Derniers empereurs

est un grand auteur qui a bien défendu cette cause qui lui tient à cœur. Il est tout à fait contre cette punition et c’est un vrai plaidoyer littéraire contre la peine de mort. Dans le travail présenté ci-dessous, nous démontrerons que le roman Le Dernier Jour d’un Condamné de Victor Hugo participe pleinement de l’engagement littéraire contre la peine de mort, en définissant d’abord la peine de mort et ensuite, en analysant le roman en question. Nous comprendrons donc l’importance que Victor Hugo

français, mais aussi mondial. Il passera sa vie à se battre contre les injustices et pour la liberté. A travers ses ouvrages, il prend position en faveur des peuples opprimés, mais dénonce aussi des faits de société comme la peine de mort dans « Le dernier jour d'un condamné » et, plus tard, l'esclavage. De ce fait, il est considéré comme un avant-gardiste guidé par le devenir de l'être humain. Il sort des rangs et se démarque par son ouverture d'esprit dans cette société dirigée par des profiteurs

Va Laurent 2nd10 Compte-rendu de lecture sur Dora Bruder de Patrick Modiano Année.Scolaire 2010-2011 Biographie de Patrick Modiano Patrick Modiano est né le 30 Juillet 1945 à Boulogne-Billancourt. Patrick Modiano écrit des Roman. Il commença ces études en 1952 dans l'école du Montcel à Jouy-en-Josas, en 1960 il fait ces premiers essais littéraire au Collège Saint-Joseph à Thônes. En 1962 il passe son Baccalauréat à Annecy qui sera son seule diplôme. Enfin en 1965 il s'inscrit dans une

lecteur de chasser ses idées simplistes, de le faire réfléchir. Elle pousse les lecteurs vers une prise de conscience, elle joue un rôle essentiel dans les débats d'idées, et ouvre l'esprit des lecteurs. Comme en témoigne le texte de Victor Hugo « Le dernier jour d'un condamné », Victor Hugo met tout en œuvre pour susciter une réaction chez le lecteur. Bien que sa thèse ne soit pas clairement exprimée, elle est facilement expliquée grâce aux différents arguments, qui condamnent la peine de mort. Victor

sont pas très concrète . Laurent se fiche d'avoir tué quelqu'un , il montre a ses collègues un sentiment de tristesse alors qu'en vérité il est heureux d'avoir commis ce meurtre , Laurent sait que à présent il ne sera plus démasquer . Et enfin en dernier plan nous étudierons , le fait que Zola mette la blessure de Laurent faite par Camille la veille en si grande évidence . Zola décrit pendant 27 lignes la blessure de Laurent , grâce au vocabulaire de la couleur : « rouge »,  « rosâtre », « noires »

d'un condamné à mort, ses angoisses, ses soucis, ses terreurs, ses espoirs, ses volontés. Il nous fait vivre " dans la peau et à la place d'un condamné à mort et met en évidence l'horreur de cette peine abominable. C'est bouleversant… Par suite "le dernier jour d'un condamné" est écrit de façon à ce que le lecteur soit impliqué pas uniquement au niveau sentimental (la tonalité pathétique) mais aussi de se voir peut être un jour pris dans le piège . C'était là le truc : V.Hugo vous pousse à avoir peur

le 11 juin 1851, pointant du doigt la croix du Christ. Je le jure devant ce gibet où, il y a deux mille ans, pour l'éternel enseignement des générations, la loi humaine a cloué la loi divine! ». Sous la banale apparence d'un journal intime, Le dernier jour d'un condamné, constitue l'un des fameux efforts de Victor Hugo, l'une de ses véritables plaidoiries pour l'abolition de la peine de mort, considérée comme « le signe spécial et éternel de la barbarie » . A mesure que s'égraine le temps, à mesure

Timoklès est un jeune homme vivant à Athènes, d'à peine seize ans. Son père, Oloros, aristocrate important va être ostracisé et devra s'exiler pendant dix ans. Il décide de partir voir le fleuve Océan, l'océan Atlantique. Timoklès, bouleversé, décide de partir avec lui. Les oracles sont favorables à son voyage et il s'embarque donc pour le fleuve Océan. Le jour suivant, Timoklès et son père découvrent Chrysilla, la fille d'Oloros et la soeur de Timoklès cachée dans un tonneau. À la suite d'un naufrage

l’Aîné, directeur du Journal des débats. Au cours de ces séjours, Hugo rencontre Berlioz, Chateaubriand, Liszt, Giacomo Meyerbeer, et rédige des recueils de poésie dont les Feuilles d'automne. Il publie en 1829, le recueil de poèmes les Orientales. Le Dernier Jour d'un condamné paraît la même année et est suivi de Claude Gueux en 1834. Dans ces deux courts romans, Victor Hugo présente son dégoût de la peine de mort. Le roman Notre Dame de Paris paraît en 1831. Élevé par sa mère bretonne dans l'esprit

morales des fables notamment dans les Fables de La fontaine. De plus, la poésie permet de faire réfléchir sur la façon de penser de certaines choses, certains événements, notamment, Victor Hugo a beaucoup fait réfléchir sur la peine de mort dans « le dernier jour d'un condamné », il fait réfléchir judiciairement tout comme « J'accuse » de Zola qui « dénonce » l'affaire Dreyfus. Ainsi, La fontaine montre un abus de pouvoir et d'injustice avec « des animaux malades de la peste », pour lui, au finale la