nombre de juristes ayant obtenu le

réparateur de notre misère. Ainsi nous ne pouvons bien connaître Dieu qu'en connaissant nos iniquités. Aussi ceux qui ont connu Dieu sans connaître leur misère ne l'ont pas glorifié, mais s'en sont glorifiés. Quia non cognovit per sapientiam, placuit deo per stultitiam predicationis salvos facere 29. 190-543 Préface. Les preuves de Dieu métaphysiques sont si éloignées du raisonnement des hommes et si impliquées, qu'elles frappent peu et quand cela servirait à quelques-unes, cela ne servirait que pendant