Dernières Volontés

paraît entachée d'une naïveté théorique essentielle : sa passivité. En effet si la technique est le moyen passif par lequel la liberté humaine se réalise, elle constitue une fois établie une puissance autonome qui se développe indépendamment de la volonté humaine. En ce sens c'est par le développement autonome de la technique que la liberté se prendrait à son propre piège. Par conséquent on pourrait en conclure que la technique est par essence aliénante, c'est à dire qu'elle détermine l'homme plus

conscience me fait-elle connaître que je suis libre ? Sujet n°2 Lorsque je dis: « j’ai raison », mon interlocuteur n’a-t-il plus qu’à se taire ? Sujet n°3 « L’indifférence me semble signifier proprement l’état dans lequel se trouve la volonté lorsqu’elle n’est pas poussée d’un côté plutôt que de l’autre par la perception du vrai ou du bien ; et c’est en ce sens que je l’ai prise lorsque j’ai écrit que le plus bas degré de la liberté est celui où nous nous déterminons aux choses pour lesquelles

La conscience de soi rend-elle plus libre ? La conscience est le savoir intérieur immédiat que l'homme possède de ses propres pen­sées, sentiments et actes. Elle exprime ainsi notre capacité à la réflexion et le pouvoir que nous avons de viser autre chose que nous-mêmes. Il existe deux sortes de conscience : La conscience spontannée, c'est à dire si l'on me demande ce que je vois je peux le décrire, et la conscience reflechie qui est elle le fait que j'ai conscience que je suis en train de décrire

c'est déjà en sortir. Le mot LIBERTÉ désigne proprement l’absence d’opposition , un HOMME LIBRE est celui qui, s’agissant des choses que sa force et son intelligence lui permettent de faire, n’est pas empêché de faire celles qu’il a la volonté de faire. Mais ne pas pouvoir nager comme un requin ou ne pas être capable de comprendre les équations d'Einstein n'est pas un manque de liberté mais de puissance. Etre libre d'agir, c'est donc ne pas être empêché de faire ce qu'on

Pourquoi désirer ce qui n'est pas nécessaire ? Une telle question nous amène à réfléchir à la notion de nécessité, difficile à déterminer: à partir de quand une chose est-elle nécessaire ou cesse-t-elle de l'être ? Et le désir porte-t-il sur ce qui est nécessaire ou justement sur ce qui ne l'est pas ? Par ailleurs, comme nous engage à le contester Épicure, des désirs qui porteraient sur des choses non nécessaires seraient-ils raisonnables ? Ne devons-nous pas limiter nos désirs à la stricte nécessité

l'universalité, qui le contraigne à obéir à la volonté universelle. Mais où trouver ce maître? Si dans l'espèce humaine le maître choisi sera à son tour un animal qui a besoin d'un maître. C'est bien le problème de la politique qui est posé dans la mesure où ceux qui sont choisis risquent d'abuser toujours de la liberté s'ils n'ont personne au-dessus d'eux pour imposer l'autorité des lois. Analyser l'IGS comme police des polices.... Analyser la volonté du législateur d'instituer un organisme devant

l’exemple de l’homme ivre qui va raconté des choses qu’il voudrait taire, mais alors même qu’il est entrain de le raconter il pense que c’est bien sa volonté de procéder ainsi Par la Spinoza affirme que les hommes ignorent souvent les causes qui les font agir, mais il considère que ce qu’il leur est utiles et à la foie l’objet de leur désire et de leur volonté, cela veut dire que la connaissance de ce qui détermine les hommes à agir de telle ou telle manière leur échappe au profit d’un semblant de raisons

de liberté possible. C'est être le patron de son patron. Bien que l'homme me semble entièrement libre, certaines théories peuvent remettre mes affirmations en question. En effet, selon Marx, la liberté ne repose pas 3 simplement sur l'unique volonté des individus mais bien sur l'action collective dont le but est d'améliorer les conditions matérielles et économiques pour tous. C'est donc dire que pour être libre, il faut renoncer à une partie de sa liberté pour avancer collectivement vers une

Le jeunesse est une période transitoire où les jeunes éconduisent avec la puerilité et  s'élancent dans leur voie vers la responsabilité. Cette transition requiert un accompagnement  de la part des parents qui pour certains abusent dans l'exercice de leur pouvoir sur leurs  enfants. Tandis que d'autres voient ce comportement des parents comme le plus approprié  envers les jeunes.            Donc, laquelle des deux perspectives est la plus admissible ?         Il est indéniable que les jeunes asp

 Nous vivons aujourd’hui dans une société où la religion a beaucoup moins d’importance et d’influence sur nos vies. Autrefois, elle dictait notre façon d’agir de penser, bref, notre façon de vivre. La religion tentait de s’introduire dans toutes les facettes possible de la société pour ainsi avoir plus de pourvoir. De nos jours, suite à l’importance accordée au capitalisme, aux nouvelles découvertes scientifiques et à l’avancée technologique, le nombre de personnes ne croyant pas en Dieu a augmenté