Dépolitisation

Montesquieu qui considérer la séparation des pouvoirs comme une garantie de la démocratie, le juge est la bouche de la loi, autrement dit son rôle n’est que d’appliquer la loi générale et abstraite aux cas particuliers qui lui sont soumis. Cette dépolitisation de la fonction judicaire c’est accompagné de la dissolution des parlements et de l’institution de ce que l’on appelé a l’époque le tribunal de cassation. Et donc ce nouveau tribunal de cassation est cantonné à un strict rôle d’application de la

Sujets futiles qui laissent peu de place pour traiter d’autres sujets, même chose pour la télé (temps limité). A la télé, sur 10 min : 5 mn sur Léticia, sur les jumelles, plus météo etc… il ne reste plus grand-chose. Les médias conduisent à la dépolitisation. Bourdieu dit qu’il y a danger pour la démocratie et (( ??incite les autres médias à faire comme elle. ??)) Bourdieu dit que la concurrence interne au lieu de produire de la différence produit la standardisation (les journalistes traitent les

revue des livres, 1, 2011 et Kako Nubukpo, « Une approche simpliste de la pauvreté », L’économie politique, 56, 2012(4), p. 104-112) -La neutralité idéologique à laquelle prétendent les auteurs est illusoire : elle procède d’une entreprise de dépolitisation des débats de politique économique. Comment ne pas prendre en compte le contexte social, politique   56   et institutionnel pour comprendre la pauvreté au sein d’un pays et ne se centrer que sur des micro-cas ? Ignorer le contexte

et est alliée aux mobilisations antinucléaires. L’alternance politique n’a pas modifié la donne. La vague va bloquer la politique publique. La plupart des choix entériné au début de la V° ont été prolongés. Dans les années 80, on assiste à la dépolitisation du débat, la question nucléaire ne fait pas l’objet de controverse politique. Vers la fin des années 50 jusqu’aux années 90, on suit une logique de dynamique face à face des pv politiques et ses mouvements. Dans les pays scandinaves, on suit

chercher des valeurs dans le camp d'en face. Dans le cas du parti travailliste, c'est voler l'engagement en faveur de la loi, de l'ordre, de la responsabilité individuelle, de l'austérité fiscale dans le camp conservateur. → Triangulation + dépolitisation du discours + référence aux classes moyennes et ouvrières + discours modernisateurs, dans le camp adverse, on crée des suspicions ( "ce gouvernement de gauche est Thatchérien, donc de droite", "parti qui ne dit pas son nom" ). En 1997, le R-U

eu des implications institutionnelles et ont accompagné les transformations économiques caractérisées par une plus grande ouverture et par la libéralisation économique. D’aucuns, comme D. Ibarra [1995a], ont pu qualifier ces transformations de «dépolitisation de l’économie» : les changements institutionnels consacrent, pour cet auteur, les droits individuels face à l’autoritarisme et au paternalisme étatiques, au corporatisme et à la politisation des activités économiques. Il s’agirait aussi de différentes

Le pt de vue défendu dans cette vision des OI qui dépasse question de coopération c'est qu'il y a la défense d'une dépolitisation des enjeux les plus essentiels. Là où il est question de pauvreté, de maladie.. plus de puissance, il y a du fondamental, de l'essentiel, il faut dépolitiser ces enjeux → en les confiant à des OI les seuls acteurs capables d'assurer cette dépolitisation, d'agir sans considération de sécurité de puissance. Pour les fonctionnalistes, Mitrany faut créer des institutions

souhaitant être abordées , chez les électeurs : santé , chômage , immigration , éducation surtout dans les années 80  Sur l’ensemble de ces thèmes , on observe une conscience politique forte , même chez les abstentionnistes. Ainsi , plutôt que d’une dépolitisation , on peut parler d’une « politisation négative » , associée au rejet du personnel politique , du système politique. (scepticisme croissant à l’égard des intérêts que la politique défend ) B . Le malaise politique des Français. * La politique

discours des mosquées. L’article 2 peut paraître de ce fait, bien solidement ancré dans la « conviction » générale (la « rue » comme on se plaît à dire, par imitation du discours étatsunien). On ne saurait sous-estimer les effets dévastateurs de la dépolitisation mise en œuvre systématiquement pendant les périodes de reflux. La pente n’est jamais facile à remonter. Mais cela n’est pas impossible. Les débats en cours en Égypte sont axés – explicitement ou implicitement – sur cette question de la prétendue

patrimonial jusqu’à ce que la désintégration du système vienne infirmer ce diagnostic102. Le projet de construction du New Order qu’affiche son successeur, le général Suharto (1967‑1998), implique une neutralisation des partis politiques, une dépolitisation des masses, et surtout une politique de « distribution patrimoniale de bénéfices divers au sein de l’élite » afin d’assurer la stabilité du régime103. Qu’il s’agisse de Soekarno ou de Suharto, les stratégies mises en œuvre instrumentalisent