Dernière Tirade De Phèdre

pardonne, tente de comprendre, recherche la vérité, fait peu de cas des apparences. Illusions trompeuses, mensonges, lui sont étrangers. Merteuil est opaque, sombre ; Tourvel est lumineuse, transparente. Cécile de Volanges, 15 ans, née dans les dernières années du règne de Louis XV. Elle sort du couvent où elle n’a rien appris. Elle est d’une nature sensuelle et irréfléchie. Elle est aussi égoïste, dans ses lettres, très plates, à son amie, elle ne parle que d’elle. Baudelaire la qualifie « d’ordure

monstrueuses. Le dialogue explicite de plus en plus l'agressivité du professeur, la soumission consentante de l'élève. Les mots préfigurent le couteau. Les trois coups, on le comprend à la fin, sont aussi les clous martelés sur le cercueil de la dernière victime. Ce duel, entre un professeur tour à tour doctoral et d'une candeur désarmante, doucereux et menaçant, tyrannique, et sa jeune élève qui lui tient tête avec un mélange de docilité et d'obstination, qui aboutit à un crime sadique, dénonce

entre les deux frères s'achève en III, 2 par Ie récit de leur mort, la suite montrant I'affrontement entre Créon et Antigone). Mais ce fut pourtant d’elle qu'il s'inspira pour I'intrigue, les personnages, la disposition des scènes, la composition des tirades, jusqu'à imiter souvent ses formules ou à reprendre les mêmes rimes. Cependant, il assombrit la perspective, en aggravant la haine des deux frères, et surtout en faisant de Créon un fourbe machiavélique. Il améliora la conception dramatique, en renouvelant

s'appuyant sur les talents de son cousin César. Ce dernier refuse, mais la scène des retrouvailles avec Ruy Blas lui permet de modifier sa machination. Il veut profiter de l'amour de Ruy Blas pour la reine pour tenter de nuire à la réputation de cette dernière et la détrôner. 7 - Quel est le problème exposé par Ruy Blas dans l'acte I ? Ruy Blas explique qu'il est amoureux de la reine. 8 - Qui est le rival amoureux de Ruy Blas, ridiculisé par la reine à l'acte II ? Il s’agit de Dom Guritan.Fiche sur Ruy

pour le théâtre, fixation des genres plus précise (le roman est le genre en plein essor sous Henri IV jusqu’en 1660) ; le public participe de plus en plus à modeler le champs littéraire, comme le montrent son intervention les débats littéraires ( du Phèdre, de l’école des femmes, et du Cid) : la promotion du modèle de l’honnête homme et l’avènement d’une littérature de cour ont constitué un champ littéraire ( notamment sous Louis XIV qui développe les arts et les lettres et confère à l’homme de lettres

même en glorifiant le roi Henri avec Hymne de la paix. | |Devenu gentilhomme du roi de Navarre en 1585, il ne se retire des affaires de la cour qu'après l'accession d'Henri IV au trône de France, en| |1589, non sans l'avoir célébré une dernière fois dans le Cantique sur la victoire d'Ivry en 1590. | |Du Bartas est à cette époque, et depuis une dizaine d'années, un poète au sommet de sa gloire, dont la renommée éclipse celle de Pierre de | |Ronsard

Exercice [F. Leroux, La Machine à assassiner] 2/ A grande échelle : la réécriture mythique 2.1. Des invariants à la réécriture 2.2. Les variations de l’organisation et du contenu du récit mythique [Don Juan] 2.3. Les variations de registre [P. Dac, Phèdre] 2.4. Bilan : arborescence ou constellation mythique 3/ De la réécriture à la réinterprétation 3.1. La christianisation des mythes [Hercule] 3.2. La romantisation des mythes 3.3. L’actualisation des mythes au XXe siècle [Médée] Chapitre III/ L’exemple

classe – tiré d'une des œuvres intégrales étudiées en lecture analytique ; – interroger sur un extrait – n'ayant pas fait l'objet d'une explication en classe – tiré d'une des œuvres intégrales étudiées en lecture analytique. Attention à cette dernière possibilité ! Vous arrivez à l'épreuve en ayant étudié avec votre professeur plusieurs œuvres intégrales : vous pouvez être interrogé(e) sur n'importe quel extrait d'une de ces œuvres, qu'il ait été vu en cours ou non ! Dans la pratique, cette possibilité

harmonie entre eu, ce qui semble difficile. L’harmonie est l’idée d’un agencement heureux, il y a l’idée de plaisir, quand il parle d’harmonie et de contraire, c’est plus un but qu’il se donne, que les contrastes soient plaisants et se coordonnent. Les dernières paroles de V. Hugo seraient « c’est ici le combat du jour avec la nuit ». Une couleur vibre véritablement dans un tableau si elle a une couleur à côté qui la repousse, pour qu’un volume existe il faut des touches d’ombres. A l’intérieur d’une même

lié et dévoué à sa maîtresse : il dit NOUS en parlant de son sort, ce qui montre qu'il est attaché à cette dernière. En revanche Sganarelle parle de son maître en termes dépréciatifs " le plus grand scélérat, un chien, un enragé, .etc..." * on apprend aussi comment Dom Juan s'y prend pour séduire : une cour assidue jusqu'à ce qu'il obtienne ce qu'il veux. (Citez les passages de la tirade de Sganarelle décrivant les assiduités de son maître) 3) des effets d'annonce "... le courroux du ciel