Déontologie Du Mjpm

[pic] Certificat National de Compétence de Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs Option MJPM. POISSON Nelly Epreuve du DF4 « Posture professionnelle à travers les contours et limites de l’intervention, les relations avec l’autorité judiciaire, la déontologie et l’analyse des pratiques » Le Dossier est complétement anonymisé . Monsieur Henri Martin est né le 3 novembre1940 à Montpellier. Ce monsieur est célibataire, fils unique, il a vécu

2 Présentation du partenariat ....................................................................................72.3 La place de la CESF dans le partenariat ................................................................82.4 L’éthique et la déontologie dans le partenariat ......................................................83- Analyse de la situation partenariale ..............................................................................93.1 Un partenariat avec une communication facilement

stage. Je travaille avec deux mandataires judiciaires qui sont des travailleurs sociaux : deux Conseillères en Economie Sociale Familiale, ayant obtenu le Certificat National de Compétences de Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs (CNC MJPM), qui exercent donc des mesures de protection judiciaire et d’accompagnement. C’est donc durant plusieurs semaines que j’ai découvert le métier de Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs. Dans un premier temps, je définirai le cadre

à visé à changer les pratiques des différents professionnels du milieu tutélaire, et à faire apparaitre non plus les délégué à la tutelle, mais les mandataires judicaires à la protection des majeurs (MJPM). C’est au coté d’une Conseillère en Economie Sociale et Familiale, occupant le poste dun MJPM à la SHMSE, Société d’Hygiène Mentale du Sud Est, que j’ai réalisé mon stage de 3émé année. La SHMSE est une association de loi 1901, elle a pour principale mission d’assurer la protection des droits

ne pas être entrepris.» A ce titre l’Art 1111-4 du CSP, dispose que lorsque la personne est hors d’état d’exprimer sa volonté, la limitation ou l’arrêt des traitements entrepris, doit être issu d’une procédure collégiale, définie par le code de déontologie médical et avec consultation de la famille de la personne ou à défaut de ses proches. Le conseil d’état dans un arrêt du 24 juin 2014, Arrêt CE, tranche la difficile question de l’arrêt de l’alimentation et de l’hydratation artificielle d’un patient

» sans admettre pour autant de droit à l’euthanasie ou à une mort digne. A titre général, il faut noter que la loi apporte peu d’innovations par rapport au droit positif, reprenant des solutions jurisprudentielles ou comprises dans le code de déontologie médicale ; la volonté réelle est plus de pacifier le débat et de sécuriser le médecin dans sa prise de décision (« influx d’autorité » ayant un effet de répétition ; recherche de l’effet pédagogique/symbolique de la loi). C’est en effet le médecin