Dépolarisation

La vitesse de propagation est variable d'une fibre à une autre. Elle dépend du calibre des fibres et de la présence de myéline. Il existe un seuil de polarisation en dessous duquel il n'y a pas de Pa. Le Pa n'existe donc que si le dépolarisation atteint une valeur seuil. Au dessus de ce seuil, l'amplitude du Pa ne varie pas avec l'augmentation de l'intensité. 2) Le message nerveux et son codage Cf TD2 Le message au niveau de la fibre nerveuse est constitué d'un ensemble de

certaines réactions immunitaires. Complexe majeur d’histocompatibilité (CMH) : ensemble de gènes très polymorphes codant les protéines du système HLA. Complexe QRS : complexe d'ondes visible sur un électrocardiogramme correspondant à la dépolarisation des ventricules. Conjonctive : muqueuse transparente recouvrant la face interne des paupières et le globe oculaire. Contage : phase de contamination d’une maladie infectieuse. Coproculture : mise en culture des fèces destinée à la mise

inhibitions latérales (voir plus loin). 2. 3. 5 Le codage nerveux des informations sensorielles. 2. 3. 5. 1. Le codage de l'intensité de stimulation : Le potentiel générateur, dont l'origine a été décrite ci-dessus, varie en amplitude. Si la dépolarisation atteint un niveau critique (loi du Tout ou Rien), il y a émission des potentiels d'action. Notons au passage que la loi du tout ou rien, explique, pour l'essentiel, la notion de seuil absolu de sensation: un stimulus trop faible ne donnera naissance

psychique (troubles de l'humeur) ou s'étendent au contraire à des signes physiques (delirium tremens, par exemple), on distingue dépendance physique et dépendance psychique qui constituent deux aspects différents de la pharmacodépendance. Dépolarisation : modification du potentiel de membrane tendant à lui donner un signe opposé à celui observé au repos (vers ou au delà de 0). Dérive génétique : évolution des fréquences alléliques dans une population de faible effectif aboutissant à une diminution

Une fois constitués les MT ont 2 extrémités : - Une extrémité + à croissance rapide - Une extrémité – à croissance lente. Le pôle – va être protégé dans un site de nucléation et tous les phénomènes dynamiques de polarisation et de dépolarisation se font au pôle +. La demi-vie d’un MT est de 10 min et celle des tubulines α et β est de 20h => recyclage constant des molécules de tubuline. La liaison GTP est indispensable à β. La liaison GTP-tubuline β est nécessaire pour la polymérisation

avec des récepteurs gustatifs. Ces interactions modifient la concentration des arômes chargés électriquement. Les aliments ingérés modifient cet état en augmentant la concentration en ions positifs dans les cellules gustatives ce qui entraine une dépolarisation. Les cellules gustatives libèrent ainsi des messagers chimiques (appelé neurotransmetteurs) vers les neurones qui entourent la base des cellules gustatives ; ces neurones captent les neurotransmetteurs, ce qui crée des signaux électriques jusqu'au

un changement de conformation s’opère, permettant une entrée massive de Na+ dans le milieu intracellulaire du neurone post-synaptique (4). Cette modification de la répartition des charges de part et d’autre de la membrane neuronale provoque une dépolarisation générant fréquemment des potentiels d’action. Les nAChRs sont une classe très hétérogène de récepteurs car ce sont des pentamères qui peuvent être homomériques ou hétéromériques, c’està-dire composés de 2 à 5 sous-unités différentes. Ainsi la

cardiaque : • Les battements cardiaques sont réguliers et rythmiques. • Ceci est rendu possible grâce au système de conduction spécialisé du cœur, doué d’automatisme. • Les cellules du tissu nodal sont dites autorythmiques, c’est-à-dire capables de dépolarisation spontanée et rythmique. • A sein de ce tissu nodal, un groupe de cellules autonomes va donner au cœur son rythme : il joue le rôle d’entraineur ou pace-maker. VIII – Physiologie cardio-vasculaire (3) b) Le tissu nodal et l’excitation cardiaque

ionique (2nd messager) - Les récepteurs-enzymes : la fixation d’un ligand déclenche une activité enzymatique - Les récepteurs canaux-ioniques ligand dépendants et voltage dépendants (extra ou intracellulaires) : la fixation d’un ligand ou 1 dépolarisation de la membrane entraîne l’ouverture des canaux ioniques - Les récepteurs des cytokines (substance de communication du système immunitaire) : membranaires : la fixation du ligand active des enzymes UE 2.1.S1 : BIOLOGIE FONDAMENTALE →

cardiaque : • Les battements cardiaques sont réguliers et rythmiques. • Ceci est rendu possible grâce au système de conduction spécialisé du cœur, doué d’automatisme. • Les cellules du tissu nodal sont dites autorythmiques, c’est-à-dire capables de dépolarisation spontanée et rythmique. • A sein de ce tissu nodal, un groupe de cellules autonomes va donner au cœur son rythme : il joue le rôle d’entraineur ou pace-maker. VIII – Physiologie cardio-vasculaire (3) 1) Le fonctionnement du cœur (suite) : b)