Dépositaire central

renverse. Les roms représentent la plus grande minorité ethnique transnationale de l’Union européenne. La majeure partie se trouve en Europe centrale, les roms représentent 10% de la population roumaine soit 2millions de personnes. En Espagne il y a 800 000 gitans et en France il y en a 250 000. Les Roms sont des migrants, provenant essentiellement d’Europe centrale et des Balkans. Ils ont une volonté déclarée de cultiver une identité spécifique, souvent, mais pas toujours, exprimée par une langue ou

- Libéralisation de l’activité bancaire - Renforcement de la réglementation prudentielle MARCHE DES CAPITAUX - Modernisation de la gestion de la bourse - Mise en place du Conseil Déontologique des Valeurs Mobilières (CDVM) - Création du Dépositaire Central « MAROCLEAR » - Création des titres de créances négociables (TCN ) -Mise en place du marché hypothécaire - Modernisation des instruments de la politique monétaire Session B5 : Cadre réglementaire pour le mouvement des capitaux Bruxelles

de l’effondrement du système de Bretton Woods. En plus, dans cette période, les USA avait détenu les 2/3 des réserves mondiales. Le privilège américain et les événements de 1971 Puisque le dollar était devenu une monnaie internationale, la banque centrale américaine devait l’offrir pour satisfaire les besoins en liquidité internationale. Dans cette époque, les USA souffraient d’un déficit de leur balance de paiement, d’où ils devaient offrir une quantité abondante de dollars. 5 D’un côté, ce

effectué par les banques ; centrale ou commerciale refinancée totalement ou partiellement par la banque centrale. La mesure de la réalité se fait par la monnaie qui visiblement modifie la monnaie qui à son tour modifie la réalité. Je vous propose quelques reformulations exprimant ce que je comprends. La monnaie limitée par la confiance La création ex nihilo de monnaie est-elle possible ? Si le nihilo renvoie à l'absence de matière physique, alors oui, banques centrales et banques commerciales fabriquent

monnaie papier, ou plus exactement la monnaie fiduciaire (billets et pièces), est une monnaie authentique tant que la société lui fait confiance. Le banquier étant changeur , dépositaire et aussi prêteur de monnaie, la règle était, bien entendu, que ne soient prêtés que ses propres capitaux ou ceux que les dépositaires lui avaient demandés de prêter. Hélas, les banquiers sont aussi des hommes, ni meilleurs ni pires. Il arriva que certains prêtent des sommes déposées sans en informer le déposant

des systèmes exogènes I.3 - Optimisation des services II. Système Interbancaire Marocain de Télé-compensation (SIMT) II.1 - Evolution de l’activité II.2 - Caractéristiques des échanges interbancaires II.3 - Mécanismes d’autoprotection III. Dépositaire Central (Maroclear) III.1 - Admissions de titres III.2 - Evolution de la capitalisation III.3 - Dénouement et administration des titres IV. Centre Monétique Interbancaire IV.1- Evolution de l’activité IV.2 - Réalisations monétiques 3 5 6 7 10 10

opérations de banque telles que la réception de fond du public, les opérations de crédit, la gestion de moyen de paiement, etc. L’ensemble des banques de même zone monétaire forme un système bancaire piloté par une banque particulière qui est la banque centrale dont l’activité principale est de contrôler l’ensemble des banques, assurer l’émission des billets et définir la politique monétaire. Cet établissement financier doit posséder une licence pour pouvoir exercer, laquelle est délivrée par un État

L’ensemble des activités bancaires est soumis au Code du Commerce (1942) et au Code de la Monnaie et du Crédit (1963). Les banques et autres institutions financières au Liban sont soumises au contrôle et aux règlements de la Banque du Liban ou Banque Centrale qui est l’autorité monétaire du pays. La Banque du Liban contrôle l’entrée au secteur bancaire, définit le champ d’activité des banques et dresse les éthiques et les règles prudentielles qui régissent le secteur.  La Commission de Contrôle des

« opérations d'open market » ((en) Open Market Operations) consistent en l'achat et la vente "fermes" (c'est-à-dire définitives) de titres, en particulier de titres publics (bons du Trésor) par la banque centrale (et à son initiative) sur le marché interbancaire. En procédant ainsi, la banque centrale exerce un double effet : * sur la liquidité bancaire qu'elle élargit ou réduit selon le sens de ses ordres (achats ou ventes de titres) ; sur le prix de marché de ces titres et donc sur leur taux

œuvre. Pour la rédaction de ce rapport, le CSPR s’est inspiré des travaux d’un groupe de travail composé de nombreux experts des banques centrales de pays développés et en développement. Ce rapport a été publié pour consultation en mai 2005, et a fait l’objet de discussions lors de consultations régionales avec les experts des questions de paiement des banques centrales et de la communauté financière du monde entier. Il a bénéficié des nombreux commentaires reçus pendant ce processus de consultation.