Déréglementation

comparatifs ou fiscaux. -Une explosion depuis les années 1970 : Les flux sortants passent de 50 Mds $ (f. 1970’s)->200 Mds(1990)-> >1000Mds (2000) atteignant une toute autre ampleur. Une accélération due à : -mouvement de privatisation et dérèglementation: banque, assurance, télécoms, t. aériens, pétrole (≠ secteurs protégés: eau, électricité, nucléaire, défense) -CEE : attractivité du marché unifié et perspectives d’élargissement -différentiel fiscal, préoccupations stratégiques, contournement

long qui s’inscrit dans une logique de globalisation des échanges. Selon Henri Bourguinat la globalisation financière a suivi la règle des « 3D », ainsi la globalisation financière repose sur trois piliers la Déréglementation, Décloisonnement, et la Désintermédiation. La déréglementation financière, est un processus qui se caractérise par l’abandon de règles encadrant les transactions financières. Ainsi on a un abandon progressif du contrôle des changes, et des taux d’intérêt fixe pour certaines

libéralisation des investissements directs de l'étranger ;privatisation des monopoles ou participations de l'État, qu’il soit — idéologiquement — considéré comme un mauvais actionnaire ou — pragmatiquement — dans une optique de désendettement ;la déréglementation des marchés (par l'abolition des barrières à l'entrée ou à la sortie) ;la protection de la propriété privée, dont la propriété intellectuelle. La grande désillusion, Joseph Stiglitz S’il reste malgré tout partisan de la mondialisation au nom

des entreprises ne trouvant pas de fonds sur leur territoire national de se financer à l’international. Sous cet angle, le lien finance-croissance est avéré. Toutefois, les systèmes financiers sont soumis aujourd’hui à des enjeux de taille : déréglementation, désintermédiation, décloisonnement. La crise financière mondiale apparue en 2007 rappelle avec force les risques liés à des systèmes financiers de plus en plus imbriqués et mal contrôlés (problèmes de discipline de marché, d’absence de régulation/

enseignant-chercheur au COBEA/CEI, UIT Orsay, Université de Paris XI. Ses recherches actuelles portent sur les enjeux juridiques de la Société de l’information et sur les dynamiques du changement en Afrique sub-saharienne. Il est notamment l’auteur de La Déréglementation du marché africain des télécommunications, in Société numérique et développement en Afrique, usages et politiques publiques, sous la direction de Jean Jacques GABAS, Editions Karthala, 2004 ; Jalons pour une théorie de l'appropriation des

l’avantage technologique qui est soumis à l’usure du temps et du processus concurrentiel et la législation étatique. La principale cause de création de monopole durable dans le temps est le fait de l’intervention de l’Etat. Les exemples récents de déréglementation dans les secteurs aériens ou télécommunications ont montré que la fin de la barrière réglementaire qui protégeait le monopole public de la concurrence à conduit à la disparition de celui ci et à l’apparition de concurrents qui ont à la fois fait

réalité à l'industrie Japonaise dont le marché est très ouvert aux investissements étrangers suite aux dérèglementations des années 1990. Le secteur des services est également protégé à l'époque, non pas par des mesures à la frontière, mais par des systèmes de réglementation à l'intérieur du pays qui fausse la concurrence dans ce secteur. Le Japon est alors de plus en plus favorable à la dérèglementation du tertiaire et la liberalisation du secteur financier ainsi que des télécommunications est l'un des

Cas de Moukawalati Comme l'indique son nom, l'entreprise exprime d'abord la volonté d'entreprendre. Dans le cadre de libéralisation économique, de privatisation, déréglementation et décloisonnement des marchés économiques et financiers c'est-à-dire dans le cadre de désengagement de l'Etat, L'initiative personnelle est l'élément clé de toute action d'investissement et d'entreprise projetée. A cela s'ajoute bien sûr les facteurs de travail  « capital financier et humain », une bonne gestion de ses

cause et la conséquence de 3 changements structurels majeurs : 1. Le développement de l’économie quantitative et de la gestion des bilans 2. L’essor des nouvelles technologies de l’information et des communications 3. La libéralisation (= déréglementation) de l’économie   ð Le principal objectif de l’innovation financière est le développement du crédit. ð L’innovation permet: - Une meilleure diversification avec un éventail de produit plus large à disposition des agents : meilleure allocation

financière est la cause et la conséquence de 3 changements structurels majeurs : Le développement de l’économie quantitative et de la gestion des bilans L’essor des nouvelles technologies de l’information et des communications La libéralisation (= déréglementation) de l’économie Le principal objectif de l’innovation financière est le développement du crédit. L’innovation permet : Une meilleure diversification avec un éventail de produit plus large à disposition des agents : meilleure allocation des