Derniers Vers De Alfred De Musset

Lorenzaccio La Compagnie Philippe Wiart présente Lorenzaccio d’ Alfred de MUSSET Création 2009 Adaptation et Mise en scène Philippe WIART Assisté d' Andrée-Michèle TIREAU Lumières Jacques ROUVEYROLLIS assisté de Jessica DUCLOS Patrick MOLLO..........…………………...……….…......…….……Alexandre de Médicis Philippe WIART……………………………......................................Lorenzo de Médicis Eugénie OLIVER...………………………...................Marie Soderini, mère de Lorenzo Marie-Audrey SIMONEAU

INTRODUCTION A LA POESIE MODERNE En guise d’ouverture : réponse de Mallarmé à Degas qui se plaignait de ne pas réussir à écrire des poèmes, alors qu’il avait des idées : « Ce n’est point avec des idées que l’on fait des vers … C’est avec des mots. » Autrement dit, le langage représente une matière à travailler, dans un geste esthétique[1], tout comme la peinture pour le peintre, le marbre ou la terre pour le sculpteur. Mais Mallarmé dépasse la conception parnassienne de «  l’art pour l’art »

trace de l’histoire littéraire pour la déployer, pour la remodeler, dans un travail d’identification et de différenciation continu. Dès lors, la réécriture est-elle nécessairement la recherche d’un dépassement ? Quelle est la nature même de ce dernier ? Car dépasser peut autant signifier faire mieux qu’un modèle qu’aller au-delà. Nous aborderons ce problème à travers une première partie qui montrera que la réécriture est une condition à la production littéraire et qui donnera un aperçu de ses

intransigeant et conservateur aux mesures trop sévères, ce qui aboutit à la Révolution de juillet suivie notamment par Alexandre Dumas et Stendhal. Les intellectuels voient dans cette Révolution l'espoir d'une réforme libérale du régime, voire une évolution vers la République. Mais la Révolution avorte. C'est l'avènement de la Monarchie de juillet avec le roi Louis-Philippe. C'est une grande déception pour la classe intellectuelle. Sous ce régime règnent l'immobilisme social, le conservatisme politique, et

-Le culte de la nature : redécouverte de la nature puissante, sauvage mais aussi lieu de beauté et de contemplation. La nature, forêt ou bord de mer, est un endroit mystique (qui nous met en rapport avec Dieu) où l’on peut s’isoler pour se tourner vers la méditation poétique (réflexions sur le temps qui passe, la mort…). - Le culte du rêve et de l’irrationnel : intérêt pour le passé, les légendes, le fantastique, la religion… En plus de ces thèmes, les Romantiques veulent transgresser les règles

------------------------------------------------- 3. 1. 1. Jeunesse de Gérard de Nerval Fils d'Étienne Labrunie, médecin militaire, et de Marie-Antoinette Laurent fille d'un marchand linger de la rue Coquillière, Gérard de Nerval naît le 22 mai 1808, vers 20 heures [1] , à Paris, au 96, rue Saint-Martin (actuellement le n° 168). Baptisé le 23 à Saint-Merri, il est confié quelques mois plus tard à une nourrice de Loisy [2] , près de Mortefontaine. Nommé le 8 juin suivant médecin militaire adjoint à la

jamais assez fort pour ce calcul ». * L’acrostiche : il s’agit d’un poème où les initiales de chaque vers, lues verticalement et de haut en bas, composent un mot ou une expression se rapportant au sujet du poème. Mais attention, ce procédé ne vise pas uniquement à faire rire ; il permet notamment de communiquer secrètement, tel que le prouve ici un échange de poème entre Alfred de Musset (poème 1) et George Sand (poème 2) : * Poème 1 Quand je mets à vos pieds un éternel hommage, Voulez-vous

sur les pénibles vers de La Légende des siècles (« Il n’est pas de brouillards comme il n’est point d’algèbres ») pour réentendre la voix gouailleuse de Gavroche. D’avoir sur le monde les yeux de Candide ou, si l’on préfère, ceux de Bel-Ami, question de tempérament. Pour pareille expérience, il faut un guide exceptionnel. Ce guide, Le Figaro l’a trouvé en la personne de Jean d’Ormesson. Un homme qui est une bibliothèque à lui tout seul, ne serait-ce que par les centaines de vers qu’il connaît par

le premier à l’avoir initié aux choses de l’art et il en gardera il pieux souvenir. Sa mère épousât en seconde noce, après une seule année de veuvage, un commandant et futur général dont l’intrusion fût mal acceptée par le jeune Charles. Ca dernier fit de bonnes études au collège royal de Lyon puis à Louis-le-Grand dont il se fit renvoyer tout en obtenant cependant le baccalauréat. Il s’inscrivit à l’école de droit avec les poètes Ernest Praran et Gustave Levasseur et s’installe à la pension

quelle ambition frivole ! Ah ! dieux ! si mes désirs pouvaient être entendus, Rendez-moi donc aussi le plaisir qui s'envole Et les amis que j'ai perdus ! Campagne d'Arpajon ! solitude riante Où l'Orge fait couler son onde transparente ! Les vers que ma main a gravés Sur tes saules chéris ne sont-ils plus encore ? Le temps les a-t-il enlevés Comme les jeux de mon aurore ? Ô désert ! confident des plus tendres amours ! Depuis que j'ai quitté ta retraite fleurie, Que d'orages cruels ont